Parti communiste hongrois

des drapeaux blancs sont accrochés aux fenêtres des maisons. L'Armée populaire de libération et détachements de Partisans de Yougoslavie est le nom officiel utilisé à partir de 1942 par l'armée des Partisans yougoslaves, souvent appelés simplement Partisans. Ce mouvement armé de résistance yougoslave d'inspiration communiste était dirigé parJosip Broz Tito, et combattit contre l'État indépendant de Croatie, l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste durant la Seconde Guerre mondiale. Mouvement de guérilla au

langue officielle le hongrois et pour monnaie le forint. Son drapeau est constitué de trois bandes horizontales rouge, blanche et verte et son hymne national est l'Himnusz. La Hongrie est un État ancien, formé en l'an 896 comme principauté de Hongrie puis à l'an 1000 devient un royaume chrétien. Elle joue un rôle important en Europe centrale du fait de son histoire régionale. Depuis le Xe siècle jusqu'en 1526 le Royaume de Hongrie était une puissance européenne. Le hongrois est une langue finno-ougrienne

Définition [modifier] L'expression de « démocratie populaire » fait rapidement partie du vocabulaire des mouvements communistes, mais n'est pas immédiatement défini Mátyás Rákosi, secrétaire général du Parti des travailleurs hongrois et dirigeant de la République populaire de Hongrie, a avoué qu'il ignorait initialement ce que signifiait au juste le terme1. En décembre 1948, Georgi Mikhailov Dimitrov, dirigeant du Parti communiste bulgare, donne la définition de la démocratie populaire comme un « État s'inspirant

Horn, leader du Parti socialiste hongrois (ex-parti communiste), qui forme un gouvernement avec l'Alliance des démocrates libres. * 1998 : Victoire électorale de l'Union civique hongroise (Fidesz) (droite) de Viktor Orbán, qui forme un gouvernement de coalition avec le Parti des petits propriétaires. * 1999 : Entrée de la Hongrie dans l'OTAN. * 2000 : Élection de Ferenc Mádl à la présidence de la république. * 2002 : Victoire électorale du Parti socialiste hongrois dirigé par Péter

au cours du XXe siècle. Son ouvrage ne revêt pas uniquement un aspect historique, il présente aussi une analyse sociologique du peuple tchèque. Elle aborde les notions de mémoire et l'identité tchèque ainsi que les représentations de la société communiste. Son livre tourne autour d’une problématique centrale : quels sont les mécanismes permettant de construire une mémoire collective du communisme dans la société tchèque des années 1989-1990 ? Son ouvrage est parsemé de nombreuses interrogations

son projet au sein du peuple, ce qu’il a fait avec le parti bolchevik en faisant des discours où il dit qu’il faut que la terre revienne aux paysans et les usines aux ouvriers, et où il dit qu’il faut se débarrasser du parti capitaliste pour pouvoir libérer l’humanité, mais que, pour arriver à ce but bien précis, il faut tout d’abord briser leur résistance par la force, donc sans liberté et sans démocratie. Par ces discours, Lénine et le parti bolchevik convainquent donc la population de l’urgence

pouvoir des communistes: il faut protéger les alliés à travers le soutien à leur développement économique (doc.1). 3. L’URSS refuse l’aide américaine : le ministre soviétique Molotov accuse les Etats-Unis d’agir dans le but de slaviser les Pays européens, en influençant leur politique et en leur imposant de produire dans l’intérêt économique américain (doc.4). De la même façon, en Europe, tandis que la Haute Commission alliée en RFA présente le plan comme le navire du salut européen, le parti communiste

Le plan Marshall, une aide économique ou une arme politique? PREMIÈRE PARTIE: QUESTIONS 1) Quel sont les objectifs du Plan Marshall? (documents 1 et 2) Avec le Plan Marshall il y a la volonté de reconstruir l'Europe après la Seconde Guerre Mondiale, au niveau économique, sociale et politique: en effet les aides americains, répartis par pays et par secteurs, donnent la possibilité de retrouver la santé économique, la paix e la stabilité politique, perdues pendant la guerre. 2) Comment la caricature

soviétique au moment des Jeux olympiques d’été de 1956. Le mouvement hongrois d’octobre 1956 fut une insurrection, voire une révolution. Ce fut un soulèvement spontané, sans dirigeant, authentique mouvement de masse uni par la haine du régime stalinien et par une volonté d’améliorer la situation sociale. L’enquête menée par le Comité spécial de l’ONU sur la Hongrie en 1957 conclut son rapport en disant que le « soulèvement hongrois a eu un caractère non seulement national, mais aussi spontané ». L’agitation

menées par dix résistants du groupe Manouchian : « Grzywacz – Juif polonais, 2 attentats », « Elek – Juif hongrois, 8 déraillements », « Wasjbrot (Wajsbrot) – Juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements », « Witchitz – Juif polonais, 15 attentats », « Fingerweig – Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements », « Boczov – Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats », « Fontano – Communiste italien, 12 attentats », « Alfonso – Espagnol rouge, 7 attentats », « Rajman – Juif polonais, 13 attentats