Olivier Coursier

d'Athènes. Les douze grands dieux, choisis pour arbitres, décidèrent que celui des deux qui produirait la chose la plus utile à la ville lui donnerait son nom. Neptune, d'un coup de trident, fit sortir de terre un cheval, Minerve en fit sortir un olivier, ce qui lui assura la victoire. La chaste Minerve resta vierge ; cependant, elle ne craignit pas de disputer le prix de la beauté à Junon et à Vénus. Afin de l'emporter sur ses rivales, elle offrit à leur juge, Pâris, le savoir et la vertu.

l'annonce) du XXX (date), parue dans le magasine XXX (titre du magasine)/par le biais de XXX (nom de l'organisme) pour le poste de coursier a retenu toute mon attention. Option candidature spontan宓 : Votre structure n匐essite des personnes dynamiques et efficaces, particuli半ement pour le poste de coursier. Ce profil correspond parfaitement au mien. �mon sens, un coursier doit 社re �la fois m俸hodique et poss卜er des capacit乶 de communication, afin d'accomplir son r縝e avec succ反. Pour ma part

commence par bouleverser l’ordre établi, comme l’interdiction de la Djemaa, la fermeture de la mosquée ancestrale et le terrassement du cimetière, malgré des vives protestations des villageois. Sans aucune retenue, il altère le paysage, détruit les oliviers. Tout s’écroule : 38 « Nous nous aperçûmes alors à quel point notre univers avait été perverti. Il n’existait plus aucun repère. Les chemins avaient changé d’itinéraire, les montagnes d’emplacement.[…]. Le climat avait interverti ses saisons

97. La Destinée (Al-Qadr)............................................ 348 SURA 98. La preuve (Al-Bayyinah).......................................... 348 SURA 99. La secousse (Az-Zalzalah)........................................ 349 SURA 100. Les coursiers (Al-Adiyate)...................................... 349 SURA 101. Le fracas (Al-Qariah)........................................... 349 SURA 102. La course aux richesses (At-Takatur)............................ 350 SURA 103. Le temps (Al-Asr).....

......................................................396 Sourate 99 : AZ-ZALZALAH (LA SECOUSSE) ..................................................................................................................397 Sourate 100 : AL-ADIYATE (LES COURSIERS)................................................................................................................398 Sourate 101 : AL-QARIAH (LE FRACAS) .............................................................................................

(LADHRENCE) PAGEREF _Toc55670144 h 705 Sourate 97 AL-QADR (LA DESTINE) PAGEREF _Toc55670145 h 707 Sourate 98 AL-BAYYINAH (LA PREUVE) PAGEREF _Toc55670146 h 708 Sourate 99 AZ-ZALZALAH (LA SECOUSSE) PAGEREF _Toc55670147 h 710 Sourate 100 AL-ADIYATE (LES COURSIERS) PAGEREF _Toc55670148 h 711 Sourate 101 AL-QARIAH (LE FRACAS) PAGEREF _Toc55670149 h 713 Sourate 102 AT-TAKATOUR (LA COURSE AUX RICHESSES) PAGEREF _Toc55670150 h 714 Sourate 103 AL-ASR (LE TEMPS) PAGEREF _Toc55670151 h 715 Sourate 104 AL-HOUMAZAH

archers bandaient leurs arcs. Une pluie de flèches s’abattit sur l’ennemi, si dense que le ciel en était noir. Une fois les carquois vidés, nos valeureux guerriers rompirent les cordes de leurs arcs et les jetèrent entre les jarrets des chevaux. Les coursiers glissèrent sur les bords des fossés et nos milices en profitèrent pour désarçonner les cavaliers. Un formidable massacre s’ensuivit. Une hécatombe qu’aucun mot ne pourrait décrire. Presque tous les chefs de l’armée royale périrent dans la débandade

Ibid., v. 1830 à 1834. Florence de Caigny, Imitation, traduction et adaptation des tragédies de Sénèque aux XVIe et XVIIe siècles en France, Thèse de l’Université de Paris IV soutenue sous la direction de Georges Forestier, 2004, 1132 p., p.215. 296 Olivier Millet, « L’ombre dans la tragédie française (1550-1640), ou l’enfer sur la terre. » in Tourments, doutes et ruptures dans l’Europe des XVI et XVII siècles, Actes du Colloque de Nancy, Champion, 1995, p. 177. 297 Jean de La Taille, De l’Art de la

d'un antithéiste, Mame, 1969. 658. Probable allusion à des dieux cruels de l'antiquité moyen-orientale comme Baal (A.) ou Moloch. 659. C'est au jardin des Oliviers, sur une montagne de Jérusalem, que le Christ avait passé sa dernière nuit, avant d'être arrêté. Cf. Vigny, Le Mont des Oliviers (publié en 1843), et Nerval, Le Christ aux Oliviers (publié en 1844). 660. Allusion à la fête des Rameaux; dans la strophe suivante, allusion au Christ chassant les marchands du temple. 661. Cf. les désillusions

classiques par bien des aspects (lexique, syntaxe), mais où l'on trouve des mots du langage ordinaire, des vers impairs et des strophes novatrices : De quels sons belliqueux mon oreille est frappée ! C'est le cri du clairon, c'est la voix du coursier ; La corde de sang trempée Retentit comme l'épée Sur l'orbe du bouclier. Lamartine allie dans cet exemple des alexandrins 3/3//3/3 à des heptasyllabes. Les romantiques expérimenteront ainsi toutes sortes de strophes et de versifications