Palais Grassi

Ce texte s'inscrit dans un contexte politique plutôt mouvementé. A la mort de Dagobert en 639, les rois Mérovingiens (que l'on appellera les rois fainéants) ne furent plus roi que de nom, sans autorité, ils se laissèrent dominer par les maires du Palais. Pépin après avoir déposé Childéric III se fait élire roi à la place de ce dernier par les grands du royaume et est sacré une première fois par les évêques de Gaule en 751. De plus le Pape est menacé par les Lombards, et appel Pépin a son aide. Ainsi

changements dans les domaines politique, administratif et juridique. Ils concernent autant les institutions laïques qu’ecclésiastiques. I – L’évolution des institutions laïques 1) Le gouvernement central : le palais et ses agents a) Le palais Aux origines de la royauté franque, le palais n’est pas forcément un bâtiment. C’est un « palacium » qui est l’ensemble des familiers du roi : hauts dignitaires, conseillers du roi et garde personnelle du roi. Ces familiers sont appelés des « antrustions

sculpteur et peintre français, né le 25 mars 1938 à Boulogne-Billancourt. Son œuvre est exposée dans la cour d’honneur du Palais-Royal depuis 1986. Il s’agit de colonnes à rayures noires et blanches sur une place qui était autrefois un parking. Sous la présidence de François Mitterrand, le ministère de la Culture confie à Buren la réalisation d’une sculpture dans la cour d’honneur du Palais Royal. Description et analyse La sculpture occupe les 3 000m2 que la cour offre. Le nombre de colonne s’élève

nomination de comtes, ils ont cependant perdu leur côté romain et sont plus empreints de traditions germaniques. Ils sont souvent peu cultivés, ce sont plus des chefs de guerre. Les maires du Palais remplacent progressivement les rois francs. Le temps de l’expansion franque est révolu. Les maires du palais perdent des richesses et se servent des biens de l’Eglise pour entretenir leurs relations et donc leur pouvoir. Entre 670 et 740, la pratique simoniaque (commerce des choses saintes, histoire du

fait la rencontre de Mateo Bragadine, membre du Sénat, ancien Inquisiteur de l'Etat, il lui apporte son aide lors d'un malaise . Reconnaissant , Bragadine lui fait verser une petite rente mensuelle et paye toutes ses dettes Casanova vit désormer au palais de son bienfaiteur. À cette époque le carnaval dure six mois à Venise, tout le monde se masque, la prostitution est présente partout, le jeu est une autre folie des Vénitiens. Le jeu est un comportement naturel chez Casanova, il y excelle et aime

des souverains britanniques depuis 1837. Le palais compte environ 600 pièces et s'étend sur 20 hectares de parc. Ses enfants et sa mère ne résident pas dans ce palais mais à Saint Jame's Palace qui est la plus ancienne résidence royale. Ce qui symbolise Buckingham Palace, c'est ses relèves de la garde. Chaque matin d'été, et un matin sur deux en hiver, à 11h27, un détachement des gardes de la reine quitte Saint Jame's Palace pour rejoindre le palais de Buckingham et prendre à 11h30 la relève des

(coutume) terre possédées en toute propriété par une famille à titre héréditaire. Les descendants mâles de même degré partageaient sur le même pied d’égalité. L’administration : L’administration centrale : le palais Le palais est un groupe de conseillers que le roi choisit. Le maire du palais (major domus) contrôle les serviteurs du roi et les intendants qui ont pour tache de mettre en valeur le domaine royal. L’administration locale : les comtes et les évêques Les comtes sont des agents lié par

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L’Opéra Garnier L’Opéra ou Palais Garnier est l’un des éléments structurants de la ville de Paris, situé à l’extrémité de l’avenue de l’Opéra. C’est l’empereur Louis Napoléon Bonaparte, dit Napoléon III qui déclare, dans le cadre des grands travaux de rénovation de la capitale menés à bien sur son ordre par le baron Haussmann, et suite à un attentat à sa personne par des anarchistes Italiens dans la rue Pelletier le 14 janvier 1858 ; le projet de construction d’un nouvel Opéra à Paris d’utilité

nombreuses réformes visant à simplifier la gestion du Royaume. Il voit là l’occasion de généraliser à tout le pays franc, ses idées. Malheureusement, déléguant une trop grosse partie des pouvoirs royaux aux puissants seigneurs terriens et aux maires du palais qui deviennent de véritables premiers ministres, les pouvoirs royaux deviennent moindres. Gontran fait aussi reconnaître, sous le nom de Loi Salique une coutume selon laquelle le roi n’a plus à partager son Royaume entre ses héritiers. Il doit désigner