Ouvre les yeux

fenêtre ouverte avant de se coucher. Un rayon de lune semble observer son sommeil. Le rêve de Nathan le met mal à l'aise : Il est dans son lit, et la Lune se rapproche de plus en plus, comme si elle voulait rentrer dans sa chambre. … Il ouvre les yeux. La Lune est dans sa chambre. En fait, ce n'est pas la Lune. C'est un oeil qui le fixe. Il est gros comme un ballon de basket. Il ne cille pas. Nathan s'évanouit. 06h00 Le radio-réveil chante Creep de Radiohead. Nathan sort des bras

ce côté-làQu’est-ce que tu vois mon vieux M.D…90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai cherché longtemps sur les routesTant d’yeux sont clos au bord des routesLe vent fait pleurer les saussaiesOuvre ouvre ouvre ouvre ouvreRegarde mais regarde doncLe vieux se lave les pieds dans la cuvetteUna volta ho inteso dire chè vuoije me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances Et toi tu me montres un violetépouvantableCe petit tableau où il y a une voiturem’a

Rêver, c'est fermer ses yeux dans le noir et ne voir que les éclairs interminables et incessants des souvenirs du passé; briser le silence et tout faire trembler par des mots qu'on a cloîtré dans son cœur depuis longtemps; entendre la pluie des échos de ces mots par une autre voix suivie du déluge d'un bonheur partagé; causer avec ceux qu'on aime sans arrêt pour calmer les orages par leur indélébile présence, sentir le froid contre la chaleur de la flamme du passé et savoir qu'au levée du jour, c'est

irrésistible, et on ne voit pas ce qui pourrait l’arrêter… » INT. L’APPARTEMENT DE NOURREDINE – JOUR Le tambour en marche d’une machine à laver : on voit les tee-shirts ; Le tambour, lentement, s’arrête. Un enfant d’une dizaine d’années ouvre la porte de la machine à laver. C’est Jamel, le petit frère de Nourredine. Il en tire un drap de bain bleu qui a déteint, puis un tee-shirt qui a une couleur rouge/rose. JAMEL Oh non ! Il se précipite à la cuisine où sa mère prépare le petit-déjeuner

d'eau qui pleure et qui prie Cette colombe s'extasie Tous les souvenirs de naguère O mes amis partis en guerre Jaillissent vers le firmament Et vos regards en l'eau dormant Meurent mélancoliquement Où sont-ils Braque et Max Jacob Derain aux yeux gris comme l'aube Où sont Raynal Billy Dalize Dont les noms se mélancolisent Comme des pas dans une église Où est Cremnitz qui s'engagea Peut-être sont-ils morts déjà De souvenirs mon âme est pleine Le jet d'eau pleure sur ma peine. Ceux qui

s’est placé dans cette situation : « moi seul » v.19 (le pronom ouvre la phrase, ce qui le met en valeur, et est renforcé par l’adjectif qui le suit). Sujet des verbes v.20 : « J’avance des malheurs que je puis reculer » (il a la possibilité de faire changer les choses, comme l’indique l’antithèse « avance » / « reculer »). Or, de l’utilisation de cette liberté va dépendre le sort de tt un peuple, représenté par les pluriels « yeux » v.47, et même du monde entier (« L’Univers a-t-il vu changer ses

Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire J'ai vu tous les soleils y venir se mirerS'y jeter à mourir tous les désespérésTes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent

les hommes… Depuis la mort des fées, il n’y voient plus du tout et ne s’en doutent point... » (p.29). La fée Berylune expose une réalité flagrante ; les hommes ne voient plus la vérité du monde. Durant toute sa quête, Tyltyl apprendra à ouvrir les yeux pour reconnaître cette vérité et dépasser les grandes questions qui habitent chaque être humain. C’est seulement en ayant compris et accepté toutes les réalités de la vie que nous pourrons exister pleinement et sans tourments. Pour nous, spectateurs

douce pression qui pardonne et reprend » , le passage du passé simple l11-12 à l’imparfait «  il la serrait , cette petite main » : impression de durée pour dire l’intensité du geste. Maupassant reprend ensuite l’expression conventionnelle «  leurs yeux se rencontrèrent » présente pour la première fois dans L’Education sentimentale où elle signe le coup de foudre. L’énumération d’adjectifs «  souriants, brillants, pleins d’amour » explicite le sens du regard.dernière expression

ENFANTS Action ! Action ! Action ! THOMAS mécaniquement( ) Vérité. UN GARÇON Est-ce que ton père il a une tête tordue comme toi ? Le visage de Thomas se défait d'un seul coup. Les enfants rigolent autour de lui. Un voile de tristesse passe dans ses yeux. THOMAS Je change, action. Thomas patiente pendant que ça parlemente. Il défie du regard les enfants qui se chuchotent des choses inaudibles aux oreilles des uns et des autres. UN GARÇON Tu dois embrasser Emma sur la bouche. Les filles ricanent en