Opinion Commune Sur Autrui

centres d'intérêt : Chacun ne considère que les informations, les faits et les aspects d'une situation en fonction de ses motivations, préoccupations et responsabilités et de ses centres d'intérêts. Ses obstacles sont liés aussi aux opinions : Nos opinions orientent notre perception d'une situation; nous appliquons notre attention sur certains détails de cette situation, non sur son ensemble d’attention sélective. Je pense que la résolution du conflit demeure la plus présente dans la

la conscience du non savoir qui l'habite. Savoir qu'on ignore, c'est pouvoir s'ouvrir aux autres et au monde. Mais nous savons aussi de nous ce dont autrui nous dit, puisque la conscience de soi passe aussi par autrui. Autrui nous renvoie par son regard, une autre image de nous-mêmes à partir de laquelle nous allons pouvoir nous définir. Autrui, d'une part est celui par rapport à qui nous nous identifions et d'autre part, par rapport à qui nous nous différencions. D'après Sartre, nous nous découvrons

intellectuels qui lui permettent de saisir l’essence des choses. Ces outils sont des concepts (un concept est une idée abstraite ou générale venue d’une opération de l’esprit qui isole des expériences de la sensibilité un ensemble stable de caractères communs que l’on attribue à une chose, une valeur ou un être ; concept de chien, de bateau, de fraternité ou d’égalité ...) Et grâce aux concepts et à la notion de causalité, la raison repère l’ordre intelligible inscrit au cœur du réel. En effet, le propre

Est une question paradoxale car cette connaissance de soi est nécessaire . La connaissance de soi aide à combattre la méconnaissance . De plus d'après Socrate « l'ignorance et l'aveuglement de soi fait de l'Homme dépendant et esclave des ses opinions et donnés » Cette phrase reflète le manque de liberté lorsqu'on néglige la recherche la connaissance de soi . Mais c'est une tache impossible à accomplir : quelqu'un qui a la parfaite connaissance de lui peut atteindre la perfection c'est a dire

plus proche et nous lie à d’autres personnes avec lesquelles nous entrons en interactions. La famille, les amis, le lieu de travail, l’association … Le groupe constitue pour chaque individu un lieu essentiel : c’est là qu’il crée des liens avec autrui. C’est là qu’il exerce une influence sur les autres et qu’il reçoit une influence des autres. Le groupe influence le comportement des individus dans des sens très différents. L’individu agit, il s’implique, il s’adapte, il se soumet ou se révolte :

envie selon mes préjugés, mes jugements, mes opinions, la vie qui est mienne. Je peux me définir comme unique, je suis moi, et personne ne peut l’être au sens stricte, cependant ces caractéristiques générales sont commune à l’espèce humaine en laquelle je suis catégorisé, ainsi chacun de nous est représentatif de la race humaine, vous, Moi, Toi, Ils, tous autant que nous sommes sans distinction particulière. Je suis semblable à toi ou lui, semblable à autrui, en quelques sortes à des étrangers, et je

de fait la morale est variable, les normes morales divergent d’une société à l’autre. La peine de mort est acceptée dans certains pays mais pas dans d’autres. Mais nous avons pourtant des valeurs communes, certaines règles morales, comme l’interdiction du meurtre, qui semblent constituer des règles communes qui sont au fondement de toute civilisation. Alors, peut-on dire « à chacun sa morale » ? Peut-on vraiment accepter la formule « à chacun sa morale » ou bien au-delà de cette diversité des croyances

conscience de soi suppose-t-elle autrui ? Selon Descartes et son cogito, « je pense donc je suis », le fait de penser fait exister l’individu en tant que tel. Il semble que nous nous pensons nous-mêmes, que nous sommes les mieux placés pour forger notre conscience de soi. Pourtant, il arrive que nous fassions des choix différents selon l’opinion et l’avis d’un autre individu qui nous entoure. D’où cette question perplexe : La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? A première vue, être conscient

L’artiste est un « homme qui voit mieux que les autres » selon Bergson. En commençant sa phrase, il place déjà l’artiste au-dessus des autres, car, selon lui, l’artiste est avant tout un créateur d’art qui se différencie d’autrui. Le terme « autrui » désigne ce qui est différent de nous, ce qui nous différencie des autres hommes. Bergson oppose la « vision » de l’artiste au « regard » des humains ordinaires. L’artiste, lui « voit » mieux, il entre en contact « direct » avec « la réalité ». Il atteint

Peut-on vivre sans opinion ? L’opinion, terme d’origine latine (opinio, onis : la croyance, la conjecture), peut être située sur une échelle de connaissance entre la science et l’ignorance. A chaque opinion sont associés un certain degré de science que l’on retrouve dans les évènements et faits observés, mais aussi, une part de subjectivité, ce qui fait d’elle une connaissance imparfaite et insuffisante. Ainsi, en comparant le savoir et l’opinion, on prétend la présence de différences mais aussi