Orphée aux Enfers

du poète paraît être liée au lyrisme. (argument) La poésie s'inscrit dans une tradition essentiellement lyrique : dès les origines, c'est le mythe d'Orphée qui est lié à la poésie lyrique : (exemple) Orphée, poète hors pair, acquiert le droit d'aller chercher Eurydice, sa femme, enfermée aux enfers. Son talent de poète lui vaut la faveur des dieux, mais il ne parviendra toutefois pas à sauver la femme aimée ; (explication) il est l'archétype du poète lyrique, alliant célébration amoureuse et tristesse

spécialement aux noms propres, une importance qui risque de masquer le sémantisme du récit. Quelquefois Orphée prend le nom de cet autre thrace Dionysos, dautres fois encore cest Jésus-Christ lui-même qui se coiffe du bonnet de Phrygie et empoigne la lyre. Dans des films récents il devient simple traminot dans le bel Orfeo Negro de Marcel Camus ou simple... Voleur de bicyclette (De Sica). Orphée se décline en orphique, orphisme, orphéon... ce qui nous donne déjà deux orientations sémantiques: le mystère

composés de rimes afin d’aider à la mémorisation ainsi qu’à la transmission orale. Assurément, le poète Orphée, emblématique, est accompagné de sa lyre, instrument de musique semblable à la harpe et très populaire dans les civilisations antiques, donnant naissance à la notion de lyrisme. Ses pouvoirs surnaturels lui viennent de son chant, qui charme la nature entière, endort le chien des Enfers Cerbère afin d’aller retrouver sa bien-aimée. En outre, les grandes œuvres poétiques sont chantées : L’Enéide

Rester sourd aux cris de ses frères ! Ne souffrir jamais que pour soi ! Non, le poëte sur la terre Console, exilé volontaire, Les tristes humains dans leurs fers ; Parmi les peuples en délire, Il s'élance, armé de sa lyre, Comme Orphée au sein des enfers. " Orphée aux peines éternelles Vint un moment ravir les morts ; Toi, sur les têtes criminelles, Tu chantes l'hymne du remords. Insensé ! quel orgueil t'entraîne ? De quel droit viens-tu dans l'arène Juger sans avoir combattu ? Censeur

Pausilippe, mont où se trouve le tombeau du poète latin «Pausilippe altier, de mille feux brillant,» (v.13) b) Sous le signe d’Orphée «Car la Muse m'a fait l'un des fils de la Grèce.» (v.8) - La périphrase «un des fils de la Grèce.» évoque le poète Orphée → La Muse le proclame l’un des «fils de la Grèce» en lui révélant le secret des cultes car le «fils de la Grèce» est un croyant de la religion orphique → La Muse serait-elle le principe de recherche poétique qui a conduit NERVAL vers les mythes profonds

regarder chez les Anciens comme une entrée des enfers. La Sybille accepte de laisser Enée descendre aux enfers pour qu'il puisse revoir son père. Mais d'abord Enée doit découvrir et cueillir un rameau d'or. Il le trouve et va pouvoir descendre. Episode de la descente aux enfers = une catabase. Dans l'Odyssée aussi il y en a une, thème des épopées.
Enée va également rencontrer plusieurs de ses connaissances qui sont mortes :
- Charon : le nocher des Enfers. Celui qui conduit une embarcation. Il a pour

: • Christianisme : fondamentaux de notre civilisation ◦ « Zone » → « Adam » - « Christianisme » - « Christ » • Judaïsme : ◦ « La Synagogue » où il cite « Ottamar » et « Abraham » deux prénoms typiquement juifs Mythologie : • Orphée : décrit une descente aux enfers au court de laquelle le poète est sauvé par la poésie • « Voix Lactée II » « la descente à reculons » • Phoenix : • oiseau qui renaît de ses cendres // Apo renaît de ses chagrins d’amour grâce à la poésie • « Chanson du Mal aimé

lecteur une sorte de tableau. Tout d’abord, nous exposons les croyances relatives à la genèse du monde et des dieux. Ensuite, après avoir passé en revue successivement les divinités de l’Olympe, celles de l’Air, de la Terre, de la Mer, et des Enfers, nous racontons les légendes héroïques, en les classant, autant que possible, par régions, ou en les groupant autour d’expéditions fabuleuses d’une grande célébrité. On nous pardonnera de nous être laissé entraîner à quelques redites. Toutes

présenter au lecteur une sorte de tableau. Tout d’abord, nous exposons les croyances relatives à la genèse du monde et des dieux. Ensuite, après avoir passé en revue successivement les divinités de l’Olympe, celles de l’Air, de la Terre, de la Mer, et des Enfers, nous racontons les légendes héroïques, en les classant, autant que possible, par régions, ou en les groupant autour d’expéditions fabuleuses d’une grande célébrité. On nous pardonnera de nous être laissé entraîner à quelques redites. Toutes ces légendes

par les pièges qu’elle tendait à son fils. Héraclès  fut dès ses 18 ans chargé de garder les troupeaux d’Amphitryon, prétexte pour l’éloigner après qu’il eut  fendu d’un coup de lyre dans un accès de rage le crâne du jeune Linos (virtuose comparé à Orphée) qui lui  apprenait à jouer de cet instrument. Il commença ses exploits en tuant après une traque de 50 jours le lion de Cithéron, qui ravageait le royaume d’Amphitryon et celui du roi Thespios. Ce dernier le récompensa en lui accordant les faveurs