Panzer

fer scandinaves. Supériorité aérienne allemande : retraite des alliés. Défaite française : Mai-Juin 40 -Les forces en présence : Supériorité militaire des allemands par la modernité du plan de Guderian : le « blitzkrieg », reposant sur le couple panzer stuka/avion. Allemagne, animée d’une volonté de revanche. Stratégie offensive fondée sur manœuvres d’encerclement. Côté français : stratégie fondée sur le couple infanterie/cher. Mais état d’esprit peu belliqueux, fort sentiment pacifiste. -Les

Anglais sont occupées par une foule bariolée qui se protège le visage des ardeurs du soleil en le couvrant d’un journal. Curieux d’ailleurs ce journal, il n’arrête pas de proclamer des victoires allemandes : là-bas, sur le front de Russie, les Panzers progressent, ils sont arrivés à une ville qui s’appelle Stalingrad et qui ne va pas tarder à tomber entre leurs mains. Le soir, à la radio, malgré le brouillage des ondes, j’entends aussi beaucoup parler de Stalingrad, mais les nouvelles ne sont pas

l'avaient même pas prévenu, et sans bénéfice aucun pour le Reich, puisque l'empire japonais ne déclare nullement la guerre à l'URSS. Le Führer a fait donc inconsidérément entrer en lice le plus grand potentiel économique du monde, hors d'atteinte de ses Panzer et de ses bombardiers. Hitler est désormais le maître absolu de l'armée et des opérations (même Staline laisse après 1942 la bride sur le cou à ses généraux, tandis que Churchill, Roosevelt et de Gaulle ne prennent guère que des décisions politiques)

l’effondrement de la Pologne, les armées française et britannique sont dans l’expectative : c’est la « drôle de guerre ». Retranchés derrière la ligne Maginot, les français attendent l’attaque allemande. Le 14 Mai 1940, les divisions de chars blindés (les Panzers), pénètrent en France, franchissent la Meuse à Dinant et à Sedan. En 7 jours ils atteignent l’embouchure de la Somme. L’armée française est dans le désarroi. A partir du 22 juin, les forces armées allemandes lancent une nouvelle offensive vers l’ouest

Le monde dans les yeux d’Hubert Henrotte, fondateur de Gamma et de Sygma, Photojournalisme, à  la  croisée  des  chemins d’Olivia Colo, Wilfrid Estève et Mat Jacob, sur l’état de la profession, Things as they are, photojournalism in context since 1955 de Mary Panzer, catalogue de l’exposition à l’occasion du cinquantième anniversaire du World Press Photo située à Amsterdam. Michel Guerrin rappelle la situation paradoxale du photojournalisme : avec des publications en baisse, la profession est menacée dans ses

l'avaient même pas prévenu, et sans bénéfice aucun pour le Reich, puisque l'empire japonais ne déclare nullement la guerre à l'URSS. Le Führer a fait donc inconsidérément entrer en lice le plus grand potentiel économique du monde, hors d'atteinte de ses Panzer et de ses bombardiers. Hitler est désormais le maître absolu de l'armée et des opérations (même Staline laisse après 1942 la bride sur le cou à ses généraux, tandis que Churchill, Roosevelt et de Gaulle ne prennent guère que des décisions politiques)

capacités de nuisance, et pour la première fois de sa vie, Marcel jouit d’une vitalité dont il ne soupçonnait pas l’existence, il se comporte comme le bon élève qu’il a toujours été et il est sourd à tout le reste, il n’entend pas le grondement des panzers, les arbres brisés dans les forêts des Ardennes, les clameurs de l’exode et les pleurs d’humiliation, tous les rêves de victoire balayés par un vent de déroute, il n’entend pas la voix de Philippe Pétain parler d’honneur et d’armistice, et tandis

comme prophète d'amour ne joue qu'un petit rôle, quoique la jeune fille, en pratiquant ces coutumes, croie voir dans 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 Haberland, l. c. L. c., p. 34 et suiv., d'après Grimm, Mythol. Anh. Deutscher Aberglaube, nº 104; Panzer, Beitr. z. d. Mythol., p. 298; Strackerjan, Abergl. aus Oldenbourg, I, p. 262; Wolff - Mannhardt, t. I, p. 243; t. IV, p. 147; Alpenbourg, Mythen und Sagen Tyrols, p. 252; Wuttke, l. c., p. 205. Wuttke, p. 230. Negelein, l. c. Haberland, l. c.,; Frazer

PAGNUCCO, Lou; ERSKINE, Cole « Companding Routines for the TMS32010/TMS32020 », pp. 169-211 in "Digital Signal Processing Applications with the TMS320 Family. Theory, Algorithms and Implementations. Volume 1" 1989 Ref: Lieu: ECS Com: [PANZE93] PANZER, Ira L.; SHARPLEY, Alan D.; VOIERS. William D. "A comparison of Subjective Methods for Evaluating Speech Quality" in ATAL, Bishnu S. (Ed.), CUPERMAN, Vladirmir (Ed.) et GERSHO, Allen (Ed.), Kluwer Academic Publishers, 1993. Ref: Lieu: ECS Com:

commissions de contrôle du traité de Versailles ne voyaient rien: et comment auraient-elles pu voir si le principal polygone de tir où s'entraînaient les artilleurs allemands se trouvait à Luga, près de Léningrad ? Ou si les soldats des chars d'assaut des Panzer-divisionen apprenaient à piloter leurs blindés fabriqués par la Krupp et par la Rheinmetall en territoire russe, à Katorg près de Moscou ? Tous les aviateurs allemands qui combattirent sur les fronts de guerre entre 1939 et 1942 furent formés sur