Papa Longues Jambes Weber

Compte-rendu Papa-Longues-Jambes de Jean Webster: Jerusha Abbot est une orpheline au Foyer John Grier; Etroitement surveillée par Mrs. Lippett, sa vie est un enfer... Mais un mercredi, alors que Jerusha était convoquée dans le bureau de Mrs. Lippett, elle aperçoit un homme aux jambes et aux bras d'une longueur démesurée. Peu après, dans le bureau de la dirigeante de l'orphelinat, celle-ci lui explique que l'homme qu'elle a vu dans le couloir n'était autre qu'un bienfaiteur qui

Un livre immanquable Ce roman épistolaire nommée « Papa-Longues-Jambes » par son écrivain Jean Webster et édité par « folio junior » nous dévoile la vie d’une jeune orpheline qui va être bouleverser par l’arriver d’un étrange personnage. Celui ci envoie notre héroïne, Jerusha Abbott ou plutôt Judy Abbott, à l’université. Judy ne connaissant pas son mystérieux bienfaiteur lui donne alors le nom de Papa-Longues-Jambes. La seul exigence de cet inconnu est que Judy lui envoie des lettres tout les

Fiche de lecture du livre "Papa longue jambe" de Jean Webster I - Références générales du livre Prénom et nom de l’auteur : Jean Webster Titre : Papa-Longues-Jambes Genre : roman épistolaire Collection : Folio junior Edition : Gallimard Jeunesse II - L’histoire, le résumé Au début du XX° siècle, aux États-Unis, Jerusha Abbott, élève brillante et douce, a passé les 17 ans de sa vie dans un orphelinat ennuyeux, au Foyer John Grier où elle a toujours vécu car personne ne l'a adopté. L'école

QUESTIONNAIRE DE LECTURE[1] « PAPA – LONGUES - JAMBES » de JEAN WEBSTER Travail avec le livre Cochez une seule case |1. Le roman a été écrit en : | |Edition | |1902 ( 1912 ( 1922 ( |( |Folio Junior | |

Bibliographie « Récit de vie» / CDI Titre Auteur G. Malo Editeur Niveau 1, Correspondances authentiques Lettres à sa fille Paroles de poilus L'enfant d'Hiroshima Paroles du jour j Mon papa en guerre : lettres de poilus Lettres d'un écrivain à une adolescente Lettres d'une adolescente à un écrivain 100 lettres d'adolescents Jane Calamity Jean-Pierre Guéno Isoko Hatano Jean-Pierre Guéno Jean-Pierre Guéno Jose Feron Romano Jose Feron Romano Collectif Rivages Librio Hachette / Livre de poche jeunesse

car, à l’époque, la technique était sommaire, l’anesthésie inconnue. D’ailleurs moi-même, dans mon enfance, j’appréhendais ce genre de distraction, qui, heureusement, a fortement évolué considérablement. Nous écoutions les descriptions de longues nuits d’hiver, dans la grande maison chauffée par les énormes poêles en faïence le long desquels se trouvaient les lits des domestiques qui pouvaient ainsi dormir au chaud. Il me semble aussi me souvenir de je ne sais quelle circonstance qui

ayant appartenu aux Cassini, le château de Filerval dans la Nièvre. C'est un collectionneur d'œuvres d'art et d'antiquités. La ruine familiale conduit les parents de Niki à les confier, son frère John et elle, à leurs grands parents pendant trois longues années au château de Filerval. En 1933, elle rejoint sa famille à Greenwich dans le Connecticut puis, en 1937, la famille s'installe à New York. Niki fréquente les écoles religieuses catholiques et reçoit une éducation à la française, c'est-à-dire

autre partie en faisant une comparaison de nos deux entretiens. Ainsi après avoir était opéré à plusieurs reprises cette personne, Lune d’un âge assez avancé a était opéré très jeune perdant au fur et à mesure des piqures sa vue. La perte de ses jambes ne s’est fait que progressivement. Cet entretien s’est effectué avec quelques difficultés, souvent le rappelle des questions ou d’une reformulation plus simple des questions ont était obligatoires pour obtenir les réponses de cette personne qui avec

tailladait plus que ma propre peine. Fourrant la page froissée dans ma poche arrière, je descendis à toutes jambes au rez-de-chaussée. Juste à temps ! Le bocal de sauce tomate que Charlie avait flanqué dans le micro-ondes n’avait effectué qu’un tour lorsque j’interrompis vivement les opérations. - Qu’est-ce que j’ai encore fait ? grommela mon père. - Tu es censé retirer le couvercle avant, papa. Le métal bousille les microondes. Tout en parlant, j’ouvris le bocal, en vidai la moitié dans un bol que

beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais – même si, ces derniers mois, j’aurais eu toutes les raisons de le faire – mais je n’aurais pas imaginé que ça se passerait ainsi. Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l’autre bout de la longue pièce. Il me rendit mon regard avec affabilité. C’était sûrement une bonne façon d’en terminer. À la place d’un autre, d’un que j’aimais. Noble, pourrait-on dire. Ça devrait compter en ma faveur. Si je n’étais pas partie pour Forks, je ne me serais