Partage Des Profits Marx Keynes Ricardo

les transformer : le meunier transforme le blé en farine et le boulanger transforme à son tour la farine en pain. » * Au moment de la révolution industrielle (1780 – 1880) Naissance d’un courant d’économiste : l’école classique (Adam Smith, Ricardo, JB Say, Malthus…). Smith donne une def de la richesse dans Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, livre 2, chap 3 : « certaines des plus grave et les plus importante en même temps que certaines des plus frivoles professions :

valeur-travail » dans les sociétés primitives. David Ricardo : Agent de change, député : des principes de l’économie politiques et de l’impôt (1817) A) L’adhésion à la théorie de la valeur travail Ricardo précise que le travail est à la fois : Direct (le travail proprement dit) Indirect (par l’intermédiaire de machines utilisées en production elles-mêmes créées grâce à du travail) B) Analyse de la répartition de la richesse selon Ricardo Partage en 3 de la richesse : Salaires fixés au

La division du L dans la manufacture d’épingles permet d’être plus productif et par extension plus riche. Smith et Ricardo dans le théorème des avantages absolus. Ricardo prolonge avec celui des avantages comparatifs. Ces deux économistes sont d’accord sur la valeur L. Pour William Petty, on parle de quantité de travail incorporée dans une marchandise Smith et Ricardo distinguent le prix naturel (coût du travail) et le prix de marché (à combien est vendu un bien sur un marché). Le coût en

pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5.3 La réplique de Keynes et l’issue de la controverse 6. La controverse Keynes - Hayek ou l’équilibre monétaire 6.1 Les

Les économistes classiques D’Adam Smith à Ricardo, de Stuart Mill à Karl Marx. Si pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du XIXème, l’économie relève bien d’une discipline scientifique, ils ne la séparent généralement pas totalement des autres aspects de la réalité sociale, se distinguant ainsi des économistes néo-classiques. Les questions posées à l’époque restent très modernes. Ø Quels sont les facteurs favorables à la croissance ? Ø La misère ouvrière peut-elle être réduite

Petty, Smith, Ricardo, Marx et beaucoup d’autres classique, la valeur d'une marchandise ou d'un service dépend des coûts de reproduction nécessaire pour obtenir cette marchandise ou pour effectuer ce service. èLa valeur d'un bien, d'une marchandise ou d'un service dépend des coûts de production ou de reproduction. Pour connaitre la valeur de l'enseignement, c'est égal aux traitements, à l'électricité, les locaux. (Ça revient à environ 15000€/an par étudiant). èCe cout pour Marx correspond à une

l'économie politique et plus tard l'économie classique. Cette école a fourni des écrits notables de Thomas Malthus, David Ricardo et John Stuart Mill entre 1770 environ à 187017. Alors qu'Adam Smith s'intéressait à la production de revenus, David Ricardo axa ses recherches sur la distribution des revenus entre les propriétaires fonciers, travailleurs et capitalistes. Ricardo a vu un conflit inhérent entre les propriétaires d'une part et le travail et le capital de l'autre. Il soutient que la croissance

n’a pas toujours désigné la même chose. On peut souligner trois grandes délimitations dans l’histoire : Limitation du champ de la production à la seule production matérielle et marchande (ex : URSS), système notamment inspiré des théories marxistes, Marx étant un matérialiste. Rajout uniquement des services marchands non financiers (ex : France jusqu’à 1975) Depuis 1976, nouveau système de comptabilité nationale, conseillé par l’ONU et le SEC, qui englobe tous les BetS, qu’ils soient marchands ou

Sommaire Introduction 2 I. Ricardo, premier grand théoricien de l’économie moderne 3 Ses débuts 3 Théories 3 La supériorité du libre échange 4 II. John Stuart Mill, défendeur d’une nouvelle société 6 Ses débuts 6 Son parcours 6 D’un point de vue économique 6 D’un point de vue moral 7 III. Claude Frédéric Bastiat, économiste, politique et polémiste libéral 7 Ses débuts 7 Sa pensée 8 Son influence aujourd’hui 9 IV. Malthus, économiste pessimiste 9 Présentation de

économique : Les courants passés servent aux débats actuels, ces pensées ne sont en aucun cas « dépassées ». « Les hommes d’actions qui se croient affranchis d’influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelques économistes passés »Keynes  Il faut donc se prémunir sont l’illusion de la nouveauté, et comprendre dans quel contexte ont évolué ces idées. L’économie est donc née d’un contexte historique I. Différentes définitions de l’économie 1. Définition par la science