Paronymes

un sens ressemblant à, et cependant différent de son sens habituel »4  o Tel père,tel fils 10 Paronomase  consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). p Quand les fils de novembre nous reviennent en mai  Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet  Quand le vent est au rire quand le vent est au blé  Quand le vent est au sud écoutez-le

des hommes et honnêteté du regard féminin. Santé physique = santé morale. Nudité des corps = transparence de l’âme. 2) L’alchimie des perceptions : l’ailleurs baudelairien. -présence des 4 éléments : feu, eau, terre et air. -utilisation de paronymes : « mariniers », « tamariniers » ; « narine », « marine ». Auteur reproduit sur plan phonique unité du monde. Perceptions se confondent comme se confondent mots et sons. Unité ne se fait que par intervention du poète. Conclusion : -parfum exotique

côte à côte. Paronomase (une) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (une) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé. Prétérition (une) : C’est lorsqu’on affirme passer sous silence une chose dont on parle néanmoins

et préparant l’arrivée du sujet à la fin du dernier vers) ; 4. dans l’ensemble, propose un sonnet d’une grande recherche formelle (rimes embrassées, quatrains construits sur deux rimes : ABBA, BAAB), alexandrins, rimes riches, jeux sur les paronymes (fortes / Phraortes ; flèches / fraîches).

de danse et de douceur » Images d’une femme maternelle : corps innocent et saint et celui d’une mère capable d’enfanter. Grand cohérence sémantique et sonore. Les deux dernières strophes sont deux longues énumérations qui célèbrent la beauté. Paronyme rosée/roseau  les choses se mêlent et se confondent harmonieusement. Allitération en « m »  donne de la douceur Le poème est en forme de boucle Transition : Ce poème est un poème lyrique mais comporte une dimension universelle. Tes yeux

strophe lui est réservée. Il possède deux caractéristiques : d'abord, "ces costumes fous", son costume, en effet, est fait de losanges multicolores. Ceux-ci représenteraient les multiples facettes d'Arlequin. Celui-ci porte aussi un "masque" noir. Les paronymes "arlequin" et "aigrefin" souligne ainsi le caractère du personnage, rusé jusqu'à la malhonnêteté. Ses yeux sont "luisants", représentent l'homme habile, intelligent. b) La danse des mots -Le rythme des vers : Strophe = 5/5/2 et 5/5/2 = 2 alexandrins

joué par le poète à l’intérieur de la société : quelle mission Hugo lui confie-t-il ?  Paronomase (féminin) Une paronomase consiste à rapprocher des mots comportant des sonorités semblables mais qui ont des sens différents. On appelle paronymes des mots qui se ressemblent par leurs sons. La fonction du poète, de Victor Hugo, est un extrait du recueil Les Rayons et les Ombres qui a été publié   en 1840, durant la période du romantisme.   Le titre de ce recueil met en rapport deux idées

pouvait être consacré au choix de la matière pour le cercueil : En retrouver les passages, strophes 1, 2, 3, 4, 6. En expliquer les éléments et les audaces, notamment celle de la simplicité du vocabulaire qui surprend le lecteur, les homonymes et les paronymes, les comparaisons et les rapprochements inattendus, la désinvolture. En commenter le lyrisme par les jeux sur les sonorités dans les vers, dans les rimes, dans les rythmes avec les enjambements et les rejets qui créent un effet de conversation intime

jusqu’au vers 10. Les chiasmes (vers en ABBA) Anaphores (répétitions de mots en début des vers) v. ½- v. 5/6 Paronomase (mots aux sonorités proches ou paronymes) « l’amer »/ « la mer » - L’amour et ses dangers sont passés par la métaphore filée d’une mer tourmentée. B- Les ressemblances entre la mer et l’amour -Ces ressemblances sont explicites (être dit de manière claire) comme on peut le voir

souffrance. Le rire est en outre une facon de blesser : « amer », »sarcasme », »sardonique » constituent le lexique de la moquerie. Il est présent dans les situtations les plus douloureuses : à la mort de son père le poète rit « du rire de bicetre ». Ce paronyme renforce la présence du rire. II/ a-Enfin, on remarque qu’un portrait de poète maudit est dréssé. En effet, une des caractéristiques du poète que l’on peut noter est la folie. La personnification du rire qui « se vend » et le fait que le poète