Parti communiste italien

Fascisme allemand et italien La révolution allemande et la bureaucratie stalinienne Les leçons de l’expérience italienne Le fascisme italien est issu directement du soulèvement du prolétariat italien, trahi par les réformistes. Depuis la fin de la guerre, le mouvement révolutionnaire en Italie allait en s’accentuant et, en septembre 1920, déboucha sur la prise des fabriques et des usines par les ouvriers. La dictature du prolétariat était une réalité, il fallait seulement l’organiser et en

un fort sentiment d’appartenir à un groupe. En effet, les objectifs de ces centres de formation du parti communiste sont essentiellement d’embrigader les élèves des centres afin de les ralliés constammentà l’idéologie du parti communiste. les enseignants tentent de former une jeunesse communiste, tout est fait en sorte pour que les élèves développent une culture de classe, celle imposer par le parti. On constate ceci dans la condition de vie des élèves des différents centres de formation, dans la

La situation italienne à la fin de la Première Guerre mondiale : 1) Au lendemain de la Première Guerre mondiale la situation interne est précaire: le traité de Versailles n'a pas donné les bénéfices escomptés à l'État italien (l'Italie obtient le Sud-Tyrol ainsi qu'une partie de l'Istrie sans  l'Albanie promise devient indépendante). Les caisses de l'État sont presque vides, la lire pendant le conflit a perdu une grande partie de sa valeur et le coût de la vie a augmenté de 450 %. Les matières

contemporaine[modifier]L'Italie s'installe alors dans un régime démocratique, dominé par la démocratie chrétienne et des partis laïques antifascistes, qui favorise, malgré de fréquentes crises ministérielles, à la fois la reconnaissance internationale, l'intégration européenne et un développement économique sans précédents (le miracle économique italien). Un parti communiste italien de plus en plus fort, et relativement modéré, empêche toute alternance électorale jusqu'en 1976, moment du compromis historique

ans. Le régime fasciste avait privé les italiens, de façon progressive, d’un certain nombre de liberté ; la liberté d’expression ; la presse était censurée, la liberté d’adhérer à d’autre parti politique en dehors du Parti national Fasciste, la liberté de pratiquer un culte religieux ; en 1938 le gouvernement fasciste avait proclamé des lois raciales qui interdisaient à tous les juifs de se marier avec un non juif et de travailler dans ou pour l’état italien. En 1940 Benito Mussolini qui pensait

380 morts, 2000 blessés, soit le triste bilan des attentats durant les années italiennes de 70 à 80. Non, le but de l’exposé n’est pas de vous faire pleurer mais plutôt de vous faire comprendre le sens et les notions cachées derrière cette métaphore « Les années de plomb », si obscure en elle-même. Une période troublante pour ceux qui l’ont vécu mais aussi pour nous, apprentis historiens, concernant plusieurs points à commencer par la date. 1973-1979 pour certains. 1968-1982 pour d’autres. Ou encore

sans équivalent en Europe. Sous la pression des événements internationaux et de ses propres déficiences, c'est en effet tout le modèle économique et politique italien qui s'écroule. Un modèle qu'on peut dire né à Yalta et mort à Berlin, dans la mesure où l'Italie, pays de frontière du bloc occidental, abritant le plus fort parti communiste d'Occident, a été plus que d'autres conditionnée par l'environnement international. Le système mis en place dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale a été

Antonio Gramsci (Ales, Sardaigne, le 23 janvier 1891 - Rome, le 27 avril 1937) est un écrivain et théoricien politique italien d'origine albanaise. Membre fondateur du Parti communiste italien, dont il fut un temps à la tête, il finit emprisonné par le régime mussolinien. En tant qu'intellectuel, il a notamment étudié les problèmes de la culture et de l'autorité, ce qui en fait un des principaux penseurs de la tradition marxiste. Il oppose à la dialectique matérialiste une « philosophie de la praxis

avait vingt ans à la fin des années 60 et qu’on peut qualifier de “ soixante-huitard ”. Il est né en 1948. Il a fait des études de philosophie. Il a été journaliste et éducateur. Membre du Groupe surréaliste de Paris, ancien militant de la Ligue Communiste Révolutionnaire (organisation trotskiste) qu’il quitte un an après la victoire de Mitterrand en 1981, c’est ensuite qu’il publie les livres qui constituent notre corpus. Ceux-ci sont d’ailleurs empreints d’une nostalgie et d’un sentiment de trahison

Il dopoguerra 1945-1948 I- Ricostruzione politica Il primo governo del dopoguerra italiano è il quello del governo PARRI (45). Ferruccio Parri era il capo storico della resistanza italiana godeva di (godere di = jouir de) un amplio consenso agli occhi degli italiani ed era originariamente del partito comunista ed era in séguito nel partito d'azione (antifascista). Il governo Parri è durato poco (qualche mese fino al novembre) per 2 principali ragioni. Ragione politica : appena arrivato