Opposition Voltaire Et Rousseau

noblesse, elle n’a plus d’argent. Emergence de la bourgeoisie=> pouvoir économique très élevé, les bourgeois travaillent (le travail à toujours été considéré comme un châtiment pour la noblesse). Voltaire « trois grands maux : vice, ennui, besoin » « Il faut cultiver notre jardin », Rousseau « tout oisif est un fripon ». Les lumières se rejoignent dans des salons (tenus par des femmes bourgeoises ou nobles), dans les cafés (lieu public où les femmes sont interdites (mode anglaise) on

appétissante » (ligne 17): elle représente la sensualité. Le fils du baron est décrit très brièvement: « en tout digne de son père » (ligne 17); il n'a pas de caractère.  Dès le titre, la cible va être Leibniz; un philosophe à peu près contemporain de Voltaire et dont la thèse est: "Tout est bien dans le meilleur des mondes". Ici, il est illustré par le personnage Pangloss qui enseigne 3 sciences stupides "Métaphysiquo-cosmologo-nigologie" (=tout en langue)(ligne 20). En ce sens, cela ridiculise l'optimisme

à porter son effort sur l’apprentissage et ainsi suivre le cheminement vers l’acquisition de nouvelles valeurs puis vers la sagesse plutôt qu’en des luttes de pouvoirs au sens politique du terme. Enthousiasmé par la bonté naturelle de l’Homme, Rousseau quant à lui, considère que le pouvoir doit venir des individus eux-mêmes. La connaissance de soi devient également un objectif fondamental. Ce n’est pas sans rappeler l’inscription au fronton du temple d’Apollon de Delphes : Connait toi-toi-même

(Salons, de 1759 à 1781) et synthétise le rapport entre science et métaphysique (Lettre sur les aveugles). Il doit surtout sa gloire à l'Encyclopédie, qu'il animera pendant vingt ans avec Jean d'Alembert (à partir de 1747). Ami avec Jean-Jacques Rousseau. Il meurt à Paris le 31 juillet 1784, et son corps repose à l'église Saint-Roch. Diderot a commencé à travailler sur Supplément au voyage de Bougainville en 1772. Il a peu à pau améloiré ce conte philosophique, jusqu'à la version que nous étudions

aussi bien à camoufler leurs critiques des mœurs de la société ou encore, leurs idées révolutionnaires. Candide et Zadig de Voltaire en sont des exemples. Candide est un conte philosophique dans lequel Voltaire illustre son opinion sur le bonheur. Voltaire fait remarquer que le bonheur est une illusion et que la seule manière d’être heureux est de chercher le savoir ; comme dit Candide « Il faut cultiver notre jardin ».

a-t-il une âme ? Est-il concerné par le péché originel ? Peut-il bénéficier de la révélation ? Au XVIe siècle, se trouve deux idéologies qui sont en oppositions : celle du refus de l’étranger appréhender à partir d’un manque et dans le corollaire et la bonne conscience de soi et de sa propre société, et celui de la fascination de l’étranger, donc mauvaises consciences de soi et de sa propre société. Il

Leibniz : Liberté de droits Liberté Puissance d’agir Liberté de fait Par opposition à la nécessité (Libre Arbitre) Puissance de vouloir Par opposition à l’imperfection, l’esclavage de

coutumes et mœurs. Idéal de tolérance. Quête du bonheur. Discours argumentatif, divers modes de raisonnement. Usage de l’ironie impliquant le lecteur. Eloquence et formes à l’adresse du lecteur. VOLTAIRE Traité sur la tolérance MONTESQUIEU (lettres persanes 1721) VOLTAIRE (Candide 1759) ROUSSEAU (du contrat social 1762) DIDEROT (encyclopédie 1751) BEAUMARCHAIS (le mariage de Figaro 1784) EMILIE DU CHATELET Discours sur le bonheur EPOQUE PRINCIPES OBJECTIF FORMES PRIVILEGIEES THEME

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Candide ou l’optimisme’’ (1759) roman de Voltaire (100 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’analyse de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 5) l’intérêt psychologique (page 5) l’intérêt philosophique (page 6)

respecter un équilibre entre les valeurs morales promulguées par la Religion et celles promulguées par la société. Rousseau déclarera à ce sujet que c'est par la volonté de se perfectionner que l'Humanité accouchera d'une morale. Au cours des siècles, et surtout à partir du siècle des Lumières (XVIIIè), de nombreuses critiques ont été portées par les philosophes sur la religion. Voltaire critique ainsi l'Église catholique et ses déviances (Horreurs commises, indulgences...cf : Candide) . Au XIXè siècle