Paradoxe sur le comédien

homme n'était pas liberté. Pour rechercher des idées... -Est-ce l'inspiration, mais ne serait-ce pas faire de l'artiste un mage ou un possédé? De quoi? De ce qui ne lui apparaît pas? Le comédien ne doit-il pas -aussi- apprendre et singulièrement apprendre à se maîtriser (voir Diderot, La paradoxe du comédien)? -Est-ce la connaissance d'une règle, un concept. (Utilisez le cours sur l'art, en particulier les citations de Kant.) Distinguez le génie, le talent... Conséquence pour le sujet. Serait-ce

tyran qui se plaint d’avoir trop de pouvoir, et en même temps d’être soumis à un autre pouvoir, c’est une situation paradoxale, et il faudra sans doute voir en quoi elle est tragique ; un sénateur qui donne un cours de science politique à une comédienne, au tout début d’une pièce, c’est peut-être une leçon indirecte de Hugo, et ce serait du théâtre engagé. 3. Donc on analysera d’abord la tragédie d’Angelo, en montrant qu’il est soumis à des forces qui le dépassent et qui le font agir : un pouvoir

une improvisation à partir d'un canevas,le texte n'étant que secondaire, cela donne a la représentation l‘illusion de la réalité. Aujourd'hui, le système des emplois est aboli. Quand un comédien fait chair avec son personnage, qu'il joue avec réalisme psychologique, on parle alors de « théâtre incarné ». Le comédien interprète son rôle en imitant la minière dont son personnage se comporterait dans la vie réelle. Les principaux thèmes du théâtre au XVIIe siècles sont les sentiments amoureux, que

historique des théories théâtrales permet de voir que cette opposition entre un jeu fondé surtout sur l'émotion et un jeu fondé sur une contruction intellectuelle n'est pas nouvelle, et qu'elle prend sa source dans un ouvrage célèbre : Le Paradoxe sur le comédien, de Denis Diderot, auteur que Brecht considérait comme son maître. Nous allons donc examiner les deux méthodes, indépendamment de leur ancrage historique. Identification au personnage ou maîtrise du jeu. Dans l'identification, tout le travail

Réflexion Le comédien Le comédien est, littéralement, celui qui joue la comédie. Il interprète le rôle qui lui est attribué. On peut également en rapprocher le terme d'acteur. La différence entre les deux termes n'est actuellement pas clairement faite. Certains disent que l'acteur est celui qui met en acte, et c'est un terme généralement utilisé pour le cinéma, et le comédien est celui qui joue la comédie, c'est un terme qui s'utilise le plus souvent au théâtre. C'est effectivement ce que l'on

sont variés ; le dialogue bien sûr mais aussi l’éclairage, la musique, le décor, le maquillage, les costumes. Ils créent une atmosphère, une illusion qui entraînent le public « hors du monde », hors de son quotidien. Pour Diderot, dans « Le Paradoxe sur le comédien », le bon acteur est celui qui garde la tête froide et n’est jamais réellement ému car le vrai au théâtre n’est que convention. Le langage aussi est irréel : au XVIIe siècle, les faux dévots ne s’exprimaient pas en vers et jamais, un jardinier

succès. En revanche, Le Père de famille, créé à la Comédie-Française en 1758, connaît une jolie carrière. De ses Observations sur l'acteur Garrick et les acteurs anglais, publiées dans la Correspondance littéraire en 1770, naîtra le célèbre Paradoxe sur le comédien, qui n'a pas fini d'alimenter la réflexion des exégètes. Une dernière pièce, qui prend en 1781 le titre de Est-il bon ? est-il méchant ? ne sera publiée qu'en 1834.

Le style de Diderot, vif, naturel, privilégiant le dialogue, a fait sa popularité

Aujourd'hui, par l'influence de l'anglais, l'usage tend à réserver parfois le terme " acteur " aux interprètes de cinéma et le terme " comédien " aux interprètes de théâtre. Littéralement, le comédien est un acteur plus particulièrement spécialisé dans la comédie (κωμωδ?α), de même que le tragédien est davantage spécialisé dans la tragédie (τραγωδ?α). Toutefois, le terme de " comédien " recouvre surtout une notion d'état, de métier, tandis que celui d'" acteur " recouvre une notion de rôle, de fonction. L'acteur

beaucoup d’importance aux effets de mise en scène (changement de décors et machinerie). ----------------------- Théâtre baroque Emotion, perception Illusion Inconstance, paradoxe, excès Complexité Théâtre classique Analyse intellectuelle Vraisemblance Unité de ton Simplicité ▪ Les comédiens formaient une communauté à part. Ils étaient privés de tout sacrement religieux. ▪ Principales troupes parisiennes => Théâtre du Marais Théâtre

accompagnée parfois de l’ironie, et les dialogues entre les personnages. Nous considèrerons d’abord l’idée d’argumenter à travers la comparaison pour attirer l’attention du lecteur comme on peut voir dans le texte n.1 Le paradoxe du comédien (L’Esprit des lois), Diderot et dans le texte n. 2 De l’esclavage des nègres, Montesquieu ; pour voir ensuite le procédé d’argumentation réalisé grâce à l’utilisation des personnages qui ont le but de