Ordre des Carmes déchaux

Il existe dans une ville espagnole située sur une île de la Méditerranée, un couvent de Carmélites Déchaussées où la règle de l’Ordre institué par sainte Thérèse s’est conservée dans la rigueur primitive de la réformation due à cette illustre femme. Ce fait est vrai, quelque extraordinaire qu’il puisse paraître. Quoique les maisons religieuses de la Péninsule et celles du Continent aient été presque toutes détruites ou bouleversées par les éclats de la révolution française et des guerres napoléoniennes

précédent principalement dans les milieux « franciscains ». Ce mouvement va faire tache d’huile sur toutes les couches de la chrétienté espagnole. Les franciscains adoptent un nouveau style de vie religieuse caractérisé par l’appellation de frères « Déchaux », ainsi appelés parce qu’ils marchent pieds nus. Leur volonté est d’imiter Ssaint François dans le « radicalisme » de sa pauvreté, de sa vie pénitente et de sa contemplation. La deuxième réalité issue du réformisme franciscain espagnol est un mouvement

devient carme[->10] après ses études alors qu'il se consacrait à l'ordre des Chartreux[->11]. Thérèse d'Avila[->12], réformatrice de l'ordre du Carmel[->13], lui demande de prendre en charge l'ordre masculin du carmel. Il accepte et fonde l'ordre des Carmes déchaussés[->14]. Il accompagne spirituellement les sœurs du Carmel[->15], avant d'être enfermé par les autorités de l'Ordre[->16] qui refusent sa réforme. Jean de la Croix fait alors la très célèbre expérience mystique de la « nuit obscure[->17]

espagnols. Ils faisaient parti du Carmel. Teresa de Jesús était réformatrice de l'ordre du Carmel et Juan de la Cruz était carme. Teresa de Jesús demandit à Juan de la Cruz de prendre en charge l'ordre du masculin du carmel, il accepta et fond l'ordre des Carmes déchaussés. (Carmel: organisme religieux se dédiant à la contemplation (action d'observer)) Rappelons ce qu'est le mysticisme: Ce qui est relatif aux mystère d'une religion, dont la foi religieuse est très pronnoncée. Syn: spirituel

vaut maintenant le statut d'être appelé le Docteur de la Nuit et le Prince des poètes. Où et dans quel condition avez-vous écrit votre 1er poème ? J'ai écris mon 1er poème lors de mon enfermement, le 02 décembre 1577 par des frères de l’ordre des Carmes du monastère de l’incarn à Avila où j’habitais comme confesseur des religieuses car j’étais mis au secret. Lors de votre libration, qu’avez-vous fait ? Je suis resté enfermé pendant 9 mois et j’ai été plus créatif lors de ma sortir. En 1551, j’exploit

Je n’aime pas les prêtres " dit le maître. II - Les prêtres du clergé régulier : L’histoire de Frère Jean et du père Ange " Les moines sont implacables " dit Jacques qui raconte l’histoire p 77. Elle concerne les Carmes déchaux (c.à.d. qui ont les pieds nus dans les sandales), ordre mendiant. * Frère Jean, le frère de Jacques, incarne la paillardise. Le texte joue du sous-entendu grivois pp76, 80-81(concernant les enfants naturels de Jean) et peut-être sur les références bibliques (frère de

Jean, mon a porté sot un était allé chercher frère, était un malheur ; il eut comme moi le repos d'esprit: c'est garçon été mieux ; mais cela était écrit fruits,du vin qui lui ce lui qu pour était écrit que le frère quêteur des Carmes dans notre des œufs, de village demander chanvre, des Lisbonne. à il eût été là-haut. qui Il venait la laine, du chaque saison, logerait mon père, qu'ildébaucherait Jean, mon frère, et frère, prendraitFhabit de moine. Jean, mon chez que

comme 75 moi ; mais cela était écrit là-haut. Il était écrit que le frère quêteur des Carmes qui venait dans notre village demander des œufs, de la laine, du chanvre, des fruits, du vin à chaque saison, logerait chez mon père, qu’il débaucherait Jean, mon frère, et que Jean, mon frère, prendrait l’habit de moine. Le maître : Jean, ton frère, a été carme ? Jacques : Oui, monsieur, et carme déchaux. Il était actif, intelligent, chicaneur ; c’était l’avocat consultant du village. Il savait

là−haut. Il était écrit que le frère quêteur 118 Jacques le fataliste et son maître des Carmes qui venait dans notre village demander des oeufs, de la laine, du chanvre, des fruits, du vin à chaque saison, logèrait chez mon père, qu'il débaucherait Jean, mon frère, et que Jean, mon frère, prendrait l'habit de moine. LE MAÎTRE: Jean, ton frère, a été Carme ? JACQUES: Oui, monsieur, et Carme déchaux. Il était actif, intelligent, chicaneur; c'était l'avocat consultant du village. Il savait lire

bouger. » « Tout à l’heure, vous avez observé mes sandales, at-il dit. — Vous lisez vraiment dans les pensées ? » Il ne m’a pas répondu. « Je vais vous raconter une partie de l’histoire. Celle de la fondation de notre ordre. Nous sommes ceux que l’on appelle les carmes déchaux, selon les règles établies par sainte Thérèse d’Avila. Les sandales font partie de la règle ; être capable de dominer le corps, c’est être capable de dominer l’esprit. « Thérèse était une belle jeune fille, mise au couvent