Omphale Fantastique

modifié. L’expression paraissait différente. On eût cru qu’il y avait une ombre de cruauté dans la bouche. Eh oui, c’était bizarre. Il fit volte-face, alla à la fenêtre et ouvrit la persienne. L’aube claire envahit la pièce, balaya les ombres fantastiques, les repoussant dans les coins ombreux où elles s’entassèrent en tremblant. Mais l’expression étrange qu’il avait remarquée sur le visage du portrait y demeura et sembla même s’intensifier. Le soleil qui palpitait et ardait1 lui montra les rides

Ils publient ensemble des contes et des romans axés sur des thèmes parlant de la nature, de la préhistoire, de la vulgarisation scientifique et bien évidemment du monde fantastique. Leur premier livre « Nell Horn de L'armée du salut » est publié en 1886. Par la suite, « Les Xipéhuz » apparaît en 1887. C’est un roman fantastique qui illustre parfaitement un genre tout à fait nouveau et moderne : la science-fiction. C’est pour cela que les frères J.-H. Rosny sont considérés dans le monde de la littérature

présente sous différents genres : Les romans centrés sur l’histoire intérieure du héros : Adolphe de Benjamin Constant. Les romans fantastiques et philosophiques, ils présentent souvent une quête spirituelle : La Peau de chagrin de Balzac. Le roman d’action historique

Commentaire II : Anatole France, « L’Île des pingouins » Introduction Le passage étudié est extrait du récit fantastique, L’Île des pingouins, publié en 1908, écrit par Anatole France. Celui-ci, à travers l’histoire de la métamorphose des pingouins, met en scène l’histoire de la France, et par le biais d’une ironie mordante, quiapparaît aussi toujours d’une manière considérable, il fait une critique ironique parodiant des Ecritures etdes hagiographies avec un certain pessimisme qui révèle

conquérir le paysage éditorial européen. Tous les grands romanciers de l'époque s'y sont essayé et y ont parfois même trouvé une forme d'expression privilégiée. Ainsi Prosper Mérimée ou encore Guy de Maupassant se sont spécialisés dans la nouvelle fantastique. Au XXème siècle, la forme courte séduit des auteurs comme Annie Saumont qui a été consacrée comme la spécialiste française de la nouvelle.   Ce que peut être la nouvelle En recherchant une définition stricto sensu de la nouvelle, nous sommes

Titre : Qui sait ? Inutile beauté Auteur : Maupassant (1850-1893) Date : 1890 Registre : réaliste Genre : nouvelle fantastique Lien avec autre(s) texte(s) : Le Horla INTRODUCTION -Maupassant, roman/nouvelle au 19e, appartient au réalisme - Texte Qui sait, tiré du recueil Inutile beauté publié en 1890 est la dernière nouvelle de Maupassant ; l’écrivain a sombré dans la folie à la fin desa vie et est enfermé à la clinique du docteur Blanche, il a tenté de se suicider ; elements surnaturels

Les mystères d'Harris Burdick de Chris van Allsburg Objectif : activité d'écriture. Sujet : vous rédigerez un récit fantastique d'une page à partir d'une de ces images et/ou de la phrase qui l'accompagne. Vous n’oublierez pas de respecter les consignes de la grille d'évaluation. Votre récit comportera un paragraphe avec un retour en arrière. Le dessert vivant > Une paysanne qui se nommait Chloé, avait pour habitude

l'on peut rapprocher de l'opposition entre le monde fantastique (représenté par le modernisme) et le monde réel (représenté par le traditionnel). On peut remarquer une progression dramatique de strophe en strophe, représentant le jeu entre l'imaginaire et le réel. Tout d'abord dans la première strophe on se trouve dans un environnement réaliste (nuit dans une taverne au bord du Rhin) dans lequel le narrateur introduit un univers fantastique avec l'histoire du batelier, qui jusque là n'est qu'une

saisit. Les plans sont fixes, c’est ce qui est terrifiant. On la regarde mourir sans rien pouvoir faire. On garde le personnage sur la plage car le spectateur ne veut pas être pris à parti. Oralité de la vision. Introduction à la littérature fantastique, Tzvetan Todorov L’inquiétante étrangeté, Freud

vue des personnages que de celui du lecteur. Le fait que le récit soit à la première personne, usage très fréquent dans les nouvelles fantastiques, permet ici de diffuser l’angoisse chez le lecteur : le juge, en exprimant les sentiments qu’il a ressentis contamine le lecteur qui se prend lui aussi à avoir peur. Cette peur redoublée est caractéristique du fantastique. Or, le narrateur, M. Bermutier, souligne lui-même la peur qu’il ressent. Pour cela, il utilise le champ lexical de l’angoisse : il évoque