Papillome

état de mort encéphalique et les infections virales sont fréquentes et particulièrement redoutables. Dans le cas de greffes d’organes, les risques infectieux sont mineurs et portent sur deux grandes classes de virus : les virus Herpès et les virus Papillome. Parmi les virus Herpès, le cytomégalovirus et les Herpès de type 1 et 2 sont actuellement contrôlés par des chimiothérapies antivirales (ce qui n’est pas le cas pour l’infection par le virus d’Epstein Barr – EBV). Or, 90 % des individus adultes

étudiant à l’UTC il y a 6 mois en Génie Biologique, j’ai étudié 4 ans à l’Université de Viña del Mar au Chili en Ingeniería Civil en Biotecnología. J’ai fait mon stage pour 6 moins au Laboratorios BioCaledonian au Chili dans le recherche du virus du papillome humain. Je parle l’espagnole, le français et l’anglais. Vincent Lanquepin Provenant de classe préparatoire MPSI/MP, j’ai intégré la branche génie informatique de l’UTC en 2009. Depuis je me suis spécialisé dans la représentation des connaissances

réponse de l’orga- nisme à l’agent infectieux [123, 275] en particulier chez le sujet immunodéprimé. Il faut quand même signaler que la valeur des risques associés à l’utilisation de cannabis est importante, de l’ordre de 3 à 5 pour le virus du papillome humain, lui- même agent du cancer du col utérin [100], pour le Neisseria gonorrhae ou chla- mydia [158, 183], et pour les candi- doses [61, 97]. Le cannabis ne joue pas un rôle dans la progression du stade de séro- positivité à celui du Sida [91

Hypohidrose (peau souple, fine et sèche). Ce syndrome à une transmission génétique: - Liée à l'X - Autosomique dominante 4 Le syndrome de Goltz Ou syndrome de dysplasie dermique focale Comporte une atrophie et une hyperpigmentation cutanée et des papillomes muqueux, anomalies des ongles et des extrémités (syndactylie - polydactylie) 5 Syndrome de Papillon Leage et Psaume (Syndrome ODF type 1) - Transmission dominante liée à l'X - Hypodontie des incisives latérales inférieures - Hyperplasie des freins

Néoplasmes Les tumeurs auriculaires affectent plus fréquemment le conduit auditif externe que l’oreille moyenne et rarement l’oreille interne. Elles sont relativement fréquentes, plus chez le chat (27%) que chez le chien. Mis à part les cas de papillomes et d’histiocytomes, les animaux âgés (7 à 11 ans) sont les plus atteints. Les tumeurs des glandes cérumineuses (adénomes, adénocarcinomes) sont les plus fréquentes chez le chien et le chat. Les tumeurs issues du cartilage sont très rares. Cependant

muqueuse : fréquente Rôle de EBV Infections staphylococciques Enfants ++ Folliculites + Avec le déficit immunitaire Infections Cour de dermatologie 2011-2012 91 Infections streptococciques Fréquentes Streptocoque B invasif Infections à virus des papillomes humains Infection génitales et / ou anales Fréquentes et intensives Risque néoplasique Difficulté thérapeutique 1. Infections mycobacteriennes Tuberculose Infection opportuniste ? Localisation cutanée : rare Résistance croissante aux antituberculeux

virales. Ils sont donc un des indicateurs possibles d'une infection virale. Ils sont - © Université Médicale Virtuelle Francophone - - Support de Cours (Version PDF) - utilisés dans le traitement de maladies virales (hépatites, virus des papillomes, VIH...), éventuellement en cancérologie. Ils sont plus rarement utilisés en traitement préventif (IFN à forte dose avec immunothérapie dans le cas de la rage avec morsure au visage). kératolytique : Qui décolle et élimine la couche de kératine

avec le cancer du col de l’utérus (B). 88, 89, 138, 139, 147, 149 2.3.2. Connaître la place des examens virologiques utiles pour la surveillance des dysplasies du col de l’utérus (C). 4, 88, 139, 147 2.3.3. Connaître les bases du traitement des papillomes humains et la prévention du cancer du col utérin (B). 76, 88, 89 _________________________________________ 2.4. Polyomaviridae 2.4.1. Connaître les manifestations cliniques des infections à polymavirus humain JC et BK et savoir prescrire

qu’il existe un risque légèrement accru de cancer du col chez les IHPPHV XWLOLVDQW OH '03$ SHQGDQW  DQV RX SOXV 3DU FRQWUH OH FDQFHU GX FRO QH SHXW SDV VH GpYHORSSHU j FDXVH GX '03$ VHXO ,O HVW FDXVp SDU XQH LQIHFWLRQ persistante due au virus du papillome humain. Il n’existe que peu d’informations GLVSRQLEOHV VXU OH 1(7(1 2Q SHQVH TXH VRQ LQQRFXLWp HVW FRPPH FHOOH GX '03$ HW G·DXWUHV PpWKRGHV FRQWUDFHSWLYHV FRQWHQDQW XQLTXHPHQW XQ SURJHVtatif, par exemple les pilules à progestatifs seuls et les

vaginale, atrophie des oviductes et hyperplasie lobulaire de certaines glandes mammaires avec doses intermédiaire et élevée; 1 cas de carcinome muco-épidermoïde du col et léiomyome avec dose élevée; carcinome des glandes mammaires in situ et papillome intracanalaire chez 1 animal recevant la dose élevée; quelques autres tumeurs. Études de toxicité spéciale Tableau 2.6 : Résumé des études de toxicité spéciale avec l’association 17d-NGM/EE Type d’étude Irritation primaire Nbre/groupe/