Paille

utilisait pour nettoyer le plancher, décida d’utiliser un vieux chapeau de paille en guise de brosse. En l’apercevant, Séraphin lui enleva le chapeau des mains en prétextant qu’il lui avait coûté de l’argent et qu’il était encore en bon état. D’après nous, ce passage nous révèle la peur de Séraphin de manquer de tout. Il nous dit également qu’il préfère voir souffrir Donalda plutôt que de perdre un vieux chapeau de paille qui n’a plus aucune utilité. Il nous démontre aussi que l’argent passe avant

principalement Adolf Hitler. Synopsis : Ce film d'animation est une propagande anti-allemande par le biais d'une parodie de l'histoire des 3 petits cochons de Walt Disney. Dans ce dessin animé, les 3 cochons construisent une maison : L'un en paille, l'autre en bois, et le plus malin nommé Sergent Pork fit la sienne en fer équipée d'armes et de tranchées. Celui-ci prend le programme de défense nationale au plus sérieux, et incite les deux autres cochons à se munir d'équipements pour combattre

s’installèrent sur la terrasse, là, une table se dressait au milieu où il y avait des verres, des bouteilles de vin et une coupe de fruits. Plusieurs personnes déjeunaient déjà. Deux d’entre eux portaient le costume des canotiers. Ils avaient un chapeau en paille entouré d’un petit ruban noir et un mince maillot de coton blanc sans manche qui découvrait leurs bras robustes comme ceux des gladiateurs. C’étaient deux solides gaillards, l’un sur une chaise assis à califourchon qui riait aux éclats, l’autre accoudé

Texte A : Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville, acte I, scènes 1 et 2 (extrait), (1775). Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait) (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent, (incipit), © Actes Sud-Papiers (1996).   TEXTE A : Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville, acte I, scènes 1 et 2, (1775). ACTE PREMIER

journée, le sol était recouvert d’une épaisse couche de neige. Mon père et moi avions décidé de faire un bonhomme de neige. Dès qu’il fut terminé, mon père alla chercher des accessoires pour l’habiller : une carotte pour le nez, un vieux chapeau de paille et deux marrons pour lui faire de jolis yeux. Je pris un vieux balai près du chalet. A mon retour, il me sembla que le bonhomme avait bougé les yeux. Je restai planté là, incrédule, ce n’était pas possible ! Alors que je fixais le balai près de

juillet 1881 sur la terrasse de l’auberge du Père Fournaise. a) Dans le titre de l’œuvre on trouve le mot déjeuner qui est un moment du quotidien, et le mot canotiers qui fait allusion au fait que certaines personnes présentes portent un chapeau de paille et reviennent d’une balade sur la Seine. Le tableau représente donc une scène de la vie ordinaire (le titre du chapitre) du 19ème siècle d’autant plus que la scène est comme prise sur vif, elle est réaliste (on peut faire le rapport avec le fait que

mousseline, claire, tachetée de petits pois avec par-dessus sur son dos un long châle à bandes violettes, une ombrelle, un chapeau large de paille avec des rubans roses dessus. Elle a des bandeaux noirs dans les cheveux. Sa peau est brune, son visage est ovale et il comporte un nez très droit et de grands sourcils. Citations : « elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses » « Sa robe de mousseline claire tachetée de petits pois » « son nez droit » « Un long châle à bandes violettes

a voulu représenter ses amis lors du bal qui avait lieu chaque dimanche sur la Butte Montmartre, sur un tableau qui appela Bal au moulin de la Galette. Les hommes sont pratiquement tous vêtus de la même manière, costume accompagné d’un chapeau de paille, ou un chapeau noir. Quant aux femmes, elles portent toutes une robe bouffante, bleue, noire, voir même blanche. Cette touche de blancheur donne un éclat au tableau, car Renoir a su les mettre en valeur en ajoutant des touches de lumières. Auguste

confisquée Communication rompue, impossible ( langue morte, langue caduque ) II. une attitude moqueuse et sarcastique de la part du poète. Le poète s'inspire de chansons ou de textes qu'il subvertit ( qu'il modifie ). "Quand vous tiriez à la courte paille
c’était toujours le mousse qu’on bouffait les victimes sont toujours les plus jeunes
mais le temps des joyeux naufrages est passé" valeur ironique " joyeux naufrage" Expressions littéraires : " c'est fini les trois mousquetaires " allusion au roman

seulement, donc elle est retournée au garage pour aller chercher des gants de jardinage-ci. Trop couverte de toiles d'araignée et la poussière, la saleté et renforcé avec Le soleil en milieu de matinée a été incendié alors elle trouve un vieux chapeau de paille de sa mère: il monté la tête bizarrement, comme si son groupe avait été transpiré à travers et séché, durci asymétrique.Elle partit donc à nouveau au travail. Tout d'abord, elle a creusé l'écart mauvaises herbes nerveuses et de vignes, de chicorée