Palefroi

cour du Roi. ( on note le champ lexical du divertissement : connaissance de la musique… ❖ Richesse et abondance se lisent dans le champ lexical > étalage de luxe dans l’équipement destinés à la chasse : l.21 « belles haquenées », « fier palefroi », « poing joliment gantés ». La diversité montre la richesse : l.22 « un épervier », « un lanier », « un émerillon ». ( dvlpmt des conséquences d’une bonne éducation : l.24-32 dans le 1 § construit sur une hyperbole ~~> parfaite connaissance de

accessible à toutes les classes sociales, ce qui permettait donc une plus large utilisation de la calèche. Seulement pour les différentes classes sociales, ce n'était pas les mêmes races de chevaux qui étaient utilisées : pour les plus nobles c'était le palefroi qui était un cheval de parade, ensuite pour les déplacements militaires c'était le destrier puis pour les transports de marchandises des laboureurs c'était le roncin. De nos jours, les calèches sont utilisées pour le tourisme, en effet les régions

phrase longue, une amplitude qui contraste avec le début du paragraphe, de nombreux compléments descriptifs, et une vision idéaliste de la femme : « Si c’était pour chasser au col ou à courre, les dames montées sur de belles haquenées, avec leur fer palefroi, portaient chacune sur leur poing joliment ganté un épervier, un lanier, un émerillon ; les hommes portaient les autres oiseaux », cela est décrit aux lignes treize, quatorze et quinze. En outre il y a une vision idéalisée (harmonie, beauté, scène

leur façon et habilité à se battre ou à monter à cheval " si habiles à pied et à cheval, plus vigoureux, plus vifs et maniant mieux les armes" . De plus, le vocabulaire, les termes utilisés font appel au Moyen-Âge " haquenées" ligne 36 ; "fringant palefroi" ligne 37 ; ou l'expression " faire la courre aux dames" lignes 35 et 36 et puis, lignes 37 et 38 "joliment ganté" rappelle l'extravagance des vêtements portés de ce temps là, enfin, "la courre aux dames" est considérée comme la "chasse aux dames"

ou l'une disait : «Buvons», tous buvaient. Si l’on disait: «Jouons», tous jouaient. Si l'on disait: «Allons nous amuser dans les champs», tous y allaient. Si c'était pour chasser au vol, les dames, montées sur de beaux chevaux, leurs élégants palefrois, portaient chacune sur leur poing joliment ganté un épervier, un lanier ou un émerillon. Les hommes avaient les autres oiseaux de proie. Ils étaient si bien instruits que tous savaient lire, écrire, chanter, jouer d'harmonieux instruments, parler

couronnées, Et ses larges créneaux, Et sur les hallebardes Et les dagues des gardes Un éclair de soleil, Et dans la forêt sombre Lévriers eu grand nombre Et joyeux appareil, Chevaliers, damoiselles, Beaux habits, riches selles Et fringants palefrois, Varlets qui sur la hanche Ont un poignard au manche Taillé comme une croix ! Voici le cerf rapide, Et la meute intrépide ! Hallali, hallali ! Les cors bruyants résonnent, Les pieds des chevaux tonnent, Et le cerf affaibli Sort de l’étang

seul et s’en étonne après son combat, mais se repose, malgré cette solitude inhabituelle, fatigué par la bataille qu’il a livrée au féroce sanglier. A son réveil, toujours seul, Baudouin voit arriver devant lui « une jeune fille qui chevauchait un palefroi noir au pas de l’amble ; elle était seule. » Immédiatement, Baudouin fait preuve à son égard d’une grande courtoisie et d’une grande curiosité : la passion s’abat sur lui. C’est pourquoi l’incipit de ce chapitre revêt-il aussi, après son caractère

qu'ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un chœur dansant de jeunes filles. Métaphore dans Les Bleuets: Or c'est péril qu'aimer un prince. Un jour, sur un noir palefroi On la jeta de par le roi ; On l'arracha de la province ; Personnification dans La Sultane favorite : Le Danube qui par cinq fleuves Tombe échevelé dans la mer ! Comparaison dans Mazeppa : Les buissons épineux ; Sur ses membres

l'univers courtois et féodal qui est ici décrit: les femmes (fillettes plutôt!) sont appelées «dames», les occupations décrites sont celles du Moyen-Age (chasse à courre, chevalerie ...).Plusieurs termes de chevalerie sont utilisés: «« hacquenées », «palefroi », «épervier », «émerillon », « lanier » 1.25 à 27. La mention des activités artistiques traduit aussi la recherche constante d'un idéal esthétique et est également à rapprocher du thème de l'éducation cher aux humanistes. L.29 à 1.39 : les aptitudes

dans gril, nombril et persil. VIII - Terminaison par oi, oid, oie, ois, oit ou oix Remarques VIII : 1) Voici les mots qui se terminent par oi : aboi, aloi, charroi, convoi, désarroi, effroi, émoi, emploi, envoi, la foi, loi, moi (je), octroi, palefroi, la paroi, pourquoi, quoi, remploi, renvoi, roi, soi (il, elle), toi (tu), tournoi. 2) Voici les mots qui se terminent par oie : clairevoie, courroie, le foie, joie, lamproie, oie, proie, soie (ver à soie), voie, etc. 3) Les mots qui se terminent