Ortie

carotte, champignons, chicorée sauvage, chou, cresson, épinard, mâche, persil, pissenlit, poireau, raifort, rhubarbe, abricot, ananas, châtaigne, datte, melon, noix, olive, orange, poire, pomme, prune, raisin. Tisanes de gentiane, houblon, ortie, plantain, prêle, noyer, romarin, thym. Vitamines B4, B7, B9, B12. Complément : Argile. Angines Consommer céleri, chou, navet, poireau, thym, cassis, figue, mûre. Tisanes de thym, sauge, eucalyptus ; et en gargarismes : aigremoine, bistorte

ceux qui sont condamnées à espérer toujours. * Atmosphère inhospitalière : ¨Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie.¨ Ce champs lexical représente qu’il n’y a pas d’issue à cette chimère. Le ciel est gris, il n’y a pas de vie(ortie, gazon, chardon) #2 Montrez que le dégoût de la vie menace de l’emporter sur le rêve et l’espoir dans Chacun sa chimère. Tout au long du récit, Baudelaire parle des hommes qui portent leur

alternance haine/amour - atténuation laideur, haine → champ lexical de l'amour et de la compassion + pronoms « rien »/« tout » = unité (passante = araignée/ortie) → universalité amour (pas réservé élite) 2. Qui sont réellement l'araignée et l'ortie ? De qui parle le poète ? trois hypothèses de lecture : - personnifications → strophe 3. animalisation ortie - couleuvre (inoffensif) → atténuation agressivité + personnification araignée – gueux (apparence humaine) → hommage aux marginaux → défendre, tel

Explication du texte suivant: Baudelaire, Spleen de Paris, VI. Chacun sa chimère Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés. Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain. Mais la monstrueuse bête n’était pas un poids inerte ; au contraire, elle enveloppait et opprimait

l’araignée et de l’ortie : « leur morne souhait ». => rime souhait-hait ortie-châtie la haine que ces choses suscitent les empêchent de réaliser leur souhaitStrophe 2 : V5 assonance en [i] suggère plainte de la part des deux êtres + elles sont maudites et “chétives” = faibles fragiles => il veut que l’on éprouve de la compassion = tonalité pathétique V6 périphrase accentue caractère répugnant (araignée >noire, ortie>verte) l’ortie deviens noire par association symbolique + noir = enfer

"sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière du sol aussi désolé que le ciel" l.24-25. Nous remarquons une gradation dans la valeur symbolique de Chaplin, gazon, chardon et ortie. L'absence e chemin et gazon nous montre l absence de vie humaine et l absence de chardon et ortie évoque l absence de végétation hostile. Ces éléments nous donnent l impression de fin du monde, de désolation, le temps nous semble cyclique. Ensuite, la présence de la chimère, animal mythologique

victimes d'un monstre familier, il esquisse un tableau saisissant de la condition de l'Homme et de celle du poète. Chacun sa chimère Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés. Chacun d'eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d'un fantassin romain. Mais la monstrueuse bête n'était pas un poids

Victor Hugo Charles Baudelaire Arthur Rimbaud Tristan Corbière Francis Ponge 1 Un animal et un végétal  Araignée = animal mal aimé / Ortie= plante urticante Animal en décomposition  mort de l’animal Venus / Une vieille femme.  Beauté, sensualité,amour Un crapaud  le prince charmant ( double sens : un crapaud est également un défaut sur une pierre précieuse) Huître  objet enfermé ( parfois perle cachée) 2 Dégout-peur-rejet Laideur physique et émotionnelle Laideur

seuls éléments du paysage sont le ciel et la plaine, le reste n’est qu’imprécision et négation, ce qui est rapporté par la répétition du privatif « sans » (l.2), dans les expressions consécutives « sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie ». Cette vision vague, sans repères, nous conforte dans l’idée qu’il s’agit d’un rêve. De plus, le sol est poussiéreux puisque les pieds des voyageurs sont « plongés dans la poussière d’un sol » (l.25) et la plaine est décrite comme « poudreuse »

ou, si l’on ne craint pas de se servir d’une encore plus banale comparaison, il éprouve une sensation semblable à celle qu’on a quand on touche une ortie ou quand on frôle du doigt le bord poilu d’une feuille de cactus. >> (p.98) La comparaison << Celui à qui il est envoyé en reçoit comme une légère décharge… quand on touche une ortie…>> crée une analogie entre l’effet du message ressenti par le récepteur et la sensation de désagrément d’une légère décharge de courant. Ces comparaisons