Parti communiste d'Allemagne

d’un puissant parti et d’un syndicalisme de masse, devient une force politique et sociale majeure. Le mouvement ouvrier s’affirme face au pouvoir. Au-cours du XXème siècle , il se divise entre une branche toujours révolutionnaire, le communisme et un socialisme réformiste moins soucieux de révolution que d’amélioration concrète des conditions de vie des travailleurs. Le cas de l’Allemagne est intéressant car le mouvement ouvrier y est ancien. C’est en 1875 que naît un grand parti socialiste (il

Manifeste du Parti communiste Synthèse Chapitre I. Bourgeois et prolétaires : Le manifeste du Parti communiste débute par ce premier constat, qui se trouve être la base même de son développement : « L’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire de la lutte des classes ». De la Rome antique jusqu’à la société bourgeoise moderne, l’histoire a vu s’opposer dirigeants et dirigés, oppresseurs et opprimés. L’issue de ces luttes ne pouvait qu’entraîner à chaque fois une transformation

(tailleurs…), ils entreront ensuite en relation avec des bourgeois et ouvriers en accord avec leurs idées. Marx appellera cela le socialisme utopique. Il s’est structuré en France. Marx et Engles se rencontrent en 1847 -> Elle devient la ligue des communistes. * Mouvements ouvriers en Allemagne : 1844 -> La Révolte des Tisserands qui aura un rôle internationale par son empleur et immortalisé par les artistes. Comme par exemple le poème de HEIN, Les Tisserands. (Des tisserands désespérés, trahis

le droit, mais surtout l'histoire et la philosophie. En 1841, il achevait ses études en soutenant une thèse de doctorat sur la philosophie d'Epicure. A cette époque, ses conceptions faisaient encore de Marx un idéaliste hégélien. A Berlin, il fit partie du cercle des «hégéliens de gauche» (comprenant, entre autres, Bruno Bauer), qui cherchaient à tirer de la philosophie de Hegel des conclusions athées et révolutionnaires. A sa sortie de l'université, Marx se fixa à Bonn, où il comptait devenir professeur

économiste et révolutionnaire allemand, cofondateur avec Friedrich Engels du socialisme scientifique et, à ce titre, initiateur du mouvement ouvrier international contemporain. Sa théorie fut à l'origine de l'établissement de régimes politiques communistes dans de très nombreux pays et il demeure l'un des penseurs qui a le plus fortement marqué le XXe siècle de son empreinte. Issu d'une famille de la bourgeoisie d'origine juive convertie au protestantisme, Karl Marx naquit à Trèves le 5 mai 1818 et

sont de plus en plus nombreux mais vivent difficilement. C’est la naissance du prolétariat. Dans ce contexte naît le socialisme , idéologie qui s’articule autour de la lutte des classes et de la révolution prolétarienne. Le socialisme y sera un parti politique important. Le syndicalisme sera de masse et sera une vraie force sociale. Au 20ème siècle il se divisera entre une branche toujours révolutionnaire, le communisme et un socialisme réformiste qui, sans révolution, souhaite l’amélioration concrète

alors plutôt radicales, mais il n'était pas encore communiste. Ses critiques sur les conditions politiques et sociales de l'époque, publiées dans Rheinische Zeitung, lui valurent les foudres des autorités prussiennes, qui firent interdire le journal et poussèrent Marx à quitter le pays. Il partit alors pour Paris où, après avoir étudié de manière approfondie la philosophie, l'histoire et les sciences politiques, il adopta l'idéologie communiste. il fréquenta assidûment les cercles d'ouvriers socialistes

un tournant dans l'histoire de la gauche française. A partir de 1934, les accords du front populaire concluent entre les communistes, les socialistes et les radicaux permettent la victoire aux elections legislatives du 26 avril et 3 mai 1936 avec un programme résumant le slogan «  du pain, la paix, et la liberté ». Ce premier gouvernement à dominante socialiste lors de la III eme république semble présenter des clivages au sein même du parti unifiant les gauches. Ainsi, le 29 Mai 1936 est publié

FrancMaçonnerie est une plaie sur le corps du Communisme français qu’il faut brûler au fer rouge. » Il demandera à la direction du Parti Communiste Français de donner l’ordre à ses adhérents, militants et sympathisants de quitter leurs loges, et se justifiera : « la dissimulation par quiconque de son appartenance à la Franc-Maçonnerie sera considérée comme une pénétration dans le Parti d’un agent de l’ennemi et flétrira l’individu en cause d’une tâche d’ignominie devant le prolétariat ». Ces faits, et ceux

au cours du XXe siècle. Son ouvrage ne revêt pas uniquement un aspect historique, il présente aussi une analyse sociologique du peuple tchèque. Elle aborde les notions de mémoire et l'identité tchèque ainsi que les représentations de la société communiste. Son livre tourne autour d’une problématique centrale : quels sont les mécanismes permettant de construire une mémoire collective du communisme dans la société tchèque des années 1989-1990 ? Son ouvrage est parsemé de nombreuses interrogations