Paradoxe du menteur

sur la façon dont il faudrait s’habiller ou se parer . Education monastique A travers les personnages de Cécile ou Mme de Tourvel, Laclos critique l’éducation monastique comme les autres philosophes de la seconde moitié du XVIIIe siècle. C’est le paradoxe que les femmes qui sont destinées pour la vie mondaine sont formées par celles qui l’ignorent. On se rend compte que les connaissances acquises ne sont pas suffisantes pour la vie mondaine. Il est nécessaire d’apprendre l’histoire, la géographie

n’obtient pas de résultat. L’aporie n’est pas forcément sceptique mais éristique (= pas un argt de bonne foi juste pour « gagner ») de l’aporie. Exemple d’aporie chez Platon : ménon 80d et suivants + résolution socratique CM 2 cours 18/09/14 Paradoxe du Ménon : 80d à e. Soit je suis savant et je n’ai pas besoin de la chercher, soit je cherche un x (la vertu dans le Ménon) mais comme je suis ignorant je ne peux pas l’identifier comme bonne, donc ce n’est pas la peine de chercher. Argument sceptique :

Henri Cain, opéra aux États-Unis, comédie musicale à Broadway, lyrique encore en 1974 avec le compositeur estonien Eino Tamberg ou en 1980 au Festival de Liège avec Paul Danblon; chez les Italiens, en 1909 et 1923, il devient film muet — curieux paradoxe pour pareille pièce; il devient ballet en 1959 avec Roland Petit et Zizi Jeanmaire; il passe à la radio dès 1938, à la télévision à la Noël de 1960; le cinéma français confie le rôle en 1945 à Claude Dauphin, en 1990 à Gérard Depardieu… Tout cela

avec trois autres psychiatres : Prata, Boscolo et Ceccil.. Ils ont fait venir Watzlawick à Milan. Au début, elle a une approche à la fois systémique (fonction du symptôme) et stratégique (patient met à genoux sa famille et elle crée des contre-paradoxes).  Ex : Recadrer le cpt du patient comme protecteur. Ça va l'énerver et elle va arrêter, se révolter contre cette protection. Elle parle de la « prescription invariable » (où elle approche de l’école de Minuchin). Ex : Elle conseille de dire

p l o i t é s d a n s l ’ œ u v r e , digressions. notamment celui de l’amour et du serment amoureux C’est d’ailleurs la version la corrompu, celui du rapport plus baroque de l’oeuvre qui a enfant – parent, celui du été choisie, la plus riche du menteur, que Corneille n’a pas point de vue alexandrins, mais m a n q u é d e t r a i t e r d a n s aussi la plus théâtrale, la plus d’autres pièces. Clindor, le concrète. personnage principal, n’est pas un homme d’honneur, ce n’est donc véritablement pas

restriction de cette liberté. Être de mauvaise foi, c’est échapper à une réalité qui nous gêne, c’est donc une conduite de fuite. En même temps c’est une conduite volontaire, que la liberté inhérente à la conscience humaine autorise. Là est tout le paradoxe de la mauvaise foi : elle est le reflet de la liberté humaine dans toute sa grandeur, mais pose le problème du refus d’assumer cette liberté. La conscience paraît ici entrer en conflit avec elle-même. Être sincère, c’est aussi être de mauvaise

volonté générale) Par conséquent on libre de tout ce que la loi n’interdit pas. Montesquieu, De l'Esprit des lois, XI, 3. « Ma liberté est le droit de faire ce que les lois permettent ». Notre problématique s’articulera autour d’un double paradoxe : Sur un plan objectif et collectif, pourquoi acceptons-nous d’abandonner notre liberté naturelle au profit d’une liberté civile ? Autrement dit : pourquoi acceptons-nous d’obéir ? Sur un plan subjectif et individuel : suis-je l’auteur de ma liberté

ce qui est ici et maintenant ne trouve sa vérité que dans l’universel, par un effort d’abstraction et de négation de l’immédiat. Ainsi, si j’écris maintenant, parce que c’est vrai en ce moment, et que ce maintenant est la nuit, je me heurte à un paradoxe : « revoyons maintenant à midi cette vérité écrite, nous devons dire alors qu’elle s’est éventée » . Même le singulier et l’immédiat ne peuvent donc trouver leur vérité que dans l’universel. Lorsqu’Aristote (philosophe grec, 384-322) se demandait

réalité sociale pour obtenir qc de fonctionnel pour ceux qui l'imposent, et en même tps elle interprète la réalité pour rendre plausible sa justification • Elle sert à légitimer (p.ex: l'idéologie de Marx légitime le régime communiste totalitaire) • Le menteur sait qu'il ment, pas l'idéologue Groupe de référence vers lequel on oriente nos actions: une collectivité dont les opinions, les convictions et les pratiques sont déterminantes pour la formation de nos propres opinions, … Modèle auquel on peut se

doit primer sur le désir de se distinguer par un langage raffiné qui risque de devenir incompréhensible. (Boileau : « Ce que l’on conçoit bien, s’énonce clairement. » Art poétique) Remarque 9 Arrias Portrait de l’archétype du fanfaron, du menteur éloquent. Remarque 12 Théodecte Portrait du fat = le sot prétentieux et glouton qui n’a de complaisance que pour lui- même. Remarques 15 à 22 Éloge du silence et de la tempérance dans les échanges. L’honnête homme sait se taire et ne parler