Paradoxe

travers l'arc. B. Les effets 1) Scission du personnage • • Séparation corps/âme : v536, v558, v525. Les paradoxes v541 : o contre vous : luttre contre l'amour • contre moi : lutte contre lui-même Au vers 542 on retrouve le parallélisme, l'antithèse et le paradoxe : o parallélisme : symétrie des vers (syntaxe, versification ...) o antithèses : présente/absente et fuis/trouve o paradoxe : présente puis fuis et absente puis trouve (pensées) o Hypollite pense tout le temps à Aricie. •

efficacement son lecteur : →importance de la 1ère phrase «  Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » : courte prosopopée des civilisations qui implique une personnification avec l'adjectif « mortelles ». Sorte de paradoxe (puisqu'il qualifie de mortelles, une abstraction). Rythme croissant (2/4/6/6) qui donne à la phrase de la majesté, digne des grandes déclarations officielles. Le référent du pronom « nous » est postposé et crée un effet de surprise et interpelle

qui peut faire basculer l’équilibre entre les deux pays. Chaque partie voit les choses dans SA perspective. Ce sont d’ailleurs les mots qui sont tragiques. "Et tout cela s’applique à la pièce" : "tout cela" regroupe tous les paradoxes qui viennent d’être énoncés. Or, le paradoxe est le moteur de la pièce : Clytemnestre est tuée pour l’amour qu’Electre possède envers Agamemnon. Celle-ci, qui manque cruellement d’amour, supprime tous ceux qui seraient capables de lui en apporter. Toute la pièce est une

l.11, Elle a tout le temps les 'regards furtifs mais pénétrant" de Valmont. B - Eloge du "déshabillé" - Sujet des phrases vêtement : montrent Mme De Tourvel à Valmont. - Adjectif mélioratifs --> voir hyperbole : Valmont apprécie Mme de Tourvel. - Paradoxe sur dérivation : la beauté se suffit à elle même. C - La rencontre sensuel. - sens : Vue, toucher, ouie ---> Etreinte réciproque + indices des sentiments de Mme de Tourvel et Valmont sur de lui. II - Le projet d'un séducteur pervers. A - Valmont

préjugés et des idées vagues. Il existe (au moins) deux façons de comprendre ce qu’est le travail de problématisation par rapport au libellé du sujet : on s’interroge d’abord en amont sur les raisons qui font que la question se pose (recherche de paradoxes, d’exemples difficiles à interpréter...), et se demande ensuite en aval comment diviser la difficulté afin de pouvoir prétendre y répondre. Voilà aussi qui forme l’un des principaux critères de notation : savoir identifier les problèmes posés par

NOTIONS EN R I G É CORRIGÉ C d’analyse JEU La vérité ; l’interprétation ; la liberté. THÈSE ADVERSE La philosophie est sans valeur tant qu’elle ne donne que des incertitudes. PROCÉDÉ D’ARGUMENTATION Russel pose un paradoxe : la valeur de la philosophie est dans son caractère incertain. La philosophie introduit le doute parce qu’elle arrache aux habitudes. Mais c’est dans cette possibilité de douter des choses les plus ordinaires que la philosophie tient sa valeur

» p.170) Mort du chien Echo. Père prostré dans sa chambre. Le narrateur le délivre de son secret Séance 20 : Conclusion sur l’œuvre : a) Les paradoxes dans Un secret -phrase initiale : le frère imaginaire -rapports à la religion (« Le lendemain de mes quinze ans, j’apprenais enfin ce que j’avais toujours su. » = sa judéité (p.72) (même paradoxe que dans la phrase initiale) -« C’est le jour de son mariage, celui où il unit son destin à Hannah et il est foudroyé par cet éclair d’été. » (p

II- La Guerre a. L’absurdité de la Guerre Le paradoxe : «travailler à leur ruine» «vous pouvez passer votre vie à aimer et penser» → On est à l’opposé de ce que M. croit Le paradoxe « commande un massacre»

ne puis souffrir” , “je ne hais rien tant que les contorsions” → sensibilités l'emportent sur la raison - nbreuses répétitions du mot “coeur” et “âme” v.26 et 53 - coeur personnifié v.70 mots = image de notre ressenti profond - ton affirmé paradoxe “c'est n'estimer rien qu'estimer tt le monde” → surprendre pr faire réfléchir → aphorisme : pst de vérité générale ds une phrase emphatique - modalisations “vs devriez” “on devrait” → met en valeur le devoir moral qui devrait gouverner chq homme

fondamentaux du texte, la notion de « justice exacte » notamment, ne sont pas interrogés. Rares sont les candidats enfin qui osent se livrer à un commentaire qui ose prendre en compte la beauté rhétorique d’un texte où pourtant abondent chiasmes et paradoxes, déroutant le lecteur, texte qui choisit par ailleurs de présenter la pensée de Montesquieu sous la forme de petits paragraphes juxtaposés, donnant à la formulation un laconisme qui participe de la volonté de l’auteur de contraindre la pensée