Patience Paul Eluard

Les sept poèmes d’amour en guerre, «  Au nom du front… », Paul Eluard 1943 I/UN POEME D’AMOUR ET DE GUERRE Eluard structure son poème autour d’une antithèse : il y a 2 thèmes qui dominent et qui s’opposent dans les 4 premières strophes, tout d’abord les strophes 1 et 3 évoquent l’amour avec une idée de tendresse (voir vers 3 et 10) mais aussi de beauté (voir vers 1,2 et 12). Puis les strophes 2 et 4 qui traitent de la guerre en développant d’une part un lexique de la violence et d’autre part

enfance (« Pour ma mère » et « Ce qui ne peut s’user » de Maurice CAREME,  « A notre mère »  de Victor HUGO, « Maman c’est toi » de François BONIFAY, « A ma mère » d’Alfred de MUSSET, « Maman je te donne » d’Edgar Allan POE, « Je t’ai imaginée » de Paul ELUARD) et d’autre que j’ai entendu « mes plus petits » réciter, (« A ma mère » de Max ESLKAMP, « L’agneau nourri par une Chèvre fable de Jean Antoine » de CERCEAU). Je me suis dirigée sur ce thème d’un premier temps, car ma mère et moi nous sommes complices

Quelle est la méthode utilisée ? 1° ÉLUARD, Paul, Paysage avec deux femmes nues, n. d. 2° ERNST, Max, La Vierge corrigeant l’Enfant Jésus devant trois témoins : André Breton, Paul Éluard et l’artiste, 1926. 3° DALI, Salvador, Téléphone homard, 1936 4° DALI, Salvador, Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme-grenade, une seconde avant l’éveil, 1944 5° MAGRITTE, René, Le Château des Pyrénées, 1961 iv. Lis ce poème de Paul Éluard, tiré de L’Amour de la poésie (1929)

Paul Eluard (1895-1952) a écris cette poésie , Au Rendez Vous allemand en 1944. Cette poésie appartient au surréalisme ; Paul Eluard est un poète du 20°siècle et il appartient donc au surréalisme. L’Œuvre se déroule pendant la seconde guerre mondiale sous l’occupation nazis . L’auteur montre sont opposition contre le nazisme dans ce poème. On peut constater que c’est une poésie engagée qui appartient au lyrisme. On va parler dans un premier temps de la mort injuste puis de l’expression de la mort

Benjamin Péret, surréalisme par excellence, évoque dans son poème « la semaine pâle » tiré de le grand jeu, sa relation avec une femme qu’il attend pendant une semaine entière. Dans « l’Amoureuse » tiré du recueil mourir de ne pas mourir (1924), Paul Eluard relate la douleur des amours défunts. Nous lui consacrerons également trois autres poèmes : « la courbe de tes yeux » extrait du recueil capitale de la douleur (1926) puis « la terre est bleue comme une orange » et « je te l’ai dit », ces deux derniers

maîtrise de l'écriture poétique assure à ce tableau la force picturale d'une caricature. Dans la continuité de Victor Hugo dans les « Châtiments » par la vigueur de la dénonciation, Rimbaud assume ici le rôle d'un poète en prise sur le réel qui selon Eluard « doit être plus utile qu'aucun citoyen de sa tribu ».

Triolet. il adhère ensuite au communisme (au parti en 1936), et ses romans se construiront autour d'idées militantes, mêlant personnages historiques et imaginaires. Pendant la guerre, il est mobilisé et participe à la campagne du Nord et sera, avec Eluard, un des poètes de la Résistance, célébrant sur le mode du lyrisme traditionnel l'amour absolu comme l'action politique. Après la guerre, il va à Nice et fonde avec Jean Paulhan le comité national des écrivains. Sa vie sera alors combats politiques

Paul Éluard, de son vrai nom Eugène Émile Paul Grindel, né à Saint-Denis en France, le 14 décembre 1895, mort le 18 novembre 1952 à Charenton-le-Pont-le-Pont, était un poète français. A l'âge de 21 ans, il choisit le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhéra au dadaïsme (mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, entre 1916 et 1925, se caractérisa par une remise en cause de toutes les conventions et contraintes idéologiques, artistiques et politiques) et fut l'un

« Liberté » de Paul Eluard - L’auteur : Paul Eluard est née en 1895 et mort en 1952. Son véritable nom est Eugène Emile Paul Grindel. C’est un poète français. Il est pacifiste pendant la première guerre mondiale. Après la guerre, il reprend ses voyages à travers le monde et continu à écrire, dans ses poésies imaginées et harmonieuses, la liberté, l’amour et la justice. Il a écrit d’autres poèmes qui se trouvent dans : - « La capitale de la douleur » en 1926 - « Les yeux fertiles »

l'écrivait René Char: "Il n'y a pas de place pour la Beauté. Toute la place est pour la Beauté." (C'est moi qui accentue "Beauté" par une majuscule. Car celle qu'il évoque n'est pas celle à laquelle vous vous référez.) Et puis comme le disait Paul Eluard: Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré. Source : réponse trouver dans un forum à la question «  qu’est-ce que la poésie »