Organisation internationale

tout au moins de conversations … ». Ainsi les actions des différents acteurs au gré de leurs intérêts ont déclenché un véritable ballet diplomatique. Le gouvernail de cette diplomatie sera tenu aussi bien par certains Etats (A) que des organisations internationales (B). A_ L’INTERVENTION DES ETATS Plusieurs Etats se sont plus ou moins mis au devant de l’action diplomatique. Ce sont principalement les Etats de la sous-région et l’ancienne puissance colonisatrice.

I. PROCEDURE D’INTEGRATION DES CONVENTIONS INTERNATIONALES La validité des traités peut s’apprécier à deux points de vue : du point de vue formel, c’est-à- dire des règles de conclusion des traité (A), et du point de vue du fond (B). Nous y reviendrons de manière successive. A. Les conditions de validité formelle Pour une validité effective, une convention doit remplir certaines conditions au nombre desquelles: la négociation, l’adoption, la signature, la ratification, puis l’entrée en

est un phénomène plus complexe que cela. Comment peut-on réellement le définir ? Pour saisir l’ampleur du phénomène et ses caractéristiques, nous ferons un constat puis déterminerons ses acteurs principaux et enfin ses limites. Les échanges internationaux sont sans cesse mis en valeur, développés. Ils constituent un aspect important de la mondialisation. L’explosion de ces échanges est devenue manifeste depuis la révolution industrielle et s’est accélérée à partir des années 90 avec la chute du

Il s’agit d’une analyse originale, et importante pour notre réflexion sur la mondialisation, de l’utilisation chaque fois plus présente du concept de pauvreté par l’idéologie dominante et en particulier par les institutions internationales, et ses conséquences pour le mouvement social et les luttes sociales. La pauvreté est une réalité concrète et douloureuse pour des centaines de millions d’êtres humains dans le monde. En même temps, elle est une construction idéologique qui répond – de tous

PARTIE : GEOGRAPHIE Document 1 : 1.a. Les « french doctors » sont une poignée de médecins français, volontaires de la croix rouge. Ils inventèrent le sans frontiérisme (principe qui place les droits des victimes au dessus des règles du droit international et fait fi du tracé des frontières). 1.b. L’intervention des « french doctors » bouscule les habitudes car normalement nul ne peut intervenir pour faire cesser les hostilités car ce conflit était une affaire intérieure au Nigéria. 1.c. Ils interviennent

Chapitre 1 : Genèse et cadre d’ensemble. I- Institution économique international et gouvernance mondiale. Le système économique international a connu un ensemble de mutation depuis les années 60 : la mondialisation : elles correspondent à des évolutions de nature différentes comme : - L’expansion du commerce international. - Des marchées de plus en plus mondialisés. - Une ouverture des anciens pays socialistes. - Le développement des pays à industrialisation rapide d’Asie. - Une libéralisation

interdépendances. c. Organisations internationales (ONU, FMI…) ou régionales (UE, Alena…) réduit particularismes, multiplie échanges. d. Fin de la bipolarisation > extension su monde démocratique et Etats-Unis devient le seul « gendarme » du monde. II- Monde encore fragmenté a. Grandes aires culturelles aux caractères distincts b. Etats en nombre croissant et se différenciant de multiples façons (étendue, population, organisation interne…) c. Inégalités

LES BASES D’UN NOUVEL ORDRE INTERNATIONAL (1920-1924) A la sortie de la première guerre mondiale, il y a deux grandes tentatives de construire les relations internationales sur des bases nouvelles : les russes et les principes de Wilson. I. Peut-on moraliser la vie internationale ? Sur quelles valeurs ? Avec quelles organisations ? Pour la révolution russe. Dans l’œuvre de Marx, il n’y a pas de théorie sur les relations internationales. Les rapports entre Etats traduisent

La reconnaissance internationale de l’Etat La reconnaissance internationale de l’Etat constitue un élément incontournable de l’insertion des Etats dans le jeu des relations internationales et bilatérales. Elle constite en un « acte par lequel un Etat existant déclare tenir pour un Etat une collectivité nouvellement apparue et revendiquant cette qualité et s’engage à la traiter comme tel dans les relations qu’il entretiendra désormais avec elle »[1] .La question est de savoir, au delà de la forme

la langue française au début des années 1980 dans le cadre de travaux économiques et géopolitiques. Il signifie l'accroissement du volume des échanges commerciaux de biens, de services, de main-d’œuvre, de technologie et de capital à l’échelle internationale et dérive du verbe « mondialiser » attesté dès 1928 . Il désigne initialement le seul mouvement d'extension des marchés des produits industriels à l'échelle des blocs géopolitiques de la Guerre froide. Longtemps cantonné au champ académique, il