Païen

vous a nourris n’est-elle pas aussi suffisante pour les nourrir ? » ne serait-elle pas une version païenne de Matthieu 6, 26 : « Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? » S’agit-il de simples coïncidences ou de la reformulation « chrétienne » d’une sagesse païenne ? Il est probable que l’étudiant a retrouvé chez ces Amérindiens des « hommes de bonne volonté »

hagiographie. Il y a des couplets réguliers qui vont donner naissance aux laisses des chansons de geste. C’est un décasyllabe. - Tant au niveau du contenu que de la forme, les récits religieux vont inspirer les récits païens (les épopées, la littérature courtoise) Des textes sans auteur : - Jusqu’au 13es, les notions d’auteur n’existent pas ou alors quand on a un nom d’auteur, c’est une coquille vide (= prénom + ville d’origine, mais ça

Il a fondé le monastère de Ligugé, le premier de Gaule, situé dans le Poitou. Il devient célèbre et influent dans toute la région, et devient évêque de la ville de Tours en 371. Martin entreprend d’évangéliser les campagnes qui sont alors encore païennes, on le retrouve bien au-delà de son diocèse, à Autun et durant l’hiver 385 à Paris. Il aurait embrassé un lépreux, à l’une des portes de Paris, qui aurait immédiatement guéri selon la légende. Cette porte est désormais appelée la Porte Saint-Martin

fidèlement les textes de l'Antiquité ; en effet, dans leurs sources, les personnages sont païens. Or, si on cherche à faire un récit de hauts-faits au Moyen Age, il faut que les héros soient chrétiens, et qu'ils correspondent à des valeurs particulières et précises. Pour Alexandre, l’ambiguïté religieuse est présente tout le long du roman. On trouve alternativement « les dieux » (c'est à dire les dieux païens antiques) et « Dieu » (qui fait directement référence au Dieu chrétien). Par ailleurs, son

de la Diaspora ont été persécutés par le paganisme dans l’Antiquité, avant de persécuter à leur tour le christianisme naissant. Les païens persécutèrent aussi les chrétiens dans l’Empire romain, car les chrétiens constituaient un danger pour l’autorité de l’Empereur. Avec la paix constantinienne, l’Eglise deviendra à son tour intolérante avec les Juifs et les païens, voire les hérétiques en son propre sein. Telle est l’origine de l’Inquisition. Les chrétiens affronteront ensuite l’islam avec

impériaux. L'annexion de la Frise orientale (la région s'étendant du Zuiderzee jusqu'à l'embouchure de la Weser) par les Francs ne fut acquise, en apparence, qu'après 782, voire 785. C'est à cette dernière date que Widukind, le chef de la résistance païenne des Saxons se soumit à Charlemagne. Néanmoins, la situation politique demeura tendue encore plusieurs années pour les Francs. Le peuple, d'origine celtique, de Bretagne considère le roi des Francs comme un monarque étranger, et lui résiste de manière

salut, dans le monde païen elle ne peut être que la marque d’un ébranlement radical de l’ordre humain. Invoquer le dieu, c’est tenter de restituer un ordre humain par une intervention surnaturelle. De fait, le pathétique repose aussi sur le fait que le père est presque autant désemparé que le fils. La fureur est la marque d’un monde dans lequel le sens se perd, sans que nulle stabilité possible n’apparaisse plus aux humains. Et c’est bien ici du monde des dieux païens qu’il s’agit, non du christianisme

religion. Le christ est un Dieu qui prend la forme de l’homme, et Feuerbach dit que comme Dieu se fait homme et donc que c’est celle qui (le christianisme en tant que religion) guide les autres. Le christianisme critique les religions précédentes (païennes) en disant qu’elles les a anthropomorphisé (religion grec & romaine). D’abord parce que le christ est monothéiste et parce que ce Dieu est infiniment bon. Feuerbach applique au Christ la critique que le christ applique aux autres religions. Il

que de sa nature. Par condition ils entendent avec plus ou moins de clarté l'ensemble des limites a priori qui esquissent sa situation fondamentale dans l'univers. Les situations historiques varient : l'homme peut naître esclave dans une société païenne ou seigneur féodal ou prolétaire. Ce qui ne varie pas, c'est la nécessité pour lui d'être dans le monde, d'y être au travail, d'y être au milieu des autres et d'y être mortel. (...) En conséquence, tout projet, quelque individuel qu'il soit a une

(Israël). Le Père lui dit qu’il sera fécond, cet adjectif trouve sa définition dans le nom d’Ephraïm, ensuite il fera à partir d’Israël une multitude de nations, cette action fut accomplie après la résurrection de Yéchoua, une multitude de peuples païens ont accès au salut. En l’Eternel, il lui fait cette promesse qu’il possèdera lui aussi le pays d’Israël, mais cette promesse se réalisera qu’au temps de la fin (où nous nous trouvons). Ainsi ce n’est pas seulement à Joseph qu’il fait cette promesse