Passage Pommeraye

Au travers de cette analyse sur le phénomène du bizutage, nous avons pu constater que cette pratique très présente dans notre société, a évolué depuis des siècles. En effet, le bizutage dans les universités a gardé l esprit e beaucoup d éléments des rites d initiation des sociétés archaïques. Cette pratique sociologique perdure évolue constamment dans notre société, probablement parce qu elle dispose de fondements anciens présents dans toutes les sociétés et parce que les bizuteurs transmettent d

ils n’exercent pas de fonctions publiques. De 16 à 21 ans, les adolescents peuvent quitter la société Amish pour la vie moderne. Puis ils décident si ils reviennent à leur ancienne vie ou s’ils décident de rester dans la société moderne. Ce rite de passage est appelé « rumspringa ». Les Amish sont célèbres pour leurs patchworks : le quilt consiste à assembler plusieurs morceaux de tissus pour ensuite donner des draps, nappes ... Le quilt Amish est différent des autres parce qu’il est plus simple

Impressions d’Initiation Je suis né le 19 novembre de cette année. Une naissance très certainement différente de la première puisque je ne me suis pas mis à pleurer ; mais une naissance dont je garde en mémoire chaque instant. Je me souviens du noir... de la pénombre... du vide... puis d’un retour au fond de moi-même…seul assis sur une chaise. Je me souviens d’instants de questionnement, parfois de doutes. Oh, non pas sur ma volonté d’appartenir à votre famille (mienne aujourd’hui), mais sur mes

vue. Pour les hommes Grecs c’était important de rester viril. La vision de l’homosexualité n’est pas tout à fait pareille dans les différentes sociétés, comme par exemple en Crète la pédérastie était extrêmement importante, car c’était le rite de passage vers le monde adulte. Par contre, que ce soit à Athène, Sparte ou meme en Crète, tous les jeunes hommes qui avaient des amants retrouvaient chaque soir leur famille. La réalité c’est que chaque homme adulte avait une sexualité à deux faces : une

confrontation révélerait des arguments récurrents, qui se positionnent en faveur ou en défaveur du bizutage. Deux colonnes rapidement élaborées pourraient les séparer nettement : Arguments favorables Arguments défavorables Doc.1 1.  nécessité de rites de passage plus ou moins violents pour apprendre et s'endurcir2. un bizutage raisonnable peut être acceptable (environnement formateur, collaboration de l'adolescent) a. des rituels traumatiques qui ne sont que des caprices d'adultesb. le bizutage sadique n'est

mystique qui est en nous. En dansant un processus interne se met en forme qui pourrait s’apparenter à une transformation. Cette dernière transforme le mouvement en danse et modifie la perception intérieure du corps. Cette transformation permet un passage d’un plan de réalité à un autre, cette expérience agit comme un modificateur du niveau de conscience. D’ailleurs Franziska Boas dis lors d’une rencontre de l’American dance Therapy Association en 1971 : «  Les gestes et actions ordinaires peuvent

un ouvrage décrivant le concept de « Rites de passage ». Van Gennep s'est basé sur son étude des sociétés paysannes françaises et des cultures étrangères. 2. Vu en cours d'introduction au travail de maturité. 4 Il découvrit que chaque civilisation fonctionnait selon un même schéma spatio-temporel et que les rites s'effectuent donc selon un certain ordre et que celui-ci est aussi important que leur contenu. Il définira comme « rites de passage » les rites qui accompagnent chaque changement

l’individu appartiennent au registre du sacré. La vie même étant considérée comme sacrée, tout ce qui en déroule les étapes va être marqué par des cérémonies rappelant le lien de l’homme à un ensemble plus vaste. Même la chasse - qui n’est pas un rite de passage, sauf quand elle est la première pour un jeune adolescent s’inscrit dans cette dimension sacrée et va donner lieu à des cérémonies ou des prières, qui donnent à l’acte même de chasser une toute autre dimension que celle que nous connaissons de nos

Les rites de passage, Arnold Van Gennep Les rites de passage est un ouvrage écrit en 1909, par Arnold Van Gennep. Arnold Van Gennep est né en 1873 à Ludwigsburg (Wurtemberg) de père allemand (descendant d’émigré français) et de mère hollandaise. Il occupa brièvement, entre 1912 et 1915, la chair d’ethnographie de l’université de Neuchâtel ainsi que les fonctions de directeur adjoint du musée d’ethnographie de la même ville. Ses recherches se porte en premier lieux sur les problèmes ethnologiques

compenser, on a tendence à partir vers les voitures et c’est dangereux. Traverser la route est aussi très risqué car on se retrouve à la même hauteur des voitures et que les gens ne respectent pas le passage piéton, ils peuvent ne pas s’arreter pour nous laisser passer ou alors s’arreter pile sur le passage piéton lors du feu rouge. Des endroits n’ont pas d’abaissement sur le trottoir ce qui nous oblige à faire une manœuvre difficile et risquée, car on pourrait basculer, pour déscendre. Sans compter