Patriarche de Constantinople

Apogée
du
ROYAUME
DE
MACEDOINE
(Alexandre
le
Grand)
 Arrivée
des
ROMAINS
en
Illyrie
 Victoire
définitive
des
romains
sur
le
Royaume
de
Macédoine
 Romanisation
définitive
des
Illyriens
 
 Fin
de
l’unité
de
l’empire
romain
 Fondation
de
Constantinople
par
l’empereur
Constantin
 Partage
de
Théodose
:
début
de
l’EMPIRE
BYZANTIN
(culture
grecque,
foi
chrétienne,
lois
romaines)
 Dernier
empereur.
Empire
d’occident
envahi
par
les
Barbares
 Arrivée
des
Slaves
:
empire
byzantin
gréco
slave
 Naissance
d’un
royaume
de
BULGARIE


l’établissement | |VIIIe siècle: la crise iconoclaste. La querelle autour de la vénération des icônes divise l’Eglise |d’Israël en Egypte | |byzantine. Rome, attachée au culte des images, rompt sa dépendance juridique à l’égard de Constantinople et |Josué: l’entrée en Canaan | |fait alliance avec la monarchie franque, seule capable de la défendre contre les invasions des Lombards. |Judas Maccabée: Israël sous| |IXe siècle: l’âge carolingien. Grâce à l’action de Charlemagne, l’étude

une aristocratie d'administrateurs et d'entrepreneurs arméniens (« amiras ») qui jouent un grand rôle dans l'État ottoman. Cette élite, qui contrôle l'élection du patriarche (patriarche suprême = catholicos de tous les Arméniens = chef de l’Eglise apostolique arménienne ; NB : apostolique = relatif aux apôtres) arménien de Constantinople suscite l'irritation du reste de la communauté (plusieurs émeutes ont lieu pour obtenir la démocratisation de la gestion du « millet »). Les sultans ottomans acceptent

l'empire byzantin , les habitants parlent grecs mais se nomment " romaioï" donc romains. L'Empereur est choisi en fait par l'armée, mais est acclamé par le peuple réuni à l'hippodrome avant d'être couronné dans la basilique Sainte Sophie de Constantinople. Ce mode de désignation n'empêche pas les dynasties impériales comme celles des Commènes au pouvoir entre 1081 et 1185. Par contre la légitimité dynastique étant discutable, les intrigues sont nombreuses et les assassinats s'enchaînent

analyse, l'Eglise orthodoxe russe présente des traits nationalistes et se trouve fortement liée à un Etat qui tente de réaffirmer son influence sur des territoires qui autrefois lui appartenaient ou se trouvaient dans sa sphère. "En contraste, le patriarche œcuménique Bartholomée Ier, installé à Istanbul, a agi 12 Andrea Riccardi, Sant'Egidio, Rome et le monde. Entretiens avec JeanDominique Durand et Régis Ladous, Paris, Beauchesne, 1996, p. 108. Mayer – Facteurs religieux et relations internationales

gens que les Turcs! » m’écriai-je. Les chrétiens grecs et les chrétiens latins étaient ennemis mortels dans Constantinople; ces esclaves se persécutaient les uns les autres, comme des chiens qui se mordent dans la rue, et à qui leurs maîtres donnent des coups de bâtons pour les séparer. Le grand vizir protégeait alors les Grecs. Le patriarche grec m'accusa d'avoir soupé chez le patriarche latin, et je fus condamné en plein divan9 à cent coups de latte sur la plante des pieds, rachetables de cinq

Nestorianisme a été fondé par Nestorius, patriarche de Constantinople qui a mis en place cette doctrine en enseignant qu’il y avait deux personnes distinctes en Jésus Christ, l’un divine et l’autre chrétienne et que la Vierge nest pas la mère de Dieu mais seulement celle du Christ. Nestorius a été condamné par le Concile d’Ephèse en 431, excommunié et meurt en 451. Une deuxième condamnation de cette doctrine suivra en 558 lors du Concile de Constantinople face à l’accroissement du nombre de partisans

de Voltaire, nous présente les croisades comme des guerres de religion, provoquées par un fanatisme religieux, en vue de conquérir des terres nouvelles. On évoque aussi les massacres qui ont eu lieu lors de la prise de Jérusalem et de celle de Constantinople. Des guerres, en somme, dont nous devrions avoir honte et pour lesquelles nous devons demander pardon. Or nous allons voir que nous n’avons pas du tout à avoir honte des croisades, bien au contraire ! Des saints les ont prêchées, guidées

religion monothéiste fondée sur la Bible (ancien et nouveau testament) ainsi que sur le dogme (ensemble de croyances définies et légitimées par l’Église).Depuis1054, la chrétienté est divisée (catholiques et orthodoxes). 1204 : les croisés pillent Constantinople.   B)     « Ceux qui prient » : le clergé.   Le clergé séculier (prêtres, sous l’autorité des évêques) et régulier (moines) encadrent la société (laïcs). Leur mission est de conduire les laïcs au salut. En retour, ceux-ci doivent les défendre

n'étaient pas très bonnes à cette époque. En effet depuis le 16 juillet 1054, le patriarche de Constantinople avait été excommunié par les trois légats du pape[4]. Bien que l'on aurait pu croire à une rupture définitive, le pape Urbain II aimerait bien régler ce conflit entre chrétiens d'Orient et d'Occident. Cette occasion arriva avec les attaques musulmanes contre les byzantins. À bout de souffle, l'empereur de Constantinople appelé le basileus, Alexis 1er envoie une demande d'aide à l'Occident. Selon