Papa longues jambes

propres et bien coiffés. C’est avec plein de brillantine sur la tête que je suis entré dans la cour de récréation. Tous les copains étaient déjà là et la maîtresse était en train de gronder Geoffroy qui était venu habillé en mar­tien. Geoffroy a un papa très riche qui lui achète tous les jouets qu’il veut. Geoffroy disait à la maîtresse qu’il voulait absolument être photographié en martien et que sinon il s’en irait. Le photographe était là, aussi, avec son appa­reil et la maîtresse lui a dit qu’il

entraient à la mine à poivre. Le papa Coupeau, qui était zingueur comme lui, s'était écrabouillé la tête sur le pavé de la rue Coquenard, en tombant, un jour de ribotte, de la gouttière du n° 25 ; et ce souvenir, dans la famille, les rendait tous sages. Lui, lorsqu'il passait rue Coquenard et qu'il voyait la place, il aurait plutôt bu l'eau du ruisseau que d'avaler un canon gratis chez le marchand de vin. Il conclut par cette phrase : - Dans notre métier, il faut des jambes solides. Gervaise avait repris

m’engueuler très fortement je l'avoue mais bon c'est fait et je ne regrette pas du tout. Après être arriver à Boulay, le moment le plus honteux, embarrassant et heureusement que ce n'était pas ma mère.. Ces quelques minutes, ont été pour moi les plus longues de ma vie. On était pas collé je me rappelle, je te lançais des regards qui signifiaient que c'était la fin, que j'allais mourir et pis ton regard à toi c'était ça va aller, ne t'inquiète pas sauf que pour moi et ce qui se passer dans ma tête était

psychologique en t’envoyant au visage les invectives les plus détestables aux yeux d’un enfant naïf et sans défenses. .Je serais faible, hypocrite et jaloux de ton bonheur d’adulte. Je ne saurais te montrer mon amour, toi ma fille, ma chair. - Mais papa, malgré ta dureté, je t’ai toujours aimé, tu es mon père et tu m’as donné la vie alors pourquoi es-tu si froid avec moi ? Ai-je mérité cela, moi ta fille, ta douce. Quand je me tourne vers l’avenir, je vois que je vais tout tenter pour faire éclater

le conte et protestent vivement.Désilus se gratte le crâne :– Cric ?– Crac !– Rond com’boule longue com’grand chemin’.– Bobine de fil !– Tout rond, sans fond ?– Bague !Dorilas, de son côté, poursuit son récit. Ses phrases prennent des chemins de traverses et s’arrêtent aux carrefours de tous les détails :– Donc, je retrouve le Thomonde avec mon taureau noir. Je marche derrière lui ; je regarde ses jambes : pas trop grosses, pas trop fines ; ses cornes courbées comme des serpettes. Je suis content

Introduction:la bête Le loup approche, je peux sentir son souffle glacé depuis la branche de l'if sur lequel je suis assis. Le mien est coupé net à cause de la surprise. Je ne peux pas m'enfuir, mes jambes sont paralysées par la peur. Je n'ai que 10 ans après tout, je ne suis pas entraîné pour le combat. Je reconnais ce loup:il m'observe ainsi depuis un mois. Il a le poil d'un noir d'ébène et ses yeux brillent d'une lueur farouche et meurtrière. Une grande cicatrice en forme de mâchoire de

Just Jeackin (Un des premiers producteurs de films érotiques). On y voit les jambes d’une fille avec la musique Dim dam doum. La même année les collants opaques et de couleurs font leur entrée sur le marché. Dim cible alors un public plus jeune en se lançant dans la thématique « des copines chahuteuses, rieuses et danseuses ». Dans cette publicité les jeunes filles sont sur un tandem ce qui permet de montrer leurs jambes avec les différentes couleurs de collants existants. C’est en 1970 qu’apparait

symbolisation, par personnification. d'Eugène Delacroix) N.B. : Quand une comparaison ou une métaphore est tellement utilisée qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : - en expression lexicalisée : Ex : fondre en larmes, prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton, une bouche d'égout, les bras d'un fauteuil… en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre… Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre terme

personnification. d'Eugène Delacroix) Personnification Allégorie N.B. : Quand une comparaison ou une métaphore est tellement utilisée qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : - en expression lexicalisée : Ex : fondre en larmes, prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton, une bouche d'égout, les bras d'un fauteuil… - en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre… Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre terme

La Liberté guidant le peuple (tableau d'Eugène Delacroix) N.B. : Quand une comparaison ou une métaphore est tellement utilisée qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : - en expression lexicalisée : Ex : fondre en larmes, prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton, une bouche d'égout, les bras d'un fauteuil... - en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre... Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre