Opposition Hume Et Descartes

d'être « moi » paraît dès lors permanent et exister. Cependant, dans le texte étudié, Hume remet en question cette notion du « soi » qui est selon lui fictive. En effet, dans un premier temps, Hume évoque,avec une légère couche d'ironie, la thèse opposée à la sienne, qui soutient l'existence du « moi » en chacun de nous. Dans un second paragraphe, il démontre qu'il ne peut y' avoir de moi sans perception. Ainsi,Hume présente sa thèse sur la non-existence du « soi » mais plutôt sur l'existence chez

humaine, HUME 1737 Dans l’extrait du livre étudié, Traité de la nature Humaine, David Hume nous soumet une nouvelle vision de la perception du sujet : l’homme peut-il se saisir lui-même ? Selon Hume, l’homme n’est-il qu’une suite de perceptions, sans unité qui lie le tout : ainsi la «res cogitans» (chose pensante), comme l’énonce Descartes dans Discours de la méthode, n’existe pas. L’auteur commence d’abord par énoncer sa thèse : l’homme est une suite de perception sans unité. De plus Hume évoque

cet extrait polémique, Hume s’attaque au problème de l’existence du moi : y-a-t-il une unité, une identité derrière la diversité de nos perceptions. Autrement dit, peut-on parler d’un sujet conçu comme un support commun à tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait une telle identité

s’y prendre, entente, avoir l’habitude d’un rapport… (ex : s’y connaître en bagnoles, un menuisier connaît le bois, un surfer connaît les vagues ou l’océan, un chasseur connaît la forêt) - connaissance de l’objet par opposition à la conscience du sujet - connaissance par opposition à la conscience de la connaissance (être conscient que je connais une chose…) A partir des différents sens des concepts de conscience de soi et de connaissance on peut même s’amuser à faire un tableau pour voir les

cet extrait polémique, Hume s’attaque au problème de l’existence du moi : y-a-t-il une unité, une identité derrière la diversité de nos perceptions. Autrement dit, peut-on parler d’un sujet conçu comme un support commun à tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait une telle identité

cet extrait polémique, Hume s’attaque au problème de l’existence du moi : y-a-t-il une unité, une identité derrière la diversité de nos perceptions ? Autrement dit, peut-on parler d’un sujet conçu comme un support commun à tous les événements de la vie psychique ? La question est donc celle du rapport entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, d’autre part, une possible unité, une éventuelle unification sous un moi frappé du sceau de l’identité. Descartes posait une telle identité

Commentaire de texte Philosophie Que connaît-on du moi et comment, tel est le problème que Hume s'efforce de résoudre dans le texte proposé où il fait en quelque sorte un dialogue entre lui même avec sa définition du moi et des métaphysiciens qui ont une définition différente. En effet, Hume affirme qu'il ne trouve que des perceptions quand il cherche à savoir ce qu'est le moi (sensations, sentiments...) et celui-ci disparaît pendant le sommeil. Il définit alors ce moi par le fait qu'on

Titre : Commentaire du texte de Hume sur la fiction du moi Texte étudié : « Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi ; que nous sentons son existence et sa continuité d’existence ; et que nous sommes certains, plus que par l’évidence d’une démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. [...] Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j’appelle moi, je bute toujours sur une

pouvons nous vivre des expériences sans moi ? Mais la question qui pose réellement problème et qui ouvre débat est : Le moi existe - il ? Est-ce que en notre personne le moi existe-t-il réellement ? C’est ainsi que nous pouvons nous reposer sur Descartes qui lui , observe que même lors de nos phases de sommeil , que sont les rêves nous avons une part de conscient . Des expériences , que l’on pourrait rapprocher d’un état dit de veille . «  Je pense donc je suis « . En effet ce philosophe aurait

qu'émotion de joie. La notion philosophique, en contraste, est identifié par des états émotionnels biologiquement perçus comme la colère, la luxure ou autres des sept péchés capitaux. En tant qu'état dans lequel un objet subit l'action d'un autre, par opposition à l' action, la passion désigne une des dix catégories que distinguait Aristote, dans son traité des Catégories. Pour certains stoïciens, les passions sont des perversions de la raison, au sens étymologique, des égarements de notre jugement qui