Pastoralisme

sous-espaces pour mieux exploiter la diversité des potentiels. • La politique des zones de montagne est encore plus spécifique, elle devrait insister sur la vocation pastorale et forestière des ces espaces menacés. Il s’agit de rationaliser le pastoralisme par la responsabilisation des éleveurs quant à la gestion des espaces et des ressources et avoir constamment des préoccupations de protection de l’environnement, de conservation des eaux et des sols (conserver aux montagnes leur rôle fondamental

FEADER Aquitaine Il traitera la problématique des zones de montagne via : 1. la mise en place d’actions de soutien aux exploitations agricoles dans ces zones (Indemnités compensatoires liées aux handicaps naturels) 2. la réalisation d’actions de pastoralisme, essentielles, cette activité génère des revenus agricoles et permet l’entretien et la valorisation du milieu naturel et du paysage. Les dispositions, prises de manière générale sur le territoire aquitain en matière de développement des exploitations

et ce uniquement pendant les deux premières années ; environ 6 000 hectares de forêt sont annuellement, et irréversiblement, perdus par suite des défrichements. La consommation de combustibles ligneux présente une grande analogie avec le pastoralisme, puisqu’ils se caractérisent tous deux par des prélèvements excédant la possibilité de renouvellement des formations végétales en fourrage et en produits ligneux. Les Eaux et Forêts estiment que près de 10 millions de mètres cubes de bois

des sols (physique, chimique, biologique) ; ❑ superficie : totale, par spécificité (céréales, cultures maraîchères…) ; ❑ types de production : céréales, vergers, vignes, prairies ; ❑ système de production : intensif, extensif, pastoralisme ; ❑ rendement, mécanisation ; ❑ fossés, canaux d'irrigation ; ❑ haies mono ou plurispécifiques ; ❑ jardins, parcs, espaces verts. 9 approche écologique ❑ écocomplexe, écosystèmes : terrestre, aquatique ;

relations », South African Journal of International Affairs, vol. 16, n°. 2, août 2009, pp. 215244 - Hansen S. J., « Warlords and peace strategies », Journal of Conflict Studies, vol; XXII : 2, 2003 - Lewis I. M. , A pastoral democracy : a study of pastoralism and politics among the northern Somalie of the Horn of Africa, New York, Oxford University Press, 1961 - Lewis I. M. , Understanding Somalia And Somaliland. Culture, History, Society, londres, Hurst and Company, 2008 - Mabire J-C , « Somalie

compétences dans les communautés rurales : la première est que la nouvelle politique de décentralisation inaugurée en 1996 aurait pu tenir compte de la nécessaire association qui pourrait être bénéfique entre l’élevage et l’agriculture en vue de l’agro-pastoralisme dans la vallée. La deuxième réside en ce que la régionalisation pouvait être à l’origine d’une politique favorable à la participation des communautés de base (éleveurs et agriculteurs) à l’élaboration des textes et aux actions de développement

especially 3ff ‘, 10.. Claire Sterling, ‘The Making of the Sub-Saharan Wasteland. 105- 98 1974 Atlantic Monthly, May. 11. Ibid12- Eduardo Cruz de Carvalho, ‘ ‘’Traditional‘’ and Modern‘’ Pat terns of Cattle Raising: A Critical Evaluation of Change from Pastoralism to Ranching,’ The Journal of Developing Areas. 1974 8 January The Tsetse Fly: A Blessing or a‘ 13- Frank L. Lambrecht. Curse?’ in The Careless Technology, 72ff. and 775ff 14. Frances M. Foland, ‘A profile of Amazonia,’ Journal of Inter. America

précipitations plus abondantes dans le sud ont maintenu les pratiques transhumantes, sur de courtes distances, en fonction du rythme des pluies. Très touchée par la sédentarisation, la partie centrale du pays demeure néanmoins un lieu de pratique pour le pastoralisme, qui contribue au maintien d'un peuplement mobile, mais de plus en plus diffus. Les éleveurs semi-nomades complètent leurs revenus par la collecte de la gomme arabique (40 000 ha). Le nord du pays reste le domaine des éleveurs nomades de dromadaires