Ordre de la Pléiade

sentiments personnels faisant appel à la sensibilité du lecteur Elégie : poésie lyrique, souvent amoureuse, dont le ton est mélancolique et tendre. Synesthésies : traductions des correspondances qui disent les affinités entre l’humain et l’univers. Ordre du senti, sensation, pas clairement montré. Fable : rôle didactique. Elle comporte toujours un récit, le plus souvent allégorique, et une leçon de morale ou précepte formulé en un ou plusieurs vers de portée générale. Epigramme : chez les anciens :

: écrire « le poème de l’ho ». Il s’inspire de la Pléiade. Ici les f° de civilisat° mais surtout, le poète voit, civilise et est rejetté En quoi cet extrait éclaire t-il la fonction du poète ? I) Le poète voit : I°) lien entre la divinité et le poète  Chp lexical du religieux + (v 1)= volonté divine  Intermédiaire Dieu/homme  Capacité du poète à appartenir à deux mondes (v 14)  Chp lexical de la malédiction par rapport au ordre  (v 11/12) // ac fig biblique de St JB ki prépare

il peut s'agir aussi, plus souplement, d'un courant qui, sans former une école à proprement parler, offre une unité esthétique et idéologique forte. » Liste de ces mouvements et leurs explications : -l’humanisme (XVIe siècle) -La pléiade (2eme moitié du XVIe siècle) -Le baroque (fin du XVIe siècle-1ere moitié du XVIIe) -Le classicisme (2eme moitié du XVIIe siècle) -Les lumières (XVIIIe siècle) -Le romantisme (1ere moitié du XIXe siècle) -Le réalisme

duc d’Orléans. C'est probablement pour servir d'yeux Pierre de Ronsard est le quatrième enfant[3] de Loys et d'oreilles à Charles, qu'il suit Lazare de Baïf, le père de de Ronsard, Chevalier de la Possonnière, maître d'hôtel son futur collègue de Pléiade et compagnon à cette occadu Dauphin et de Jeanne Chaudrier, veuve des Roches. sion, Antoine de Baïf, lors de son ambassade auprès des Son père, chevalier à 21 ans, ayant participé aux guerres princes allemands[13] . d'Italie[4] est un homme féru

comme une période obscure. Les principaux auteurs humanistes : Thomas More, Erasme, Rabelais,  Montaigne . 2 – La pléiade (16e siècle) Au 16ème siècle, dans les années 1549-1570,  sept poètes de la Renaissancefrançaise  se donnent pour nom La pléiade (en allusion au nom d’une constellation de sept étoiles). Ces poètes participent au mouvement humaniste. On retrouve ainsi chez eux la même 

selon les mouvements ou les périodes différentes ? Dans cette anthologie, nous avons entrepris de vous présenter onze poèmes de onze auteurs différents sur une période s’étendant de la Pléiade au mouvement surréaliste (soit environ une période de quatre cents ans). Nous avons classé nos poèmes par ordre chronologique en commençant par Pierre de RONSARD avec sa célèbre ode : « Mignonne allons voir si la rose ». Ensuite nous avons un auteur baroque, François Scalion de VIRBLUNEAU avec son sonnet :

Séance 3 – La Pléiade : Le sacre des poètes « Sonnet 18 » Les amours , Ronsard (histoire littéraire) I. Les origines de la pléiade. Selon la mythologie, les Pléiades désignent les 7 filles d’Atlas qui sont transformées en constellations. 3eme s. av. J.C : Plé. Représentait les 7 P-H d’Alexandrie (?) 16eme s. : Un groupe de P-H (Du Bellay, Ronsard) vont reprendre le nom de Plé. qui montre une volonté de s’inspirer de l’Antiq. (même

Perçu par l’histoire d’une civilisation comme le texte fondateur de la langue française, le manifeste de Joachim Du Bellay et autres poètes de la Pléiade a été publié en 1549. Ce manifeste intitulé Défense et illustration de la langue française met en exergue la langue française face aux langues anciennes, le phénomène de l’inspiration et l’orientation d’une poésie plus contemporaine dans le processus de formation des mots français. Dans cet ouvrage qui est la marque d’une civilisation française

maternelle d’Ionesco, son père est roumain. -> Associé au théâtre de l’absurde même si il réfute cette idée. -> Il a enseigné le français, été correcteur dans une maison d’édition puis journaliste. -> 1er Auteur à être publié de son vivant dans les pléiades. -> Il devînt académicien français Problématique proposée : S’agît-il d’une scène d’exposition classique ? a. Début qui regorge d’informations, didascalie initiale détaillée, Ionesco est précis. Où : dans une petite ville de province

Heureux qui comme Ulysse – Du Bellay (tiré de recueil les Regrets 1558) (1522-1560) membre de la Pléiade, découvre Rome qui lui inspirera le fameux regret : la ville mythique de l'Antiquité, qui n'est plus que ruines, faste et débauche. Le regret s'empare du poète, sentiment qui lui inspirera ses plus belles pages. Heureux qui, qui comme Ulysse, a fait un beau voyage est un sonnet (forme poétique fixe née en Italie au tout début de la Renaissance, c’est-à-dire à la fin du XVème siècle, et composée