Ouvrier 1880 1914

L’industrie française entre 1870 et 1914 On définit par industrie, l’ensemble des activités humaines qui permettent la production de richesses grâce à la transformation de matières premières et à l’exploitation de sources d’énergie. Elle se caractérise par une division du travail et une production à grande échelle. Le développement de l’industrie marque une rupture avec le passé, car il marque le début d’une nouvelle ère de production ; la production industrielle. Cette ère nait en France au début

curiosité/fascination ; * esprit de rationalité ; * désir de communication. Industrie = secteur où on investit (avant c’était dans la terre). B) Les étapes de l’industrialisation : | 1° R.I (révolution industrielle) 1850 - 1880 | 2° R.I | | | ≈ 1880 ≈ 1914 | ≈ 1914 ≈ 1939 | Pays Initiateurs | Royaume – Unis, France puis E – U (1780 – 1830) | Allemagne et E - U | Etats – Unis (E – U) | Innovation | Machine à vapeur (J.WATT, 1763)Locomotive (STEPHENSON, 1817) | Dynamo ; moteurs à explosions ;

Les Transports pour une économie moderne (1880-1914) Table des matières Introduction................................................................................................................................. 1 I.Les transports inter-urbains............................................................................................................1 II.Les transports ferroviaires.............................................................................................................2

Les mouvements ouvriers français et allemands dans la deuxième moitié du 19e I La naissance du mouvement ouvrier A Grèves, journée du travail et organisations prolétariennes à la base de l’identité ouvrière B Les influences idéologiques : la revendication d’une identité ouvrière II Le syndicalisme ou l’aboutissement d’une conscience de classe ouvrière A La naissance du syndicalisme en France et en Allemagne B Le clivage entre syndicalisme révolutionnaire et syndicalisme réformiste

important Les investissements dans les colonies ne viennent qu’en deuxième position : en 1914, les investissements français en Russie auraient atteint 12 milliards de francs et dans les colonies, selon les estimations de J. Marseille 7,5 milliards seulement. Les épargnants français préfèrent les emprunts d’État étrangers (« emprunts russes » et d’Europe centrale) parce que les taux d’intérêt sont très élevés (6 % en 1914) et les garanties des États paraissent fiables. CONCLUSION : Une étude rapide des

Marseillaise devient l’hymne national (1880), le 14 juillet fête nationale (1880) et le buste de Marianne est progressivement installé dans les mairies. • La liberté base du régime - Liberté de réunion et de presse en 1881. La presse devient un support essentiel d’information et de débat. Sa liberté renforce le caractère démocratique du régime. Le Petit Journal est, à la veille de la Première Guerre mondiale le leader incontesté de la presse, en juillet 1880, la presse parisienne tire à 1 947 000

Le mouvement libertaire en France de 1864 à 1914 Introduction « L’autorité revêt trois formes principales engendrant trois groupes de contraintes : 1. La forme politique : l’Etat ; 2. La forme économique : le Capital ; 3. La forme morale : le Religion » - Sébastien Faure. Cette phrase traduit l’idéal anarchiste qui est celui d’une société libertaire et fédéraliste où la Solidarité et l’Entraide permettront de concilier enfin le Bien-être et la Liberté. Le mot anarchie vient du grec et signifie

Les ouvriers en Europe à la veille de la guerre de 1914 Tous les pays industrialisés, qu'ils soient d'Europe, d'Asie ou d'Amérique ont connu une croissance du nombre d'ouvriers. Pourtant la question ouvrière semble se poser plus particulièrement à propos de l'Europe, dans la mesure où il semble qu'un mouvement ouvrier (syndicalisme contestataire, voire politisé et aussi partis socialistes) semble attester l'existence d'une classe ouvrière. Catégorie sociale relativement ouvrière dans ses conditions

Sujet d'étude n°1 : Être ouvrier en France de 1830 à 1975 Introduction : Définitions: Ouvrier : Celui qui travaille en échange d'un salaire. Prolétariat : Ouvrier les plus pauvres, sans capital. Taylorisme : (dès 1880) : L'ouvrier spécialisé dan une tache répétitive pour une production optimale. Fordisme : Travail à la chaîne. Repères : 1841 : Loi Guizot : Travail interdit avant 8 ans. 1848 : Journée de 11 heures (Paris) et de 12 heures. 1884 : Liberté syndicale reconnue. 14 novembre

Thème 1 : Enraciner la République (1880 – 1914) Intro : 1880 : Début de l’enracinement de la IIIème république 1946 : début de la IVème république République : forme de gouvernement ou le pouvoir n’est pas détenu par une seule personne et dont la charge de chef d’Etat n’est pas héréditaire. A – La République opportuniste (1880 – 1885) « la politique de la raison » Jules Ferry et Leon Gambetta : républicains opportuniste veulent mettre en œuvre des réformes graduelles