Oxymore Baudelaire

expressif. Comparaison (féminin) : Consiste à comparer une chose à une autre explicitement, c'est-à-dire avec un outil de comparaison explicite (comme, tel, semblable à, etc.). Exemple : « Le poète est semblable au Prince des nuées. » (Baudelaire) Métaphore (féminin) : Consiste à comparer une chose à une autre implicitement, c'est-à-dire sans outils de comparaison explicite. Exemple : « Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits. » (Paul Eluard) Périphrase

débutant. (J. Brel) chiasme : construction où les éléments de même nature se font face. Exemple : Un pour tous et tous pour un.                  Qui rit dimanche, vendredi pleurera.                   Manger pour vivre et non vivre pour manger. oxymore : juxtaposition de deux mots de sens différents. Exemple : Il est bavard, ce muet.                  Un parfait imbécile                  Un regard éteint.                  Un silence éloquent. Hyperbole : ce procédé consiste à mettre en valeur

: anaphore Répétition d'un mot ou d'un groupe de mots au début d'un ensemble de phrases successives.Définition : litote Figure de style qui consiste à employer les mots de façon atténuée pour suggérer davantage que ce qui est dit. Définition : oxymore Figure qui consiste à unir, dans un même syntagme, deux mots dont le sens est apparemment contradictoire.  Définition : allégorie Récit, description ou œuvre artistique représentant une réalité abstraite telle qu'une idée, un sentiment ou un état

n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrème simplicité. (Antiphrase) – Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse) – L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore) – Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole) – L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation) – Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se

Ex : « Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes » Arthur Rimbaud Personnification : consiste à donner des caractéristiques humaines à une chose ou un objet. Antithèse : consiste à opposer idées contraires dans une même phrase. Oxymore : consiste à mettre mots de sens opposé côte à côte. Anaphore : répétition d’un même mot en début de phrase. Parallélisme : succession de deux segments de phrase qui ont la même construction syntaxique. Ex : « Dieu est l'auteur de la pièce; Satan

partie. ex: Les voiles (=bateaux à voile) La périphrase: c’est dire en plusieurs mots ce que l’on pourrait dire en un seul. Ex: La capital de la France (=Paris) Antithèse est l’opposition de deux termes: (Ex : pour le meilleur et pour le pire) Oxymore est l’association de deux termes contradictoires( Ex : Obscure clarté ) Antiphrase : c’est dire le contraire de ce que l’on pense ( Ex: 0/20 quelle bonne note !) Paradoxe : C’est une idée contraire à l’opinion commune ( Ex : Quelle chose horrible

de la nature font de cet univers un monde féerique et merveilleux. Nous avons aussi une métonymie au vers 4 « ailes » qui représentent les oiseaux. « Les haleines » (v4), montrent la respiration des animaux et la renaissance de la vie. Il y a une oxymore, « blême éclat » (v7), « cime argentée » (v7-8), qui représente la brillance, c’est le soleil qui arrive, le levé du jour. Il y a aussi une allégorie (v9), « je reconnus la déesse » qui marque une différence entre la levée et le couché du soleil

spatio-temporels, temps verbaux, point de vue) - La syntaxe, phrases brèves (parataxe) ou phrases longues (hypotaxe) description, démonstration, addition, opposition, connecteurs logiques - Les figures de style (opposition : antithèse, oxymore, épanorthose ; atténuation : litote, euphémisme ; analogie : comparaison, épanorthose, personnification ; grammaticale : chiasme, polyptote, anadiplose ; sonore : assonance, allitération, cacophonie) Exemple sur la fable pastiche de Victor Hugo :

que deux ou trois portes basses vomirent presque en même temps, dans la cour, des nuées d’hommes….C’était les prisonniers. Métaphore 14. ‐Ils furent salués d’acclamations et d’applaudissements qu’ils recevaient avec une sorte de modestie fière. Oxymore 15. ‐Il entrait dans la cour en faisant la roue sur lui‐même avec l’agilité d’un serpent. Comparaison 16. ‐Ils chantaient une chanson du bagne…sur un air tantôt plaintif, tantôt furieux et gai. Antithèse 17. ‐Un profond sentiment de pitié me

Si certains oxymores ont été imaginés pour attirer l'attention du lecteur ou de l'auditeur, d'autres le sont pour créer une catégorie verbale décrivant une réalité qui ne possède pas de nom spécifique. Ce sont les « oxymores discrets » : étant entrés dans le langage courant, ils n'apparaissent plus comme des antithèses manifestes. Ainsi les noms composés tels que clair-obscur (de l'italien « chiaro oscuro ») ou aigre-doux, doux-amer, ou encore réalité virtuelle sont des oxymores. Cependant, un