Patriarche latin de Jérusalem

guerre au service de la foi chrétienne que l’ordre voit le jour. En 1099 à l’appel du pape Urbain II lancé à Clermont, les croisés, comtes ou évêques, désignés ou volontaires reprennent Jérusalem qui abrite le tombeau du Christ, tombé aux mains des musulmans, quatre cents ans auparavant et créent les « Etats latins d’Outremer ». L’expédition est d’une rare virulence, en effet les croisés effectuent une purification par la violence et donc une élimination de tous les païens sur le lieu où Dieu s’est

» (avant même son sacre, Charles a déclaré : « À moi l’action ; au pape la prière pour le succès de l’action. ») ; le pape s’agenouille devant le nouvel empereur. Décembre : les chrétiens de Jérusalem, inquiets de la persécution musulmane qui commence, en appellent à Charlemagne ; le patriarche de Jérusalem reconnaît Charlemagne comme le protecteur des Lieux Saints et lui remet les clés du Saint-Sépulcre. Vers 800. Conversions à l'islam en Afrique en raison de la menace de mise en esclavage annoncée

Al-Qods : le passé, le présent et l’avenir  Dr Mohamed Imara(*)   En l’an IV avant J.C, les Cananéens, habitants de la Palestine fondèrent la ville de Yerushalayim, devenue par la suite Jérusalem. On retrouve ce dernier nom dans bon nombre de langues telles le grec, le latin, l’allemand, le français, l’anglais et autres langues pratiquées en Occident. Le nom désignant cette ville dans l’Ancien Testament remonte à la même origine. Historiquement, les hébreux s’installèrent dans cette ville dès

appelés les Templiers. Cet ordre fut créé le 22 janvier 1129[1] à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers

de la plupart des auteurs et des contributeurs qui emploient ce terme, l'Occident est le domaine du christianisme romain dont la langue est le latin, fidèle au pape de Rome : il s'oppose aux territoires des païens, des schismatiques et des musulmans et il correspond à l'aire de diffusion du christianisme catholique (et ultérieurement protestant) en pays latin, celte ou germanique. Cela n'est pas toujours explicitement défini et les limites orientales de cet ensemble sont floues et mouvantes au cours

monde diplomatique » et, plus tard, « Le Nouvel Observateur » osèrent le présenter. D’emblée, l’auteur analyse les concepts sacrosaints du sionisme. A commencer par celui de « peuple juif ». A l’issue de toute une évolution sémantique du terme latin « populus », on désigne aujourd’hui par le terme « peuple » un groupe humain, qui vit sur un territoire spécifique où s’est développée une culture commune, de la langue parlée aux coutumes et aux modes de vie. On a aussi donné au mot un autre sens

doivent être enseignées et vénérées1. L'Église catholique se caractérise par la reconnaissance de l'autorité du pape, évêque de Rome et successeur de saint Pierre. Cette branche du christianisme regroupe l'Église catholique occidentale de rite latin et les Églises catholiques orientales. Selon les chiffres communiqués par Rome et publiés chaque année dans le Britannica Book of the Year, le nombre de catholiques dans le monde augmente dans les mêmes proportions que la population mondiale, avec

d'une mosquée), Italiens du sud (Naples, Amalfi), Russes et Bulgares. • L'essor culturel Avec le soutien de la cour, se développe alors une culture raffinée, chrétienne mais qui s'inspire largement des modèles classiques. C'est le cas du Patriarche Photius, auteur d'une impressionnante Bibliothèque dans la seconde moitié du IXe siècle. Dans le second quart du Xe, c'est autour de l'empereur Constantin VII que s'épanouit un « encyclopédisme byzantin » : en fait, la volonté de conserver les sources

d’IsraëlNote 1 (fr) (Drapeau d'Israël) (Armoiries d'Israël) Devise nationale : Aucune1 Langue officielle hébreu, arabe Capitale Jérusalem (non reconnue internationalement : voir le paragraphe capitale d’Israël) Plus grande ville Jérusalem Forme de l’État République - Président - Premier ministre Shimon Peres Benyamin Netanyahou Superficie - Totale - Eau (%) Classé 148e 20 770

certainement le plus dense et le plus parfait exposé théologique de l’histoire de notre salut. 15. Le crâne de S. Basile est vénéré à la Grande Lavra, au Mont Athos, don de Nicéphore Phocas (964). 16. Cette commémoraison a été instituée en 1998 par le Patriarche Œcuménique Bartholomée Ier. 17. Nous utilisons ici le Discours funèbre prononcé par S. GRÉGOIRE en l’honneur de son père, Disc. 18, PG 35, 985-1044. Saint Grégoire, notable de la ville de Nazianze en Cappadoce, avait d’abord appartenu à la secte