Paon bleu

Au dos de vif-argent Au dos de lumière A la nuque de pierre roulée et de craie mouillée Et de chute d'un verre dans lequel on vient de boire Ma femme aux hanches de nacelle Aux hanches de lustre et de pennes de flèche Et de tiges de plumes de paon blanc De balance insensible Ma femme aux fesses de grès et d'amiante Ma femme aux fesses de dos de cygne Ma femme aux fesses de printemps Au sexe de glaïeul Ma femme au sexe de placer et d'ornithorynque Ma femme au sexe d'algue et de bonbons

Singe, sous les ordres du maître Shifu. Mais Taï Lung, l'once, fourbe et animé d'un désir de vengeance, approche à grands pas et c'est Po qui devra défendre la vallée. Son rêve de devenir Maître de kung-fu se transformera-t-il en réalité En Chine, le paon blanc lord Shen découvre le secret maléfique des feux d'artifice. Inquiets, ses parents consultent une divinatrice qui lui prédisent qu'il sera vaincu par un guerrier fait de noir et blanc s'il persiste dans cette voie. Shen décide de changer son

chausse et s’appuyant sur une canne. Personnage mince, élancé, élégant, se tient sur la jambe droite, la gauche légèrement repliée vers l’arrière. S’appuie sur son épaule (une main posée sur) une femme casquée avec panache, un sein apparaît, drapé bleu, épée au flanc, sandales. 1er tiers bas : paysage : plaine vallonnée rochers à gauche, peu de végétation, arbres et ville en arrière plan, montagne, colonne de fumée ? Sur cette plaine deux personnages, jeunes enfants ailés, nus, chvx frisés, qui

sont devant lui et coller, il fait le signe de la prière. Il a la Bible posée devant lui sur un prie-dieu, ses jambes sont en dehors du tableau Il regarde la femme en face de lui. Cette femme est la Vierge, elle a un long habit rouge, avec un robe bleu en dessous, elle est également assise et tiens un bébé sur ses jambes, elle le tiens et le regarde. Le bébé est nu, et assis sur les jambes de sa mère, c'est le petit Jésus. Il lève sa main droite en faisant un signe de bénédiction et tiens dans son

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droit devant lui et ne bougeait pas. C’était un monsieur très effrayant et très vilain. C'était comme s'il portait un déguisement, car ses habits étaient très étranges. Je dis ça parce qu’il portait un chapeau rouge avec une plume de paon dessus. Il portait un pull bleu tout déchiré comme si un tigre l’avait griffé. Il avait de très gros yeux et un énorme trou à la joue droite, qui était tellement gros qu’on pouvait voir ses dents à travers. Il était vraiment étrange et il faisait peur. Je lui parlais

Le paon, le cochon et le chien Dans une ferme perdue au milieu de la campagne vivaient un vieux chien boiteux, bâtard mais gentil Ainsi qu’un cochonnet rose, dodu et simplet. Ils étaient depuis fort longtemps, très bons amis, Tout allait pour le mieux dans ce beau paradis. * Salut mon petit porcelet ! * Ha mon copain, comment vas-tu ? Ils partaient bras dessus, bras dessous Batifoler dans les prairies, L’un grognant à droite et à gauche, L’autre jouant à saute-cochon. Ces

divine, tout charme l' oreille et les yeux. Pour la première fois on vit céder l' envie au besoin de louer et d' aimer son vainqueur. Le rossignol disait : jamais tant de douceur n' enchanta mon âme ravie. Jamais, disait le paon, de plus belles couleurs n' ont eu cet éclat que j' admire ; il éblouit mes yeux et toujours les attire. Les autres répétaient ces éloges flatteurs, vantaient le privilège unique de ce roi des oiseaux, de cet enfant du ciel,

_____________ 2- LA FONTAINE ___________ 3- RIMBAUD ______________ 4- BRASSENS ____________ 5- VICTOR HUGO ___________ 6- APOLLINAIRE _____________ /6 IV- Rendre chaque vers à son poème. Voici les titres des poèmes : CHANSON POUR L'AUVERGNAT, LE PAON, LA GRENOUILLE QUI SE VEUT FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF, POUR FAIRE LE PORTRAIT D'UN OISEAU, LE CANCRE, LE LOUP ET L'AGNEAU, LES EFFARES, MA BOHEME. Ecrivez un titre à la suite de chaque vers. 1- La raison du plus fort est toujours la meilleure

Tout est beauté, grâce divine, Tout charme l'oreille et les yeux. Pour la première fois on vit céder l'envie Au besoin de louer et d'aimer son vainqueur. Le rossignol disait : jamais tant de douceur N'enchanta mon âme ravie. Jamais, disait le paon, de plus belles couleurs N'ont eu cet éclat que j'admire ; Il éblouit mes yeux et toujours les attire. Les autres répétaient ces éloges flatteurs, Vantaient le privilège unique De ce roi des oiseaux, de cet enfant du ciel, Qui, vieux, sur un