Paradoxe du menteur

soit récusée la dense figuration métatextuelle, l'hypothèse est faite que la fable de l'épisode Cortier met en récit une machine désirante de l'imaginaire. Haut de page Entrées d'index Mots-clés : Ecriture, Auto représentation, Secret, Récit, Paradoxe Haut de page Plan Seuils Répétition : obsession, élucidation Répétitions diégétiques, répétition structurelle, répétition scripturale Périls et succès de l'analogie Secret, révélation et emblématisation de l'écriture. La relation à l'origine

ai été prévue par l’agent. Pas important que le risque ne soit qu’une éventualité. Difficulté d’appréciation. Parce que ce n’est pas n’importe quel risque mais de mort ou d’infirmité. On vise les blessures de nature à entrainer une infirmité. Paradoxe considérable, parce que par hypothèse le risque ne c’est pas réalisé. « Violation manifeste d’une obligation spéciale ….. » Si le risque s’était réalisé il y aurait un dommage corporel à une personne. Mais comment peut-on, puisque pas réalisé, déterminé

passions; il en a à revendre, pour me servir d'une autre locution triviale; mais ce malheureux esprit, dont la dépravation naturelle est aussi grande que son aptitude soudaine, quasi paradoxale, à la charité et aux vertus les plus ardues, est fécond en paradoxes qui lui permettent d'employer pour le mal le trop-plein de cette passion débordante. Il ne croit jamais se vendre en bloc. Il oublie, dans son infatuation, qu'il se joue à un plus fin et plus fort que lui, et que l'Esprit du Mal, même quand on ne

et des comportements d’Harpagon précédera la rédaction (champ lexical de la ruse et du mensonge, voir les mots en italique dans le texte ci-après). Exemple de production : Dans l’extrait proposé, Harpagon apparaît d’abord comme un vieil homme menteur, rusé et manipulateur. Il fait semblant de désirer l’avis de son fils sur sa future femme pour sonder les sentiments réels de Cléante, qu’il soupçonne d’aimer Marianne. Il conduit son fils à mentir pour ne pas se montrer son rival, puis à jouer au

le sentiment de ces prétendus critiques est absurde et ridicule. Le principe de l’égalité naturelle des goûts est alors totalement oublié et, tandis que nous l’admettons dans certaines occasions où les objets semblent presque égaux, il semble un paradoxe extravagant ou, plutôt une grossière absurdité quand des objets aussi disproportionnés sont comparés. Il est évident qu’aucune des règles de la composition n’est fixée par des raisonnements a priori, qu’aucune ne peut être considérée comme

comportements des autres classes sociales en fonction de leur propre système de valeur. * Ce n’est pas une critique des classes moyennes ou intellectuelles. Les classes populaires ouvrières ont-elles aussi leur préjugés (les politiciens sont des menteurs, les patrons sont des voleurs). La différence est que les classes moyennes ont davantage d’espace pour exprimer leurs préjugés, davantage que les personnes de la classe ouvrière. ------------------------------------------------- Ethnocentrisme :

L'amour, l'hôtel borgne? C'était fichu d'avance.» Comme une vraie jeune fille, elle l'avait classiquement rencontré au Louvre. À travers elle, il chercha à retrouver son intégrité perdue mais, selon un processus déjà présenté par Corneille dans ‘’Le menteur’’, il ne put que recourir au mensonge pour prouver son mensonge. Deux actes durant nous le voyons tisser, envers et contre tout, l'image destinée à enchanter Isabelle. Quand elle apparaît, au troisième acte, la vérité sordide passe sur elle sans la

leur fusion dans le concept de la Diversalité, définie comme « fusion de l’un dans le multiple »96. En donnant suite au desiderata majeur de sa position culturelle par rapport au monde, la Diversalité, l’auteur nous met en présence de quelques paradoxes apparents, comme par exemple celui de « l’unité mosaïque » et de « l’altérité monolithique » (dans Chronique des sept misères), ou celui de la structure plurielle du texte qui s’harmonise dans la construction du type emboîtement (dans Texaco)

L'amour, l'hôtel borgne? C'était fichu d'avance.» Comme une vraie jeune fille, elle l'avait classiquement rencontré au Louvre. À travers elle, il chercha à retrouver son intégrité perdue mais, selon un processus déjà présenté par Corneille dans ‘’Le menteur’’, il ne put que recourir au mensonge pour prouver son mensonge. Deux actes durant nous le voyons tisser, envers et contre tout, l'image destinée à enchanter Isabelle. Quand elle apparaît, au troisième acte, la vérité sordide passe sur elle sans la

à la logique d’accroche du médium, à sa logique marchande, qui constitue sa réalité fondamentale ou ultime et qui se mesure en taux d’audience et en « parts de marché ». Baudrillard, dans une de ses chroniques de Libération, et sous la forme d’un paradoxe, pointe ce qui serait la dernière étape de l’évolution du médium télévisé, en avançant que cette étape ne renvoie plus ni à l’événement, ni au fait, mais à la promotion de l’information T.V. ellemême comme événement ; ce qui revient à dire que la