Orchestre Lamoureux

Richard est un personnage qui est plutôt naturel, il est normal. Il est bien habillé, d’un ensemble chemise-veston-cravate relativement élégant qui se retrouve souvent à porter pour les concerts, spectacles et orchestres pour lesquels il joue le rôle de pianiste accompagnateur. Il agit et se déplace comme une personne naturelle. Il se tient debout sans crispation, ses bras reposent le long de con corps, il se tient dans une position naturelle, on ne dénote aucune contraction musculaire lui donnant

l’impression d’une danse diabolique. En plus au début de ce même mouvement, Berlioz invente un nouveau mode de jeu : le « con legno » qui consiste à frapper les cordes avec le bois de l’archet. La symphonie a un gigantesque orchestre de 95 musiciens alors que les orchestres de l’époque n’en comptaient que 60 maximum. Grâce à cet effectif, il peut utiliser de très grandes divisions de cordes notamment dans le dernier mouvement : -il utilise trois groupes de 1ers violons - trois groupes de seconds

louange qui fut reprit par de nombreux compositeurs. Le Te Deum est chanté pour les grands évènements relatifs à la Nation ou à la Cour (victoires, mariages, …). C’est donc une musique festive et solennelle. Cette symphonie est composée pour un orchestre et deux chœurs : un petit chœur comportant des voix de solistes et un grand chœur comportant de plus nombreux interprètes, aux contrepoints massifs. Il y avait au moins pour ce Te Deum 120 personnes qui chantaient ou jouaient des instruments. C’est

Mulliez -"la beauté, l'affection, l'amour, l'appartenance, la gratitude, la confiance, la créativité, la joie, l'espoir"- et sa devise -"avoir un but"-. Pendant trois heures, dans un échange permanent avec les stagiaires, il explique ce qu'est un orchestre symphonique, divers par essence, comment il travaille, quel est le rôle du chef d'orchestre : synchroniser, donner le tempo, diriger. "Il faut qu'il y ait une coresponsabilité entre le chef et l'orchestre", dit-il. Puis il passe à de petits jeux

certainement familiers: le Concert Spirituel, la Société des concerts du Conservatoire, la Société Nationale de Musique, les Concerts Pasdeloup… La Société des Concerts au XIX° siècle L'Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire est une orchestre symphonique française fondée à Paris en 1828 et remplacé en 1967 par l'Orchestre de Paris. Administré par l'association philharmonique du Conservatoire de Paris, il a occupé une place centrale dans la vie musicale parisienne et française pendant

soutenu par un orchestre symphonique baroque (cordes et clavecin), comporte des éléments qui vont mettre en surface une question particulière. En effet, dans sa forme ABA et dans les effets de narration chantée, quels sont les moyens mis en oeuvre pour mettre en valeur, appuyer le discours, et ainsi convaincre lʼauditeur? Nous allons axer lʼargumentaire autour du soliste chanteur, au sein de lʼorchestre. Nous traiterons des variations sur le thème, des vocalises, et du rapport chant/orchestre. I. Évolution

soliste y a-t-il ? Cette oeuvre a des dimensions gigantesques et nécessite donc du coup de moyens considérables. Elle est interprétée par: - Un orchestre principal compose de 67 musiciens environ, appuyés sur un orgue positif, un piano, deux jeux de timbales, un vibraphone et un glockenspiel. Il est place dans le cœur de la cathedrale. - Un orchestre de chambre (nettement plus petit) composé de 12 musiciens : une flûte, un hautbois, une clarinette, un basson, un cor, une harpe, un percussionniste

incroyable. Je vais commencer par parler de l'ensemble de l'œuvre pour ensuite me diriger vers la première partie: Check It Out City Life est une commande de l'Ensemble Modern (ensemble de musique de chambre allemande) du London Sinfoniette (orchestre de chambre installé à Londres) et de l'Ensemble inter-contemporain (ensemble musical français spécialisé dans l'interprétation des œuvres du XXéme siècle et du XXIéme siècle). L'œuvre repose sur l'idée, présente dans les compositions de Steve Reich

 4ème mouvement ­­ Durée du mouvement 13 minutes contre 3 minutes 30 ­­ Plan général très complexe dans la symphonie = plan sonate (= plan traditionnel issu de l'époque classique) ; ­­ Effectif : formation fanfare (cuivres + percussions) contre orchestre symphonique ; ­­   Harmonies   utilisées   beaucoup   plus   élaborées   (modulations   aux   tons   éloignés   dans   la   symphonie   et  utilisation d'un langage parfois polytonal) ; ­­ Palette de nuances beaucoup plus développée dans la symphonie

patriotisme dans ces textes, ni de sentiment religieux, mais l'affirmation d'une mort qui réconcilie les ennemis. A cause de ce mélange, ce ne peut donc pas être une œuvre destinée à un usage religieux, mais une œuvre de concert. Formation : deux orchestres, deux chœurs et trois voix solistes. Relation entre instruments et voix : Cette formation instrumentale joue avec cette formation vocale : Mouvement étudiée : le « Dies irae », les deux premières parties. C'est le deuxième mouvement du War