Parodie Bouvard Et Pécuchet

lire tx p.260 + questions 1 à 5 p.261. Pour le module de jeudi : test sur les 8 figures de style vues. SQ2, s.5 : Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, p.260-261 (1881). ⇨ La ville au XIXe siècle (suite). Intro : • Présentation (auteur, tx) : - Flaubert = auteurs de romans et de nouvelles du XIXe siècle. - Son roman Bouvard et Pécuchet paru en 1881 a nécessité 10 ans d’écriture et raconte les aventures de deux sots qui en sont les personnages éponymes (donnent leurs noms

madame Bovary Analyse Flaubert disséquant Madame Bovary. (Caricature d’A. Lemot parue dans La Parodie en 1869). Madame Bovary recèle des aspects réalistes et des aspects romantiques, comme l’œuvre de Flaubert, qui oscille elle-même sans cesse de la grisaille à la couleur, de la terne réalité aux fastes de l’imagination. Il y a loin de L'Éducation sentimentale à Salammbô, de Bouvard et Pécuchet à La Tentation de saint Antoine. Mais même lorsque Flaubert entend écrire sur un sujet trivial, il

verite admise et la securite du conformisme.>> Lieuvain, le conseiller qui prononce le discours de cloture des comices, incarne la langue de bois officielle : periphrases emphatiques, metaphores eculees, personnifications se succedent dans une parodie devastatrice. L'hommage lyrique a la poule en temoigne: <<modeste animal, ornement de nos basses-cours, qui fournit un oreiller moelleux pour nos couches.>> La denonciation virulente du conformisme se double ici d'un pessimisme a l'egard

tandis que les genres narratifs mêlent au récit d’un narrateur la représentation indirecte, toujours médiatisée des propos. Sur le plan thématique, les personnages sont soient de véritables héros (tragédie, épopée) soit des caricatures (comédie, parodie). Strictement réglementés, les genres répondent donc à un idéal de la définition, à une exigence de précision et de clarté. Cela ne semble pourtant pas être le cas du roman, ce tard venu de la littérature dont le romancier et essayiste Pascal Quignard

Paris : se retire en Province après crise nerveuse – (vit avec sa mère après mort du père 1846) – pour écrire. Écrit Voyages et liaisons. Écriture des grands textes entre 1851 (Bovary) et 1874 (St Antoine) ; échecs au théâtre – début de Bouvard et Pécuchet – Trois contes. Rapprochement entre les trois contes – le thème du Mystique dans la religion. Le style et la façon d'écrire caractéristique du recueil. Quelque ressemblances entre des détails des histoires (ex: la citadelle dans le 2ème

(1872) * La tentation de Saint Antoine (1874) * Le candidat (1874), un vaudeville qui fut un échec * Trois contes : Un coeur simple, La Légende de Saint Julien l'Hospitalier, Hérodias (1877) * Le château des coeurs (1880) * Bouvard et Pécuchet (1881), inachevé * A bord de la Cange (1904) * Par les champs et les grèves (1910) * Oeuvres de jeunesse inédites (1910) * Dictionnaire des idées reçues (1913) * Lettres inédites à Tourgueniev (1947) * Lettres inédites

d’écrivain réaliste, cependant, il y a une bifurcation2 dans son écriture, d’un côté il y a ses romans qui sont épris de réalisme en se focalisant sur des situations et mœurs communes comme Madame Bovary (1857), l’Éducation sentimentale (1869) et Bouvard et Pécuchet (1881). Mais en contraste à ses œuvres, l’autre branche est romantique, avec Salammbô (1862), la Tentation de Saint Antoine (1874) et les Trois Contes (1877). C’est donc bien un mélange de romantisme et de réalisme qui tient place dans l’écriture

littéraire. -le plan : question du réalisme puis dimension politique et sociale de la société et enfin sur l’écriture. I- Un réalisme par dégout du romantisme 1- Le romantisme caricaturé, parodié -le sentiment de la nature : première partie, chapitre 12. Moment de la liaison avec Rodolphe qui accepte de fuir. Dialogue tragique, car dit a demain alors qu’il sait qu’il ne va pas fuir avec elle. Commence par « la lune ». -élément romantique :

d’écrivain réaliste, cependant, il y a une bifurcation2 dans son écriture, d’un côté il y a ses romans qui sont épris de réalisme en se focalisant sur des situations et mœurs communes comme Madame Bovary (1857), l’Éducation sentimentale (1869) et Bouvard et Pécuchet (1881). Mais en contraste à ses œuvres, l’autre branche est romantique, avec Salammbô (1862), la Tentation de Saint Antoine (1874) et les Trois Contes (1877). C’est donc bien un mélange de romantisme et de réalisme qui tient place dans l’écriture

aspects réalistes et des aspects romantiques comme l’œuvre de Flaubert qui oscille elle-même sans cesse de la grisaille à la couleur, de la terne réalité aux fastes de l’imagination. Il y a loin de l’Éducation sentimentale à Salammbô, de Bouvard et Pécuchet à la Tentation de saint Antoine. Mais même lorsque Flaubert entend écrire sur un sujet trivial, il renonce au réalisme pur. Qu’il n’ait pas réussi à exorciser les vieux démons de son adolescence, c’est tant mieux ! Nous avons alors sous les