Participation Du Peuple Exercice Du Pouvoir

l’abus de pouvoir, du passe droit, du non respect des droits de l’homme, de la pleutrerie et de la médiocrité. La planification et la concrétisation de projets constructeurs, permettant à notre pays de se hisser au niveau de pays émergent, moderne et puissant, ont très vite été supplantés par une politique de gestion et de consommation de la rente, d’où l’intelligence a été dangereusement exclue et poussée en partie, à se réfugier et à exercer ses talents à l’étranger. Le pouvoir algérien

suprême ; on qualifie sa souveraineté d’indivisible car si l’on vient à la diviser, on ne peut plus parler de suprématie. En troisième lieu, la souveraineté caractérise l’ensemble les pouvoirs que cette entité supérieure peut exercer, pouvoirs dans ce sens divisibles car ils peuvent être exercés par plusieurs organes. Le pouvoir de l’Etat est exercé sous forme de règles s’appliquant à tous. De fait, l’Etat ne peut s’exprimer de lui-même, puisque entité abstraite c’est la raison pour laquelle existent des

thèmes, quelles problématiques? Idée de rupture-> expériences multiples, instabilité. -1ère participation des Français à la vie politique, "le peuple a la parole" -cahiers de doléances -consultations électorales-> quelle réaction des Français? -comment naît une démocratie? Difficilement, alternance de périodes de progrès et de coups d'arrêt (cf. monde actuel). -obstacles nombreux • Exercice de la citoyenneté. • par la voie légale: -suffrage censitaire (contradiction avec la DDH

L'état fédéral Les loi qui sont adaptés sont le résultat obtenu entre les représentants. C'est le sénats qui a le plus de pouvoir. Les états participe parfois au pouvoir exécutif, c'est une participation indirect au Etats Unis. Parfois les états ont une réprésentation au sein meme de l'état fédéral (Canada) Tous les états sont le résultat d'un compromis entre eux pour l'Etat fédéral et ceux pour l'Etats fédéré. - le poids de la justice constitutionnelle Quand il ya des conflit, il faut un juge

Droit Constitutionnel Chapitre 1 : l’Etat Section 1 : la notion d’Etat Origines et définition de l’Etat L'état est la forme institutionnalisé du pouvoir politique. Il est pour les sociétés l'instrument d'affirmation de la souveraineté sur le plan intérieur. Il est charge d assurer l ordre et la cohérence de la société. Cette souveraineté s'impose au plan extérieur puisque l’Etat intervient dans les relations internationales, il lu appartient de sauvegarder l’indépendance du pays vis

gouvernement,exercice du pouvoir dans l'Etat,participation des citoyens et importance des Partis Politiques Droit : Ensemble de règles edictées et qui s'imposent aux membres d'une sociéte et impliquent des sanctions en cas du non-respect de ces règles Epoque antique : ensemble de cité,sortes de petits états ( Grèce) ex: Athènes et Sparte malgré que ce soit un ensemble d'Etas indépendants , la population a conscience de former une communauté ( ensemble composite : langue+culture commune) peuples héllénique

membres de la nation ont accès au statut de citoyen et sont donc, en principe, « libre et égaux en droit ». Cependant, les individus sont-ils égaux dans l’exercice de leur citoyenneté ? La citoyenneté est-elle synonyme d’égalité d’accès et de participation de tous à la chose publique, ou existe-t-il des différences ? S’il existe des différences, d’où viennent-elles ? Dans un premier temps, nous mettrons en avant le fait que la citoyenneté fait l’objet d’une éducation dispensé à tous les citoyens

est guidée par l’intérêt général, définie par les structures politiques. Elle prépare et exécute les décisions des organes politiques. Les institutions politiques dépendent des institutions administratives. Chapitre introductif : L’état et le pouvoir. Institutions : choses établies pas les hommes dans le domaine politique. La vie politique est encadrée par le droit constitutionnel. L’état est l’institution première parmi toutes les institutions. Il en devient réellement une lorsque il admet

Constitution du Gabon du 26 mars 1991, modifiée par les lois du 18 mars 1994, du 29 septembre 1995 du 22 avril 1997 et du 11 octobre 2000 Préambule Le peuple gabonais, conscient de sa responsabilité devant l'histoire, animé de la volonté d'assurer son indépendance et son unité nationales, d'organiser la vie commune d'après les principes de la souveraineté nationale, de la démocratie pluraliste, de la justice sociale et de la légalité républicaine. Affirme solennellement son attachement aux droits

rapport à leurs électeurs. Ils n'ont pas à recevoir d'ordres ou d'instruction de leur part. Cette conception s'oppose au mandat impératif, avec lequel les représentants sont de simples portes paroles, des commissaires, qui doivent toujours se référer au peuple. Electorat-fonction= conception découlant de la théorie de la souveraineté nationale , selon laquelle le suffrage est une fonction publique dont la nation souveraine peut réserver l’exercice aux plus aptes. Mandat impératif = Mode de représentation