Paroles De Detenus

dans un camp de travail forcé, son nom, Auschwitz, son père était lui, en Angleterre. En janvier 1945, les allemands abandonnent le camp d’Auschwitz, en voyant les soviets et, tous les détenus sont déportés dans les camps de Gross-Rosen et de Buchenwald. Le 11 avril 1945, à l’approche des Américains, les détenus libèrent le camp au moyen d’armes enterrées par la Résistance mise en place, depuis longtemps dans le camp. Thomas Geve étant trop faible pour être évacué tout de suite, il demande à un

faveur de Claude Gueux (relation de son comportement) * La prise de parole de Hugo Outil de la langue : les valeurs du présent de l’indicatif * Lecture analytique N°2 : Deuxième acte vers le crime : extrait « Nous avons déjà parlé du directeur…et il avait faim. Rien de plus. » Mise en évidence du recours au pathétique dans la relation de l’épisode. Etude de la modalisation. * L’énonciation : la prise de parole de Hugo, la mise en condition du lecteur * Le portrait du directeur

pour voir émerger un droit de la prison, régissant les conditions de détention et définissant le statut juridique du détenu. Ce droit est le fruit des incitations internationales et de la volonté d’humaniser la prison. Il connaît une forte progression à partir des années 1980, avec des textes axés sur l’amélioration des conditions de détention et l’accroissement des droits des détenus. Les lois étant posées, quand est-il dans le fond de la structure ? Sont-elles appliquées comme elles le devraient 

ENCADRES LA JUSTICE LES PRISONS Problématique : La société établie dans les prisons françaises permet-elle une bonne réinsertion sociale ? SOMMAIRE Introduction I] L'état du milieu carcéral influencent la réinsertion future des détenus A- Sociologie de la délinquance B- Des conditions d'incarcération défavorables C- Des solutions pour une Prison humanisée et une possible réinsertion II] Les difficultés concrètes à la réinsertion A- Le rôle des associations B-

dédaigneuse, qui affiche un mépris souligné pour le Directeur. Victor Hugo n’a pas fait de description de son comportement. L’auteur précise seulement qu’il a une attitude réservée, plutôt impassible car il a le « geste plus fréquent » que « la parole » qui est « rare ». Il a fait un court portrait d’un homme réservé, intelligent et imposant. Ce personnage inspire le respect et la confiance. Il a un physique expressif qui traduit ses pensées et sa personnalité. Ce personnage est présenté comme

président des assises : cinq jours au moins avant que les débats publics ne s'ouvrent, le président des assises doit procéder à l'interrogatoire de l'accusé. Cet interrogatoire a lieu à la maison d'arrêt ou au siège de la cour selon que l'accusé est détenu ou non. L'interrogatoire se déroule sans la présence de l'avocat. C'est l'occasion pour le président de mieux appréhender la personnalité de l'accusé.Un procès verbal est dressé, signé par l'accusé et, à peine de nullité par le président et le

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- "L'inexprimable n'existe pas", Théophile Gauthier ------------------------------------------------- L’exprimable c’est la pensée, la volonté, le désir ou le sentiment matérialisé par une parole ou une action. L’inexprimable pourrait être défini de deux manières : d’une part, comme ce qui n’est pas traduisible par un moyen d’expression, et d’autre part comme ce qui ne doit pas être exprimé. L’inexprimable, nous dit Théophile Gautier, n’existe

chanson fût « déconseillée » par le directeur de l'ORTF, mais passa un dimanche à midi sur la première chaîne. Pour cette chanson, Jean Ferrat reçut le grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros en 1963. Ce fut le début de son succès. Les paroles de la chanson sont engagées et délivrent un message. Elles font référence à la Shoah et racontent le voyage des juifs vers les camps. Pour montrer qu'ils furent de plus en plus nombreux à être déportés Jean Ferrat utilise le procédé d'amplification :

l’expression de soi en prison . . II Le succès de la culture sur la désocialisation, vers une reconstruction de soi . . A- Dépasser le choc carcéral : la reconstruction de soi . . B- La médiation de l’intervenant et son travail sur le psychisme du détenu . . Conclusion . . Bibliographie . . Filmographie . . Sitographie . . Annexes . . 4 5 8 8 8 9 10 12 13 13 16 19 20 22 22 24 28 28 28 35 36 39 39 45 47 47 47 50 59 59 61 64 66 69 70 71 Culture en prison Remerciements La réalisation de ce mémoire

faim, victimes de carences les déportés sont épuisés mais l’épuisement, l’abandon, c’est la mort. Les repas étaient particulièrement mauvais ; la soupe était plus épaisse au fond de la marmite il valait donc mieux être servi en dernier. Affamés, les détenus se bousculaient et se jetaient sur le sol pour la lécher s’il en tombait par terre. L’eau est aussi un problème car en quantité insuffisante et était pour la plupart du temps sale, mélangée avec la boue, mais les déportés avaient tellement soif qu’ils