Oiseau de feu

semble-t-il, être marquée comme prononcée par le narrateur, observateur de la scène. Dans la deuxième strophe, le rossignol aveugle dans sa cage, limité mais aussi protégé par les humains, est, première note désagréable, effrayé par «l’effraie», un oiseau sauvage qui est une sorte de chouette. Une des femmes manifeste une sensibilité de poète en comparant un «cyprès» au «pape en voyage / Sous la neige», la surprise étant mise en valeur par l’enjambement : le pontife n’est-il pas alors enveloppé d’une

« morbides » v9 / « limpides » v11 « purifier ; pure ; clair ; limpide » / « miasmes » v10 : 2 diérèse = insistance sur la pureté purification dans l’harmonie retrouvée ex : « bois[…] le feu » : l’esprit boit : association immatériel / physique plénitude (épanouissement) : « remplit » v12 III/ la poète traduit l’énigme du monde en échappant au spleen (strophes 4 et 5) 1) le conflit

l’univers de l’enfance. En saisissant les mouvements infimes de la lumière sur un objet banal, en les traduisant par les images des " gouttes d’or " (vers 6), du " feu vert et doré " (vers 11), il entraîne le lecteur dans l’expérience sensorielle qu’il a connue, lui offre ainsi une image renouvelée de la bicyclette désormais métamorphosée en oiseau (vers 9), puis en planète (vers 21). L’objet quotidien est donc devenu presque surnaturel, et le poète a ainsi rempli la mission que lui confère Cocteau. Ponge

espace fermé. Le tableau est organisé comme une frise, elle peut se lire de gauche a droite. Donc en partant de la gauche on peut voir une femme tenant un enfant dans ses bras, elle a la tête rejetée en arrière, derrière elle il y a un taureau et un oiseau qu'on aperçoit à peine du fait qu'il soit sombre dans un décor sombre. Toujours sur la gauche du tableau, au premier plan on peut voir un soldat gisant au sol. Au centre du tableau, sous une ampoule, un cheval se tord de douleur. Toujours au centre

destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu’on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n’y a pas d’amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j’ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n’y a pas d’amour heureux Le temps d’apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent

1888. * Texte C : Blaise Cendrars, L’Or, chapitre VI, 21, 1925. * Texte D : Véronique Ovaldé, Et mon cœur transparent, chapitre III, 2008. Texte A : Victor Hugo, Notre-Dame de Paris Dans un vaste espace laissé libre entre la foule et le feu, une jeune fille dansait. Si cette jeune fille était un être humain, ou une fée, ou un ange, c’est ce que Gringoire, tout philosophe sceptique1, tout poète ironique qu’il était, ne put décider dans le premier moment, tant il fut fasciné par cette éblouissante

nébuleux ? Est-ce d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus, Qui d'Iran borde le puits sombre ? Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand, Qu'un cheval au galop met, toujours en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? - Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles.

préface de Cromwell en 1827. Les œuvres marquantes : - Chateaubriand, René (1802) - Mme de Staël, De l’Allemagne (1810) - Hugo, Hernani (1830), Les Contemplations (1856), Les Misérables (1862) - Nerval, Les filles du Feu (1854) - Musset, Lorenzaccio (1834), La Confession d’un Enfant du Siècle (1836) Le réalisme et le naturalisme Ces deux mouvements se succèdent : le premier naît en 1830 et le second vers les années 1870. Ils partagent le même but :

comporte plusieurs hypothèses. La tradition confère ça découverte au sage taoïste Zhang Sanfeng vers le XIIIème siècle. Cette légende est la plus fréquemment citée. Il est dit que méditant sur le mont Wudang, il assista à un combat entre un serpent et un oiseau. Il existe deux versions concernant l'issue du combat : soit elle n'est pas dévoilée, soit le serpent sort vainqueur grâce à sa souplesse et sa lenteur. Enrichit de cette observation, il aurait développé les formes principales du tai chi chuan. Cependant

batterie de cuisine du Saint Office des morts " (La Morale de l'histoire). -En dehors des moyens classiques de l'expression poétique comme le jeu sur les rythmes et les sonorités comme l'allitération dans Barbara :" Sous cette pluie de fer / De feu, d'acier, de sang ", c'est la richesse et l'expressivité des images qui est remarquable chez Prévert. Elles sont extrêmement nombreuses et en voici quelques exemples :" Dans les sables du lit tu remues en rêvant "(Sables mouvants) - " Voici le temps