Patricien

Dans la Rome antique, les patriciens, sont des hommes libres qui bénéficient de privilèges. Pendant longtemps, ils sont la majeure partie de la société romaine la plus fortunée. Pendant longtemps les patriciens ont été les seuls à pouvoir devenir magistrats. À l'origine, les patriciens étaient issus des grandes familles qui étaient les plus anciennes installées à Rome. Chaque famille prétendait avoir un ancêtre, qu'elle avait divinisé. Toutes les personnes qui reconnaissaient avoir le même ancêtre

« Quel était le rôle des patriciens et des plébéiens dans la société romaine ? » À Rome il existait deux principales classes sociales, les patriciens et les plébéiens. Les plébéiens constituaient une grande partie de la population et étaient considérés comme inférieurs aux patriciens. I- Les principales classes sociales romaines a) Les plébéiens Lors du début de Rome, toute personne n’étant pas citoyenne ne pouvait être propriétaire. Selon le jurisconsulte « on ne peut être

citoyenneté (civitas). Ces deux groupes sociaux s’opposent aussi par leurs origines. Les familles Patriciennes, comme l’étymologie l’indique, seraient liées à la fondation de Rome. Les Plébéiens seraient les descendants des Latins vaincus. Un Patricien peut en outre choisir quand sa famille s’élargit des clients étrangers qu’il protège (patronus : le patron). Ainsi se forment deux groupes opposés, les Patriciens aidés des clients d’un côté, et de l’autre, les Plébéiens. 2) L’émergence de la plèbe. Au

Elle symbolise l'union du Sénat de la République romaine, où siègent à l'origine les familles patriciennes, et de l'ensemble des citoyens romains. En effet, les Romains sont divisés à l'origine en deux groupes, les patriciens et les plébéiens. Ces derniers forment la masse des artisans et paysans. Ils vivent en dehors de l'organisation patricienne et n'honorent aucun ancêtre particulier. Les patriciens sont souvent propriétaires de vastes domaines cultivés. Ils appartiennent à de célèbres familles

définissait par opposition aux patriciens et leur organisation oligarchique. Tous ceux qui n'étaient pas patriciens étaient considérés comme plébéiens. Les patriciens étaient des fils de patres( pasteurs), eux même descendants des consuls (magistrats élus par le peuple). Leur dignité était héréditaire et ils étaient les seuls à détenir le pouvoir politique. Cette partie du peuple romain constituait la noblesse de la Rome Antique. La relation entre patriciens et plébéiens se caractérise avant

république et un empire. La république est née en 509 avant JC parce que le dernier roi Tarquin le superbe aurait tenté d'instaurer une dictature et la légende veut que ce soit son neveu qui l'ai chassé mais il est plus probable qu'il fut chassé par les Patriciens (grandes familles de Rome opposés aux Plébéiens : romains de classe inférieure). Au sein de la république, il n'y a plus de roi mais des magistrats (toute personne titulaire du pouvoir et donc qui exerce une fonction dans l'intérêt de la communauté)

peuple, il leurs inflige ses propres valeurs à l’insu des Patriciens. Pour enseigner la vérité, il affirme : « il n’y a que la haine pour rendre les gens intelligents » et avec l’aide du pouvoir, du ridicule, de la liberté, de son imagination et de sa capacité à tuer, il impose la haine aux gens. Plusieurs moyens mènent les gens dans la haine : il tue le père de Scipion, il tue le vieux patricien, il maltraite la plupart des patriciens, il a fait tuer le fils de Lepidus, il prend la femme de

pendant 5 jours), rite qui souligne l’infériorité du roi (interrègne). En cas de vacance du pouvoir, c’est l’interrègne (interregnum), l’interrex est désigné par les patres. Les patres vont devenir une aristocratie héréditaire, prendra le nom de patriciens (patriciat). Ce roi latin est un chef religieux, militaire et politique. Mais il est toujours censé consulter les patres. Les habitants sont divisés en 3 tribus de gentes qui fournisse chacune 10 curies, donc 30 curies en tout qui devaient répondre

faisait très peu de "contrats". On constate qu'entre ces différentes gentes, certaines vont évoluer économiquement plus rapidement que d'autres. Certains historiens voient là, l'origine de la distinction entre les Patriciens et les Plébéiens. Certains privilégiés donneront naissance aux Patriciens et d'autre plus défavorisés donneront naissance à la Plèbe. Ces gentes se sont regroupés à certaines occasions pour organiser par exemple des fêtes religieuses. Ces regroupements entraînent la désignation d'un

(page 21) Bonne lecture ! Acte I Le rideau s'ouvre sur le palais de l’empereur de Rome Caïus Caligula, dont on attend le retour : absent depuis trois jours, il a, pense-t-on, été égaré par la mort de sa soeur-amante, Drusilla. Les patriciens commencent à s'en inquiéter, l’homme de lettres Cherea regrettant : «Cet empereur était parfait», un autre le trouvant «comme il faut : scrupuleux et sans expérience». Lorsqu'il paraît, c'est pour confier à un de ses proches, Hélicon, que ce qui