Paradoxe Entre Décentralisation Et Fédéralisme

réalité démocratique ; 3) Un système d’auto-défense démocratique. 2. L’infrastructure démocratique L’analyse de RAYMOND ARON permet de cerner mieux ce qu’est l’infrastructure démocratique. Il classifie les régimes politiques sur la distinction entre parti unique et pluripartisme. Un tel critère permet de distinguer les régimes qualifiés de constitutionnels-pluralistes que sont (depuis la généralisation du suffrage universel) les régimes démocratiques ET les régimes à parti unique ou monopolistiques

cette époque, ce mot n‟apparaît pas comme porteur d‟un sens particulièrement important. Mais déjà il peut se définir à deux niveaux. Le niveau macro qui met en relation l‟Etat et le marché, et le niveau micro qui étudie principalement les rapports entre le dirigeant et les actionnaires (corporate governance). La gouvernance se veut une contribution à la résolution des problèmes de gouvernement mis à jour par l‟évolution du contexte d‟action de ce dernier (caractérisé par un poids plus grand de l‟incertitude)

rencontré les transformations qui s’opèrent au sein même d’un système politique et administratif en quête de légitimité : prise de conscience de la nécessité d’un rapprochement entre gouvernés et gouvernants, évolution des pratiques de l’État vers plus d’échange et de consultation, transferts de compétences issus de la décentralisation. La littérature sociologique et politique s’est emparée de ce phénomène de demande participative, croyant y déceler une tendance de fond qui viendrait supplanter un certain

l’analyse des régimes avec celle des organisations sociales. Il cherche à établir le lien de causalité entre les deux. Raymond Aron tirera comme conclusion de la lecture de Montesquieu que celui-ci postule l’existence de ce lien de causalité. Du coup, les lois dont traite Montesquieu sont des lois sociologiques avant l’heure. Montesquieu ne traite pas du Droit positif seulement, mais du lien entre ce système politique et ce Droit positif. Il y a une volonté de mettre à jour des variables explicatives

constituaient une véritable caste politique avec des pts communs : ce personnel politique est noble, en majorité parisien, et sont très riches. Le pvr est accaparé par une oligarchie. 3). L’administration. Il existe des courroies de transmission entre provinces/pvr central. Les provinces sont dirigées par des intendants qui sont des commis du Roi. Ils ont des pvrs judiciaires, administratifs et de finance. Il existait une 30aine d’intendants ds tte la France. Le pvr absolu se caractérise par une

équipe de conseillers d’Etat. Environ 200-300 personnes gouvernaient une France de 25 millions d'habitants. Tel une caste issue de la noblesse et extrêmement riche. Le pouvoir était accaparé par une certaine oligarchie. 3. Une administration Entre le pouvoir central et la province, il faut des relais qui sont des intendants ( courroies de transmission), nommés et révoqués par le pouvoir royal, qui les constituent. Il y avait en France 33 intendants, qui gouvernaient 33 généralités (départements)

fonctionnement. L’enjeu devient alors méthodologique. Faut-il une instance pour gérer la société ? A-t-elle la faculté de s’autogérer Problème de l’apparition et de la légitimité de l’Etat. Entre Etat ultra minimal et Etat providence, quel choix doit faire la société pour se réaliser L’histoire du rapport entre la société et l’Etat est marquée par une opposition croissante. Au début on ne les distingue pas puis progressivement, il va y avoir une coupure très nette. Comment peut s’exprimer cette opposition

les réformés d’Angleterre n’acceptent pas ce type d’organisation (on parle souvent d’organisation épiscopalienne), nombreux sont ceux qui sont aussi en désaccord sur certains points de doctrine, et l’ensemble de ceux qui critiquent cette proximité entre l’Eglise anglicane et l’Eglise catholique sont regroupés, quelques soient leur différence, sous une même appellation : on parle de puritains (du latin purus : pur), ils souhaitent ce qu’ils pensent être une religion pure. Durant tout le XVIème siècle

Introduction: La frontière entre le droit public et privé une très vielle division héritée par les Romains que l'on a conservé dans les facultés françaises. Certains juristes, diront avec un peu d'humour que l'intérêt principal de cette division serait d'identifier une rivalité persistante entre les deux branches principales du droit et que ce clivage continuerait de nourrir les mentalités collectives. Le droit privé contient ce que l'on appelle les "choses sales" (famille, propriété) tandis

contradictions du modèle et ses limites en théorie et en pratique. Dans le domaine politique, les Etats-Unis ont connu plusieurs ratés. Le premier Amendement a parfois été bafoué comme avec le MacCarthysme, initiative du sénateur Joseph MacCarthy qui entre 1950 et 1954 mena une véritable chasse aux sorcières contre les communistes en pleine guerre froide, tombant dans une paranoïa exagérée alors que le Parti Communiste ne comptait dans les années 1950 seulement 25 000 membres parmi les 200 millions d'Américains