Otages Jean Fautrier

Jean Fautrier (1898-1964) est un artiste graveur, sculpteur et peintre. En 1944, ce dernier réalise L'écorché, huile sur papier, qui est conservé au Centre George Pompidou à Paris et dont les dimensions sont de 8O*115 centimètre. Cette toile ne représente pas quelque chose de bien défini, on peut reconnaître 3 pieds collé l'un a l'autre en haut a gauche et un autre pied, seul, en haut à droite. Au centre il y a une bosse qui relient de part et d'autres les deux pieds qui peuvent peut-être

etc. Jean Fautrier : seconde guerre mondiale Jean Fautrier, Otage, vers 1943. Jean Fautrier, Otage N° 3, 1945. Jean Fautrier, Le Fusillé-otage, 1945. Jean Fautrier est un artiste français né en 1898 à Paris et mort à Châtenay-Malabry en 1964. Dès 1927, il réalise des portraits, des natures mortes, des paysages soit une peinture figurative mais souvent sombre par les couleurs employées. Sa série la plus connue est Otages, elle a été peinte entre 1943

Jean Fautrier, artiste admiré par les poètes et dont Francis Ponge disait que "chacun de ses tableaux s'ajoute à la réalité avec vivacité, résolution, naturel" est né à Paris en 1898. Après la mort de son père, sa mère l'emmène à Londres. Ses études commencées en 1908 à la Royal Académy puis à la Slade School, lui laissent un goût amer de classicisme et de traditionalisme. Déçu, Fautrier décide de prendre un atelier et de travailler seul. De retour en France, il est mobilisé en 1917. Gazé à Montdidier

Jean Fautrier (Jean Léon Fautrier), né le 16 mai 1898 à Paris 8e et mort le 21 juillet 1964 à Châtenay-Malabry1, est un peintre français. Jean Fautrier est, avec Jean Dubuffet, le plus important représentant du courant de l'art informel (tachisme). Il est aussi un pionnier de la technique de haute pâte. À la mort de son père, au début des années 1910, il s'installe avec sa mère à Londres et est admis à la Royal Academy dès l'âge de quatorze ans. En 1917, il s'engage dans l'armée et s'installe

comme la clef de l'œuvre » a écrit Jean Fautrier qui explique que pour avoir une part d’émotion dans l’œuvre, il faut une part de réel dans l’art et que cette part de réalité en serait la clef. Ainsi on pourrait déduire que l’art sert à représenter la réalité ou du moins une partie de celle-ci puisque pour aimer une œuvre, cela passe par l’émotion. On ne peut pas ressentir quelque sentiment possible sans éprouver une quelconque émotion. Donc pour Jean Fautrier, le but de l’art est de provoquer une

composé de critiques élogieuses sur Picasso, Braque ou Giacometti, qui étaient par ailleurs des amis de l'auteur. La musique influence également considérablement son oeuvre. Toujours dans « l'Atelier contemporain », il compare les tableaux de Jean Fautrier à la lyre, et dans « Pour un Malherbe » (1965), il révèle avoir passionnément étudié la musique dans sa jeunesse, et que les valeurs et principes artistiques initiaux qu'il a gardés de ces années de jeunesse étaient musicaux. De tous les grands

de l’art L’abstraction lyrique Notes : Définition http://www.dicodunet.com/definitions/culture/abstraction-lyrique.htm http://www.numartis.fr/tag/abstraction-lyrique/ -L'abstraction lyrique européenne ainsi baptisée par le critique Jean José Marchand et le peintre Georges Mathieu en 1947, dont le courant initial et principal, le tachisme, a été défini à partir de 1951 par les critiques Pierre Guéguen, Charles Estienne et Michel Tapié, lequel inclura ces deux notions dans l'art informel

en effet en 1903 que fut créé, pour la pratique du football, L’HERCULIS DE MONACO. Parmi ses dirigeants figuraient notamment : Baptistin GASTAUD, Pierre et Lazare GASTAUD, Jean FAUTRIER, Louis PASSERON. Parmi ses joueurs : Emile BARRAL, Charlot MEDECIN, Maurice MEDECIN (dit coco), Edmond MEDECIN (dit Momond), Gaston MEDECIN, Jean VERAN etc. Les rayures verticales rouges et blanches étaient ses couleurs. Le terrain de jeu était à Fontvieille, là où plus tard devait s’ériger l’ancien Stade Louis

la pluie I et II (1933 et 1940-42)  Salvador Dalí, Prémonition de la Guerre Civile (1936)  Salvador Dalí, Visage de la Guerre (1940)  Pablo Picasso, Guernica (1937)  Pablo Picasso, Le Charnier (1944)  Jean Fautrier, série Les otages (1940-43)  John Heartfield, Adolf le surhomme (1932)  John Heartfield, No Pasaran (1936) L'artiste visionnaire : I'art comme pressentiment et mise en garde.  Kurt Schwitters, Merzbau (commencée en 1923 - détruite en

détruite en 1937) Max Ernst, L'Europe après la pluie I et II (1933 et 1940-42) Salvador Dalí, Prémonition de la Guerre Civile (1936) Salvador Dalí, Visage de la Guerre (1940) Pablo Picasso, Guernica (1937) Pablo Picasso, Le Charnier (1944) Jean Fautrier, série Les otages (1940-43) John Heartfield, Adolf le surhomme (1932) John Heartfield, No Pasaran (1936) Ces œuvres sont étudiées en cours suivant les entrées du programme d'Arts Plastiques suivantes : L’espace de l’œuvre, l’espace dans l’œuvre : comment