Paradoxes de Zénon

En effet, il a écrit sur presque tous les domaines aussi bien scientifiques que littéraires, et il s’est lui aussi penché sur le problème de l’infini. On trouve l’essentiel dans le livre III de la Physique. Aristote va chercher à réfuter les paradoxes de Zénon et pour cela, il va distinguer deux types d’infinis : l’infini potentiel et l’infini actuel. Certes, tout segment continu d’espace ou de temps est divisible indéfiniment mais cela constitue un cas d’infini en puissance, c’est-à-dire un processus

présent ? Si on ne peut pas se représenter le temps on est encore plus loin de le connaitre et de le comprendre. Si on ne peut pas le penser on rend la réponse a comment le penser inutile. Finalement dans la tragédie du temps on trouve un paradoxe, celui de l’instant présenté par Aristote. L’instant est la mesure de temps la plus petite possible, ceci a deux conséquences. L’instant est une limite stable entre le futur et le passé et elle est indivisible. Mais si le temps est composé d’instants

sérénité). Temps objectif Temps subjectif Celui que l’on mesure, mathématiques (1 seconde = 1s), qui nous est commun et qu’on matérialise avec la flèche du temps. Marque l’irréversibilité, l’intelligence humaine (emplois du temps). Zénon, paradoxe d’Achille et la Tortue : le découpage tu temps n’est pas conforme à la réalité. Le découpage mathématique est pratique, organisationnel mais il de dit pas toute la réalité de notre rapport au temps. C’est l’écoulement, la durée de mes états

et unique et absolue cependant ne peut-elle êtres remise en cause ? II.la crise des mathématiques ou la fin de la certitude absolue. Même s’il y a eu quelque accrocs a la certitude absolue des mathématique avec les paradoxes de Zénon ou le paradoxe du sortie, cette idée va prédominer jusqu’au 19 siècle. Ensuite, la conception traditionnelle des mathématiques et de leur vérité va subir un bouleversement total avec l’émergence des géométries nom euclidienne et puis plus tard avec

nombre de dérives de la raison. Nous pouvons bien entendu citer un exemple flagrant, celui des paradoxes de raison. Celui-ci prétend démontrer que le mouvement n’existe pas. Pour expliquer sa théorie, nous pouvons prendre l’exemple d’un trin qui ferait Paris-Lyon. L’espace étant indéfiniment divisible, le train devra toujours parcourir la moitié de la moitié de etc. Ainsi le train n’avancera jamais ! Zénon est bien entendu victime d’une confusion entre le mouvement (indivisible au contraire) et la

définissent et résument le projet et les intentions de Montaigne. Reformule-les. 7. Comment comprends-tu l’affirmation : « ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain » (l. 11) ? 8. Quelle contradiction ou quel paradoxe semble comporter cet avertissement au lecteur ? 9. Pourquoi cet avertissement est-il déroutant ? Quel effet Montaigne cherche-t-il à produire sur son lecteur ? 10. Relève les pronoms qui désignent le locuteur et son destinataire. Ce texte est-il

définissent et résument le projet et les intentions de Montaigne. Reformule-les. 7. Comment comprends-tu l’affirmation : « ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain » (l. 11) ? 8. Quelle contradiction ou quel paradoxe semble comporter cet avertissement au lecteur ? 9. Pourquoi cet avertissement est-il déroutant ? Quel effet Montaigne cherche-t-il à produire sur son lecteur ? 10. Relève les pronoms qui désignent le locuteur et son destinataire. Ce texte est-il

pourquoi vivre alors ? ↳ Pour Kant : efforts vers le bien + foi (⌀ illusion pour Kant) ↳ Dieu = idéal de la raison mais il faut séparer foi et fanatisme Kant dans “La critique de la raison pratique”, 1788 ↳ Antinomie du souverain bien (paradoxe entre philosophes épicuriens / stoïciens sur la vie heureuse) ↳ 2 eudémonismes (théorie qui a pour préoccupation le bonheur avec la conviction que le bonheur est accessible sur Terre) dont le concept premier est différent →

rationalistes ? Comme philosophes rationalistes, nous pouvons citer Pythagore de Samos, Parménide d’Elée et Zenon d’Elée. Par exemple, ce que Parménide cherche à mettre en évidence c'est, d'abord, par un raisonnement logique, les contradictions où nous conduisent nécessairement nos sens. La vérité, pour lui, n'est pas contradictoire (par définition) et s'il apparaît en quelque point un paradoxe c'est non pas que la vérité soit différente mais que nos sens nous font illusion. Tout être résulte de la

projet dans une formule "je suis moi même la matière de mon livre". Il se pose le problème auquel il est confronté, et c'est lui le premier écrivain à y être confronté, comment un sujet particulier peut il intéresser un public ? il est conscient du paradoxe de l'autobiographie. CONCLUSION A travers cet avertissement Montaigne se pose tous les problèmes de l'autobiographie. Les problèmes d'écriture (pas assez sincères ou trop personnel) et les problèmes de public visé (sera t'il intéressé par