Paradoxes De Shenzhen

et fabrique des iPhone dans la région de Shenzhen. Pour 48 heures par semaine, il gagne 130 euros par mois avec les heures supplémentaires. Il bénéficie d’une journée de repos par semaine et comme pour la plupart des usines, il est nourris et loger dans un dortoir avec huit personnes. Les entreprises profitent de ce système puisque ces mingong acceptent de travailler pour un faible salaire, les conditions de vie étant meilleure qu’en campagne. A Shenzhen, 12,8 millions de personnes sur les 15 millions

demeurent des courants (domestiques, extérieurs) œuvrant au profit d’une libéralisation politique tardant à venir, les autorités pékinoises ont appris à « gérer », à s’accommoder de ces « contingences ». 1989, année des paradoxes et des extrêmes en Chine : de Tiananmen à Shenzhen Lorsque la détermination du régime communiste à ne pas souffrir la moindre manifestation de défiance, à ne pas laisser le plus petit espace d’espoir aux partisans d’une démocratisation du régime, fut lancée un jour de mai

investissements étrangers. Tous les capitaux étrangers sont devenus propriété chinoise. Souvenirs encore présents dans les années 80. Donc pour attirer les IDE, Deng Xiaoping a créé la ZES (Zone Economique Spéciale) en 1979, 5 ZES à l’époque et la plus célèbre SHENZHEN. Création de zones où les capitaux étrangers sont protégés. Cette mesure a été couronnée de grands succès. C’est à partir de là que la Chine a reçu des fonds du monde entier. Phase II : 1992-2007 « Socialiste » Market Economy, Globalisation

en fait marqué du sceau de la culture occidentale et notamment de la culture américaine et que beaucoup de normes dites internationales sont en réalité des produits des pays industrialisés. La Chine, en allant vers la mondialisation, s’expose à un paradoxe incontournable : elle se voit obligée de s’assimiler à des critères basés sur une culture très différente de la sienne. Et la Chine n’est pas le seul pays confronté à ce dilemme : il s’agit d’une question générale que la mondialisation a posée à

malgré un gouvernement strict 4 A. Une société poussée par une révolution culturelle 4 B. Un pouvoir d’achat en nette augmentation 4 C. Une population « occidentalisée » 5 II. Un acteur inéluctable pesant sur les équilibres mondiaux 5 1. Le paradoxe d’une économie libérale ancrée dans un système communiste 5 A. Une Chine en quête de valeur libérale depuis la fin des années 1970 5 B. Le plus grand exportateur au monde 5 C. Une économie renforcée par la crise économique mondiale 6 2. La Chine

musée personnels. Une minorité de ces ghettos pour riches sont englobés dans des golfs : on parle alors de gated golf communities. C’est le cas par ex. de Mission Hills près de Shenzhen, qui constitue le golf le plus vaste du monde avec 20 km2 ! (photo 1) 2 Photo 1 : Une gated golf commuity : Mission Hills (Shenzhen). G. Giroir Les prix peuvent être tout à fait extravagants (surtout dans le contexte chinois) : la villa la plus chère de Chine a été ainsi vendue 130 millions de yuan à Shanghai

grandes nations européennes, c'est en 1949, qu'elle devient alors communiste et qu'elle commence à émerger progressivement vers le statut de puissance. C'est le 1er octobre 1949 que les communistes proclament la République populaire de Chine. Le paradoxe de cette affirmation progressive tient au fait que la stature de la Chine n'a cessé de croître depuis 1949, alors même que le communisme est entré en déclin depuis l'effondrement de l'URSS, en 1991. Dans quelle mesure la Chine est-elle devenue

entre 1985-1988 où se trouvent des capitales convoitées par les capitaux étrangers pour leur main-d’œuvre peu cher. De nombreuses entreprises sous-traitent la fabrication (ex : la Grande-Bretagne délocalise ses entreprises situées à Hong Kong vers Shenzhen) pendant que d’autres entreprises étrangères sont achetées (gaz américain, électricité brésilienne, la marque de voiture Volvo). Ce début d’ouverture économique de la Chine, preuve d’une capitalisation partielle, permet de faire rentrer des devises

Gamma + (Villes avec forte propension à devenir de classe mondiale ): Panama City, Casablanca, Chennai, Brisbane, Quito, Stuttgart, Denver, Vancouver, Zagreb, Guatemala City, Le Cap, San José, Ljubljana, Minneapolis, Saint-Domingue, Seattle, Manama, Shenzhen (18 villes) * Gamma (Villes avec propension moyenne à devenir de classe mondiale): Guadalajara (Jalisco), Anvers, Rotterdam, Lagos, Philadelphie, Perth, Amman , Manchester, Riga, Detroit, Guayaquil, Wellington, Portland (13 villes) * Gamma

Urbanisation et principales mégapoles dans le monde :.*-- âS j- *tr*& &iusa' Kuala Lumgur Ho Chr -. Or*ârr Mrih ,:; : §,8 Pacifique Rio de Janeiro §antiago Aiiê§ i 1. Ahmadabad 2. Hvderabad ,L 3. Shenzhen 4. Nsnkin ! §iYeâ$r.*.}!§$ai$!i"qtl I rx . :I i'-J-i i,t l . Prasslsalc§*âi[§sfiêtrpJslilaissr (êggbri!êration cwtrB st ra !ôg,on ürbainûl x***r*r:"1îsiu,micuer I r -l- -,1 UtbJn,sJtion evJncee mars tnachevée