Passage des Alpes par Hannibal

Le passage des Alpes par Hannibal est une étape majeure de la marche vers l'Italie de l'armée d'Hannibal Barca, réalisée à la fin de l'année 218 av. J.‑C., au début de la deuxième guerre punique déclenchée contre Rome. La voie terrestre par le sud de la Gaule est la seule possible pour conduire plusieurs dizaines de milliers d'hommes d'Espagne en Italie. De surcroît, Hannibal espère trouver des alliés parmi les tribus gauloises de Gaule cisalpine, en arrivant dans un territoire mal contrôlé par les

Batailles Itinéraire : passage par l’Espagne et la Gaule car la mer est trop dangereuse, armée habituée à la marche. Printemps -219 : Hannibal assiège Sagonte (allié des romains) qui est prise au bout de 8 mois Hiver : prépare son expédition vers l’Italie à Carthagène. Printemps -218 : Hannibal franchit l’Ebre et s’empare des terres de Catalogne et confie cette région à Hannon. Rome envoie une armée en Afrique conduite par le consul Sempronius et une armée vers Hannibal conduite par le consul Cornélius

guerre punique 8) Quels évènements entrainèrent la deuxième guerre punique ? L’humiliation subie par Carthage pousse le Général Hannibal à reprendre les hostilités contre Rome. 9) Quel général carthaginois succéda à Hamilcar ? Quel était son âge ? Le général carthaginois Hasdrubal le Beau  succèda à Hamilcar tué sur le champ de bataille, il avait 41 ans. Hannibal est alors choisi par l’armée carthaginoise pour succéder à Hasdrubal en tant que commandant en chef , il avait 25 ans. 10) Quel

Hannibal Barca généralement appelé Hannibal est né en 247 av. J.-C. à Carthage (au nord-est de l’actuelle Tunis en Tunisie) et mort par suicide en 183 av. J.-C. en Bithynie (près de l’actuelle Bursa en Turquie)C était un général et homme politique carthaginois, généralement considéré comme l’un des plus grands tacticiens militaires de l’histoire. Il grandit durant une période de tension dans le bassin méditerranéen, alors que Rome commence à imposer sa puissance en Méditerranée occidentale. Il fut

Puis qu'il faut s'attaquer aux legions de Rome, Aux monstres d'Italie, il faudra faire comme Hannibal, qui par feux d'aigre humeur arrosez Se fendit un passage aux Alpes embrasez. Mon courage de feu, mon humeur aigre et forte Au travers des sept monts faict breche au lieu de porte. Je brise les rochers et le respect d'erreur Qui fit douter Cesar d'une vaine terreur. Il vid Rome tremblante, affreuze, eschevelee, Qui en pleurs, en sanglots, mi-morte, desolee, Tordant ses doigts, fermoit,

L’itinéraire emprunté par Hannibal en octobre 218[22] reste toujours sujet à polémiques[24]. Toutes les hypothèses avancées, souvent par des spécialistes mais aussi par des auteurs plus imaginatifs, le sont sur l’interprétation des textes de Tite-Live et de Polybe, près d’un millier d’ouvrages ayant été déjà écrits sur le sujet. Toutefois, les détails fournis par Polybe[51] et Tite-Live[52] sont très imprécis et aucune trace archéologique n’apporte de preuves irréfutables d’un quelconque itinéraire

général Hannibal Barca passa avec ses éléphants les Pyrénées, le Rhône et les Alpes, et remporta une série de victoires sur les légions romaines. Du côté romain, les Scipion menèrent des contre-attaques décisives en Espagne, puis en Afrique. Hannibal fut finalement battu par Scipion l'Africain à la bataille de Zama. Après la déclaration de guerre, Hannibal quitte Carthagène et prend au bout de huit mois de siège la ville de Sagonte (alliée des romains) qui est totalement détruite. Hannibal établit

inventé par le consul Duilius. C’était une sorte de parcelle mobile dressée à l’avant du navire qui se terminait par un grappin (gros crochet) en plomb pour harponner le bateau ennemi, de façon à ce que la parcelle soit bien accrochée. Elle donnait passage aux fantassins. Il fait merveille à la bataille de Miles au nord-ouest de Messine en 260, conduite par le consule Duilius en personne. Ils remportent ensuite deux autres navales, en particulier à Ecnome. Les Romains débarquent en Afrique avec le

conscients du risque et hésitaient. […] Hannibal avait 50 000 hommes, avec peu de cavaliers, pour l’essentiel ceux de Vermina, mais avec le plus grand nombre d’éléphants jamais aligné (80). Il les disposa en avant des troupes, pour une attaque frontale; les mercenaires celtes, ligures et maures étaient placés en première ligne, les puniques et les macédoines en deuxième ligne et l’infanterie de Carthage, avec les vétérans et les Italiens, en troisième ligne. […] Hannibal comptait sur l’expérience de ses

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