Paradoxes de Zénon

ce n’est plus de Dieu qu’on parle. » on le conceptualise : ce n’est plus dieu Bergson : « La parole ne traduit pas la pensée, elle la trahit » Mais il faut échanger quand même ! Bergson ne condamne pas le langage (nécessaire à la com) Paradoxe de Zénon d’Elée : la flèche n’atteint jamais vraiment sa cible → Décalage entre ce qu’on pense et ce qu’on dit --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

ces situations par des suites géométriques ou arithmético-géométriques. ̈ Utiliser de telles suites pour prévoir des évolutions (intérêts composés, population, etc.). ̈ Se méfier de la limite intuitive de certaines suites (voir les deux paradoxes). Sommaire 1. Pré-requis 2. Somme de termes consécutifs d’une suite géométrique 3. Limite d’une suite géométrique de raison strictement positive 4. Suites arithmético-géométriques 5. Synthèse de la séquence 6. Exercices de synthèse Séquence

de philosophes et d'orateurs; on négligea la discipline militaire, on méprisa l'agriculture, on embrassa des sectes et l'on oublia la patrie. Aux noms sacrés de liberté, de désintéressement, d'obéissance aux lois, succédèrent les noms d'Epicure, de Zénon, d'Arcésilas. "Depuis que les savants ont commencé à paraître parmi nous, disaient leurs propres philosophes, les gens de bien se sont éclipsés". Jusqu'alors les Romains s'étaient contentés de pratiquer la vertu; tout fut perdu quand ils commencèrent

suggère simplement une division évidente comme entre hommes et femmes, entre jeunes et vieux, entre homme et animal, par l’existence d’un seuil ou d’un cas particulier. Peut-on toujours diviser en deux ? Peut-on diviser à l’infini en parties ? Les paradoxes de Zénon n’ont-ils pas montré que diviser à l’infini le temps, l’espace, le mouvement et la matière posent des problèmes insolubles et notamment celui d’interrompre le mouvement ? N’a-t-on pas modifié la réalité en la considérant partie par partie au

auraient eu les moyens de le faire si leur travail n’avait pas consisté uniquement dans les traductions et quelques extrapolations de l’existant, tant dans la géométrie, arithmétique, l’algèbre ou la trigonométrie. Le calcul infinitésimal dont le paradoxe de Zénon fut la toute première référence et qui a été approché par Eudoxe et Archimède n’a connu qu’un timide développement par Thabit Ibn Qura (un nom à faire rêver certain président de parti politique en Belgique). Il s’agit manifestement d’une occasion

duplication du carré ou de celle du cube, mais suppose, là, cube ou carré, côtés sans épaisseur et solides rigoureux, transparents ou parfaits, inexistants avant l'aube grecque. Il faut maintenant comprendre l'émergence de ces idéalités.  |Les paradoxes de Zénon: paru d'un point pour accéder à | |un autre, le voyageur ou le mobile doit passer d'abord | |par le milieu du segment qui les sépare, ensuite par le | |milieu du segment qui reste, et ainsi infiniment. Donc | |il n'arrive jamais au but

plus. L’Adversaire est surtout un texte autoréférentiel, un livre sur les problèmes de l’écriture du livre que le lecteur a sous les yeux. Un roman qui est le jouet des arts du diable. C’est ainsi que l’écriture blanche prend les sombres couleurs du paradoxe. Comme un de ces énoncés («Je suis en train de mentir») qui semble banal dans sa forme jusqu’au moment où l’on commence à en tirer toutes les conséquences. Si, comme je viens de le suggérer, Carrère semble voir en Romand une sorte de double de lui-même

spatialisé. Le temps et le mouvement sont mesurables, divisibles, une fois que la trajectoire est dessinée dans la matière, dans l’espace. Mais une telle division du temps rend incapable de penser le mouvement comme le montraient dès l’Antiquité les paradoxes de Zénon (Achille et la tortue, et la flèche immobile à chaque instant). La question du temps est au cœur de la philosophie de Bergson car le temps doit être imprévisible, créateur, que l’histoire du vivant est l’histoire du même élan vital qui s’inscrit

anthropologiques une telle affirmation peut-elle engendrer ? Quelles espérances est-on en droit d’attendre d’une réalité évoluant avec le temps ? Nous traiterons ce sujet en n’oubliant pas de mentionner succinctement différentes objections et différents paradoxes soulevés par l’affirmation. Afin de dire en quoi la réalité est temporelle nous allons « partir des choses connues » (Aristote, Ethique à Nicomaque I, 2), et même dirions-nous des choses qui composent la réalité qui nous entoure et qui nous

dans le même fleuve.».   La richesse et la complexité du stoïcisme reposent d’une part sur sa durée (plus de cinq siècles.: 3e siècle av. J.C./2e siècle de notre ère) et, d’autre part, sur sa division en trois périodes.: 1) L’ancien stoïcisme dont Zénon (336/264 av. J.C.), Cléanthe (331/232 av. J.C.) et Chrysippe (283/210 av. J.C.) furent les pères fondateurs. 2) Le stoïcisme moyen dont les penseurs principaux furent Panétius (185/112 av. J.C.) et Posidonius (135/51 av. J.C.). 3) Le stoïcisme dit