Origines Et Evolution Du Genre Romanesque

Le roman a connu des formes et une reconnaissance variables entre le XVII ème siècle et notre époque. Quelles sont les sources du genre romanesque ? Quelles ont été les grandes étapes de son évolution ? I- Origines du roman Aujourd'hui : roman opposé à la poésie et mots « roman » et « prose » inséparables. Cpdt : mot « roman » apparaît au Moyen Age et représente un récit littéraire généralement écrit en vers et rédigé en « roman » c-a-d en langue vulgaire. Troubadours utilisent cette forme de

sémantique. 3Couvrant un large spectre en termes de périodes et de courants littéraires, d’univers linguistiques et socio-culturels (du Siglo de Oro au XIXe siècle français, des avant-gardes des années vingt au postmodernisme américain et à l’actualité romanesque espagnole ou d’Afrique francophone), ces articles fournissent les éléments d’une typologie (repérage des formes revêtues par le stéréotype), d’une topographie (description de ces formes, de leurs contours et de leurs modalités d’insertion dans le

La littérature de la fin du Moyen Age (XIV-XV) 1. Evolution du genre romanesque à la fin du Moyen Âge 2. Les genres théâtraux à la fin du Moyen Âge (cf. poly sur le théâtre) 3.Le nouveau lyrisme de la fin du Moyen Âge I- Evolution du genre romanesque à la fin du Moyen Âge a- Généralisation de la prose : Hégémonie de la prose qui, à la fin du XVe, détient à peu de chose près le monopole de la narration. Le roman en vers n’existe presque plus.

FELIX GAIFFE LE DRAME EN FRANCE e AU XVIII SIÈCLE 1971 LIBRAIRIE ARMAND COLIN 103, Boulevard Saint-Michel - Paris 5e TABLE DES MATIERES Pages AVANT-PROPOS NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE 1 PREMIÈRE PARTIE. — Les Origines du Drame. CHAPITRE PREMIER DÉCADENCE ET TRANSFORMATION DE LA TRAGÉDIE ET DE LA COMÉDIE AU XVIII' SIÈCLE. I. — L'épuisement des genres dramatiques classiques au XVIII* siècle est constaté par toute la critique : opinions de Mercier, Grimm, Rousseau, Diderot, Voltaire

"mimesis" du réel, un personnage « existe » par des indices explicites, relativement faciles à identifier, ceux que fournit d'abord son nom. Associé éventuellement à un prénom, le nom du personnage signale en effet l'écart qui sépare la création romanesque de la vie réelle. Car si, dans celle-ci, un jeune homme fin et racé peut s'appeler Marcel Bouffartigue (par exemple !), il ne saurait en être question dans le roman : ici le nom résulte d'un choix concerté. Ce sera donc Raphaël de Valentin (par

naturaliste » ou vitaliste. C’est ce que confirmeraient les métaphores vitalistes utilisées par Robbe-Grillet pour évoquer l’évolution des formes littéraires (nous en donnerons des exemples plus loin). Cela nous paraît s’accorder avec l’idée qu’il y a une évolution – souvent conçue comme cyclique – propre aux formes littéraires et/ou artistiques, largement autonome (sinon complètement indépendante) par rapport au cours d’une Histoire finalisée et échappant au conditionnement socio-historique des autres activités

|Page | |INTRODUCTION : d’une langue à un genre |2 | |LES ORIGINES DU ROMAN | | |Le roman médiéval : poésie lyrique – chanson

d=ensemble sur la SF en tant que genre littéraire qui nous permettra d=insister sur les rapports possibles entre celle-ci et notre roman dont l=auteur est assez éloigné dans le temps pour que ni lui ni ses lecteurs ne se soient jamais posé la question s=ils opéraient au sein d=un courant appelé SF. La science-fiction est une littérature évolutive qui ne peut être intégralement définie ni dans sa structure ni par rapport aux structures environnantes. La variété du genre - dont la dénomination est

Prenons par exemple le dessin. La poésie a pu s’imprégner de cette forme d’art en associant dessin et poésie, et en prouvant de cette façon que la poésie est un genre qui allie peinture et écriture. L’art poétique se mêle ainsi à l’art du dessin ; c’est d’ailleurs ce que Guillaume Apollinaire illustre clairement avec ses Calligrammes mais aussi lorsqu’il affirme être un peintre en même temps qu’il est poète: « moi aussi je suis peintre » a-t-il dit à Picasso. Rappelant d’ailleurs qu’Horace disait

haines (Zola) 1866 Qu’est-ce qu’une nouvelle ? Le XIXe siècle : âge d’or de la nouvelle * La nouvelle connaît son essor au XIX° sièce ; Maupassant (qui en écrivit environ 300), Balzac, Flaubert, ect, rédigent, parallèlement à leur œuvre romanesque, de nombreuses nouvelles. * Cette forme adaptée à la publication dans les journaux (La presse en pleine expansion favorise la diffusion des nouvelles) convient à l’époque : « Nous sommes de plus en plus pressés ; notre esprit veut des plaisirs