Patriarcat œcuménique de Constantinople

œuvres liturgiques mais aussi celles des chroniques et des ouvrages scientifiques - se multiplient ensuite. C'est donc à partir de l'héritage byzantin que les Russes inventent leurs propres concepts politiques, culturels et religieux. De même que Constantinople[->3] ne peut être considérée comme une capitale en rupture avec Rome[->4], Kiev[->5] continue vers le nord la tradition byzantine[->6], ce qu'exprime son métropolite HilarionHYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Patriarcat_de_Moscou_et_de_toute_la_Russie"

pouvoirs politiques des tzars, des voïvodes, des hospodars chrétiens, voire des sultans musulmans de l'Empire ottoman. Toutefois, en pratique, l'Europe orientale médiévale correspond en gros aux peuples dont la référence spirituelle est le Patriarcat de Constantinople, de tradition orthodoxe. Dans le système social de l'Orient médiéval, la féodalité et le clergé ne sont pas à égalité : ce dernier est en position subordonnée. C'est le « césaropapisme[12],[13],[14] ». L'église orthodoxe ne perçoit pas

DE CONSTANTINOPLE A ISTANBUL Problématique : Quelle est l'importance et quelles sont les principales transformation de cette ville à la Renaissances? Entre le 15e et le 17 siècle. Introduction : L'empire Byzantin est l'héritier de l'Europe romaine d'Orient et apparaît comme une des principales puissances méditerranéennes au Moyen Âge grâce a sa position stratégique située entre l'Asie et l'Europe. Constantinople est la capitale de ce vaste empire chrétien orthodoxe. Mais à partir du

Devoir d’histoire Sujet : Comment cohabitent les différentes cultures et les différentes religions à Constantinople au XVI e siècle ? La ville de Constantinople est dotée d’une longue histoire dont l’origine remonte à l’antiquité grecque. Sous plusieurs noms successifs, cette métropole a joué un rôle majeur dans le cadre de la méditerranée. Après avoir vécu plusieurs époques de grandeurs politique et culturelle de l’IVème au XIIème siècle, la cité subie un premier choc violent lors de sa prise

archevêques qui siègent dans les métropoles des diocèses. Patriarche : dans les Eglises orthodoxes, un patriarche a la prééminence sur les archevêques et les évêques qui siègent dans les différentes métropoles diocésaines ou provinciales de son patriarcat. Anathème : sentence d’exclusion totale prononcée contre les hérétiques et tous ceux qui étaient considérés comme des ennemis de la Foi. Exégèse : Interprétation philosophique, historique et doctrinale des Ecritures. Logos : se traduit par « Verbe »

tentant de le plier à ses buts tout en l’ajustant à ses contraintes" (Philippe Moreau Defarges, Problèmes stratégiques contemporains, Paris, Hachette, 1992, p. 9). 6 Mayer – Facteurs religieux et relations internationales – Août 2005 5 œcuménique des Eglises a été voulue par le pouvoir soviétique pour y donner écho à sa propagande. En sens inverse, chacun connaît les hypothèses sur le rôle d'une alliance objective entre Jean-Paul II et Ronald Reagan pour la chute du communisme. A noter que

La sentence d’excommunication de TOLSTOÏ ne serait-elle pas invalide ? http://www.religion-orthodoxe.com/article-il-est-impossible-de-lever-l-excommunication-de-leon-tolstoi-mais-nous-pouvons-prier-pour-lui-61398264.html Le Patriarcat de Moscou a refusé de lever l’excommunication prononcée à l’encontre de TOSTOÏ. Ce choix est une chose. Une autre chose est de savoir si préalablement ladite excommunication était valide et lcite. Avant d’examiner les canons byzantins qui seuls peuvent permettre

directions différentes, et de ce fait fonder le catholicisme et l’orthodoxie. Le schisme qu’ont retenu les historiens en tant que symbole, celui de 1054, est en fait purement religieux. Il s’agit de l’excommunication mutuelle du patriarche de Constantinople Cérulaire, et du légat du pape, Humbert. Plusieurs erreurs de traduction ont entraîné une augmentation de la tension et ça a conduit à ca. D’autant que le pape est mort entre temps et que ce sont en fait ces légats qui ont excommunié le patriarche

avec les pays du monde latin. La période mésobyzantine de l’Empire correspond à son apogée politique, économique, militaire, culturelle. Cet « âge de la maturité » va du VIIe ou VIIIe siècle au début du XIIIe siècle et s’achève par la prise de Constantinople par les membres de la quatrième croisade en 1204. Étudier le fonctionnement de Byzance à cette période va nous amener à prendre en considération non seulement les rôles de l’Empereur et de l’Église, mais également les rapports entre les deux pouvoirs

proclame le retour à l'orthodoxie. • Le redémarrage économique. Globalement, les difficultés économiques et le recul démographique que l'on a constaté lors de l'Age sombre (fin du VIe-milieu du VIIIe) cèdent le pas. La population de Constantinople passe ainsi de 50 à 70000 habitants au début du VIIIe à 200000 à la fin du IXe siècle, puis 40000 probablement au milieu du XIe siècle. Le redémarrage économique se caractérise d'abord par les progrès des échanges. La rareté de la monnaie